Ce rapport m'a l'air pas mal
tout ce qui peut mettre les salariés sur un pied d'égalité me semble aller dans le bon sens
c'est vrai qu'il y a inégalité entre les salariés des grosses boites qui ont souvent plus d'avantages que dans les petites boites
et par ailleurs on n'arrête pas de demander au public d'abandonner des avantages pour s'aligner sur le privé, pour une fois ce sera dans l'autre sens
coincetabulle a écrit : au lieu d'emmerder les malades en les privant de couverture sociale qu'ils payent (est il besoin de le rappeler), on ferai mieux d'augmenter les contrôles. on ne lutte pas contre la maladie en punissant les malade, en revanche, on lute contre les abus en faisant des contrôles.
être malade n'est pas un choix.
justement au lieu d'emmerder les malades en les astreignant à rester chez eux et d'envoyer des contrôleurs administratifs, il les feront venir pour un contrôle médicale qui serait sans doute plus efficace
Kelenner a écrit :
Si tel était véritablement l'objectif, alors tu seras forcément d'accord avec moi pour dire que la méthode est absurde. En imposant un jour de carence supplémentaire à tout le monde, on pénalisera D'ABORD l'immense majorité des salariés qui ne s'arrête que contraint et forcé, sans aucune distinction. Avec, en plus, un très probable effet contre-productif, car quitte à perdre des jours de salaire, autant s'arrêter plus longtemps, ce que ne se priveront pas de faire les salariés concernés... bénéfice probablement proche de zéro.
Si le but est vraiment de lutter contre les abus, et il y en a c'est un fait, alors il faut contrôler davantage ceux qui multiplient les arrêts douteux, ainsi que les médecins qui les prescrivent.
Non ce n'est pas absurde, s'ils s'arrêtent longuement il est alors possible de les contrôler alors que c'est impossible sur un arrêt d'une journée