Brexit: Le débat

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vivarais
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Re: Brexit: Le débat

Message par vivarais » 14 juillet 2018 18:58

Dernier message de la page précédente :

Fonck1 a écrit :
vivarais a écrit :


en y exportant quoi à part le whisky et du saumon
http://www.europa-planet.com/ecosse/economie.htm

les pays de lest ne voudront jamais qu'un pays plus pauvre qu'eux viennent leur rafler la manne de la PAC et voteront contre
et il faut l'unanimité pour accepter un autre pays
mais il existe déjà en tant que tel.
tu oublies que l'écosse comme l’Irlande ont leur propre parlement.
comme les différences provinces d'Espagne ou de Belgique ou chaque länder allemand ect

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Re: Brexit: Le débat

Message par vivarais » 14 juillet 2018 19:02

Fonck1 a écrit :
vivarais a écrit :

impossible car un britannique né génétiquement nationaliste comme les espagnols
donc la majorité silencieuse britannique est nationaliste
ils ne font même pas l'effort de s'adapter à vous en parlant une autre langue que l'anglais
ce n'est pas pour rien que dieu les à mis sur une ile
tu ne connais rien aux britaniques, crois moi. tu crois savoir des choses, mais tu ne sais rien.

sauf que je les ai dans ma famille par alliance et il faut parfois se les farcir

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Re: Brexit: Le débat

Message par vivarais » 14 juillet 2018 19:05

Fonck1 a écrit : Trump lâche les britanniques:
En visite au Royaume-Uni, Donald Trump torpille le projet de Brexit de Theresa May

Lors d'une visite au Royaume président américain a affirmé qu'un "soft Brexit" empêcherait probablement tout accord commercial avec les Etats-Unis.


Un revers cinglant. Le président américain Donald Trump a torpillé dans la nuit de jeudi à vendredi 13 juillet le projet de Theresa May de relation commerciale avec l'Union européenne après le Brexit. "S'ils font un tel accord, nous traiterions avec l'Union européenne au lieu de traiter avec le Royaume-Uni", a dit Donald Trump au tabloïd The Sun (en anglais).

"Cela tuera probablement l'accord" avec les Etats-Unis, a ajouté Donald Trump, alors que la Première ministre britannique comptait profiter de la visite officielle de son homologue américain au Royaume-Uni pour faire avancer les discussions sur la conclusion d'un accord de libre-échange avec Washington, une fois que son pays aura quitté l'UE fin mars 2019. Donald Trump regrette par ailleurs que la première ministre britannique ait ignoré son avis sur la façon de quitter l’Union européenne. "Je l’aurais fait très différemment", dit-il. "J’ai dit à Theresa May comment faire, mais elle ne m’a pas écouté."

Un futur plan contesté entre le Royaume-Uni et l'UE

Le plan que Theresa May a proposé à Bruxelles prévoit de maintenir des liens étroits avec l'UE à 27 en matière de commerce de biens, en instaurant une nouvelle "zone de libre-échange" qui reposerait sur un ensemble de règles communes concernant les biens et le secteur agro-alimentaire.

La nouvelle sortie de Donald Trump constitue une claque d'autant plus cinglante pour Theresa May que, jeudi soir, elle a vanté la force du lien transatlantique, y voyant une opportunité "sans précédent". Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ne sont pas seulement "les plus proches alliés, mais aussi les amis les plus chers", a-t-elle déclaré en accueillant le président américain.

Le plan que Theresa May a proposé à Bruxelles prévoit de maintenir des liens étroits avec l'UE à 27 en matière de commerce de biens, en instaurant une nouvelle "zone de libre-échange" qui reposerait sur un ensemble de règles communes concernant les biens et le secteur agro-alimentaire.

La nouvelle sortie de Donald Trump constitue une claque d'autant plus cinglante pour Theresa May que, jeudi soir, elle a vanté la force du lien transatlantique, y voyant une opportunité "sans précédent". Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ne sont pas seulement "les plus proches alliés, mais aussi les amis les plus chers", a-t-elle déclaré en accueillant le président américain.
étonnant vu que les paroles de trump sont
quoi que vous fassiez pour le brexit cela sera bien pour moi et pour vous

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Re: Brexit: Le débat

Message par vivarais » 14 juillet 2018 19:08

Fonck1 a écrit : ce qui est évident, c'est que les partisans du leave qui croyaient tout savoir aujourd'hui, sont bien planqués, silence radio général....
on casse, mais on ne construit rien, pas étonnant, les populistes ne savent rien faire d'autre.

je coryais qu'en GB les partis au pouvoir etaient les conservateurs et les travaillistes

qui a initié le référendum sur le brexit : un populiste ?

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Re: Brexit: Le débat

Message par vincent » 14 juillet 2018 19:34

vivarais a écrit : [
étonnant vu que les paroles de trump sont
quoi que vous fassiez pour le brexit cela sera bien pour moi et pour vous
il fait comme vous , dit une chose , puis son contraireque ce soit sur le Brexit ou les armes a feux dans son pays.....

En visite au Royaume-Uni, Donald Trump critique le projet de Brexit de Theresa May
Le Journal du dimanche · Il y a 1 jour

Brexit : Trump revient sur ses critiques contre May
Le Figaro · Il y a 1 jour

en 24h chrono , plus fort que la Redoute , il vous livre .....tout ce que vous voulez

Brexit. En visite au Royaume-Uni, Donald Trump torpille le projet de ...
https://www.ouest-france.fr › Europe › Grande-Bretagne › Brexit
Il y a 2 jours - Le projet de la Première ministre britannique « tuera probablement » la ... Les propos de Trump interviennent alors que le Royaume-Uni lui a

vous avez raison de dire que Trump a tenu ces propos
quoi que vous fassiez pour le brexit cela sera bien pour moi et pour vous

étonnant vu que les paroles de trump sont

n' importe qui peut dire qu' il a tenu des propos contraires....

au fait ,vous croyez ce qu' il raconte , moi je crois rien....sauf lorsqu' il passe aux travaux pratiques

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Re: Brexit: Le débat

Message par bister » 15 juillet 2018 00:01

Trump à dit :
Mr Trump said: “If they do a deal like that, we would be dealing with the European Union instead of dealing with the UK, so it will probably kill the deal.”
Soit ;
« S’ils concluent un accord comme celui-ci (Brexit light) , nous traiterons directement avec l’Union européenne plutôt qu’avec le Royaume-Uni, ce qui va probablement tuer l’accord »
après les journaux vont interprété ça a leurs manière.. Mr Trump a dit.. Mr Trump a fait.. Mr Trump est... pour agiter l'opinion

mais le fond de l'affaire ?..

Ba c’est une guerre de traités et de protection demandées par la base, les petits..

il y a d’abord eu le Traité Transatlantique.. longues négociations puis ça n’a pas aboutie

Ba qu’a cela ne tienne,
faisons un traité de libre échange avec le Canada.. comme ça des entreprise américaines installent aussitôt des succursales au Canada et vendent via le Canada en Europe

puis maintenant , l’Angleterre s’écarte de l’Europe et un traité de libre échange est en cours avec les USA

et si le Brexit est light très light , ben l’Europe vendra via l’Angleterre aux USA

en clair ? qui se fait baiser ? .. ben nous.. parce que le gros business va circuler sans filtrage soit via le Canada ou l’Angleterre.. sans qu’il y ait besoin de Traité Transatlantique.. et puis voilà c’est tout..

Trump doit protéger sa partie , mais par contre le deal via le Canada vers l'Europe , ou via l'Irlande, Ba là, ça ne le dérange pas

la porte est bien gardée passons par la fenêtre.. et les business man des deux côtés sont dans la même optique

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Re: Brexit: Le débat

Message par vivarais » 15 juillet 2018 09:31

bister a écrit : Trump à dit :
Mr Trump said: “If they do a deal like that, we would be dealing with the European Union instead of dealing with the UK, so it will probably kill the deal.”
Soit ;
« S’ils concluent un accord comme celui-ci (Brexit light) , nous traiterons directement avec l’Union européenne plutôt qu’avec le Royaume-Uni, ce qui va probablement tuer l’accord »
après les journaux vont interprété ça a leurs manière.. Mr Trump a dit.. Mr Trump a fait.. Mr Trump est... pour agiter l'opinion

mais le fond de l'affaire ?..

Ba c’est une guerre de traités et de protection demandées par la base, les petits..

il y a d’abord eu le Traité Transatlantique.. longues négociations puis ça n’a pas aboutie

Ba qu’a cela ne tienne,
faisons un traité de libre échange avec le Canada.. comme ça des entreprise américaines installent aussitôt des succursales au Canada et vendent via le Canada en Europe

puis maintenant , l’Angleterre s’écarte de l’Europe et un traité de libre échange est en cours avec les USA

et si le Brexit est light très light , ben l’Europe vendra via l’Angleterre aux USA

en clair ? qui se fait baiser ? .. ben nous.. parce que le gros business va circuler sans filtrage soit via le Canada ou l’Angleterre.. sans qu’il y ait besoin de Traité Transatlantique.. et puis voilà c’est tout..

Trump doit protéger sa partie , mais par contre le deal via le Canada vers l'Europe , ou via l'Irlande, Ba là, ça ne le dérange pas

la porte est bien gardée passons par la fenêtre.. et les business man des deux côtés sont dans la même optique

ne vous inquiétez pas quelque soit la situation , la haute finance trouvera toujours le solution pour faire son beurre
les riches toujours plus riches alors que le pauvres seront toujours plus pauvres
et il y en a qui se prennent le chou à vouloir empecher le bréxit comme si leurs dires avaient une quelconque valeur
plutot que de s'adapter lorsqu'ils le peuvent
sur 12 millions de retraités seuls 1.4 millions (peut etre un peu plus de puis 6 mois) se sont adaptés en se délocalisant afin de ne payer que 3.2% d'equivalent de CSG plutôt que 10 % surtout comme en moselle où certains n'habitent qu'à quelques centaines de metres de la frontière

comme des amis à Bervillers en moselle où des amis grâce à des mariages inter frontaliers et à des héritages ont une maison juste de l'autre coté ; toutes les semaines ils vont faire leurs courses chez globus en Allemagne plutôt qu'à Creutzwald en France car moins cher mais reste toujours en France à se faire ponctionner sur leur retraite 10% de CSG

voilà la raison pour laquelle les pauvres resteront toujours pauvres car ils n'osent pas sortir de leur petite bulle où on les a cantonné

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Re: Brexit: Le débat

Message par vincent » 15 juillet 2018 11:54

vivarais a écrit : [quo
voilà la raison pour laquelle les pauvres resteront toujours pauvres car ils n'osent pas sortir de leur petite bulle où on les a cantonné

en général , on parle de ses propres expériences, de son vécu . A vous lire on suppose que vous êtes dans l' échec, ou en idéologie , cultivant le misérabilisme qui est trés prospère en France

http://leshumas.insa-lyon.fr/langues/al ... _insa.html

1.3 Les premières promotions

En quelle mesure cette volonté d'ouverture sociale a-t-elle fonctionné ? Pour répondre à cette question, on peut tenter d'examiner les chiffres concernant les origines socio-professionnelles des premières promotions de l'INSA, et les comparer à ceux des autres étudiants, ainsi que ceux des autres écoles d'ingénieur.

http://leshumas.insa-lyon.fr/langues/al ... _insa.html
Laurent CAGLIANI
5 GEN
Projet Personnel en Humanités
2005-2006

Tuteur : Francis MAUPAS



Les origines sociales des insaliens


Ces trois graphes montrent clairement que l'objectif d'ouverture sociale de l'INSA a été atteint huit années après la création de l'institut. La répartition sociale y en effet largement meilleure qu'à Polytechnique, et même meilleure que pour la population étudiante dans son ensemble. La population insalienne était même plus représentative de la population active française que l'ensemble des étudiants, ce qui semble inconcevable de nos jours dans une école d'ingénieur. Notons que cette répartition est encore loin de celle de la population active de l'époque, qui comptait 42% d'ouvriers.

Pour montrer l'ouverture de l'INSA à ses débuts, on peut également comparer le pourcentage de fils d'ouvriers (19% à l'INSA) dans différentes grandes écoles en 1965 :
ENSAM : 17%
ENS St Cloud : 15%
Centrale : 2%

bien sur , la famille de poivrots aura du mal a voir ses enfant y arriver.....dur de bosser dans ces conditions


Bon , Rachida Dati sortait pas du XVI éme....

relisez mon post sur les Yogi ....

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Re: Brexit: Le débat

Message par vivarais » 15 juillet 2018 15:18

vincent a écrit :
vivarais a écrit : [quo
voilà la raison pour laquelle les pauvres resteront toujours pauvres car ils n'osent pas sortir de leur petite bulle où on les a cantonné

en général , on parle de ses propres expériences, de son vécu . A vous lire on suppose que vous êtes dans l' échec, ou en idéologie , cultivant le misérabilisme qui est trés prospère en France

http://leshumas.insa-lyon.fr/langues/al ... _insa.html

1.3 Les premières promotions

En quelle mesure cette volonté d'ouverture sociale a-t-elle fonctionné ? Pour répondre à cette question, on peut tenter d'examiner les chiffres concernant les origines socio-professionnelles des premières promotions de l'INSA, et les comparer à ceux des autres étudiants, ainsi que ceux des autres écoles d'ingénieur.

http://leshumas.insa-lyon.fr/langues/al ... _insa.html
Laurent CAGLIANI
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2005-2006

Tuteur : Francis MAUPAS



Les origines sociales des insaliens


Ces trois graphes montrent clairement que l'objectif d'ouverture sociale de l'INSA a été atteint huit années après la création de l'institut. La répartition sociale y en effet largement meilleure qu'à Polytechnique, et même meilleure que pour la population étudiante dans son ensemble. La population insalienne était même plus représentative de la population active française que l'ensemble des étudiants, ce qui semble inconcevable de nos jours dans une école d'ingénieur. Notons que cette répartition est encore loin de celle de la population active de l'époque, qui comptait 42% d'ouvriers.

Pour montrer l'ouverture de l'INSA à ses débuts, on peut également comparer le pourcentage de fils d'ouvriers (19% à l'INSA) dans différentes grandes écoles en 1965 :
ENSAM : 17%
ENS St Cloud : 15%
Centrale : 2%

bien sur , la famille de poivrots aura du mal a voir ses enfant y arriver.....dur de bosser dans ces conditions


Bon , Rachida Dati sortait pas du XVI éme....

relisez mon post sur les Yogi ....

je viens d'un milieu ouvrier et donc majoritairement mes amis et relations sont issus de ce milieu
il y a ceux qui ont réussi car ils ont su aller de l'avant et ce qui se sont contentés de rester dans le trian train de leurs parents
questions poivrots ; il y a plusde detraqués dans les familles aisées que chez les pauvres
et souvent si leurs enfants réussissent c'est qu'ils ont des gouvernantes pour s'en occuper
lorsque l'on est né avec une cuilliere en argent dans la bouche ,on n'a aucun mérite à avoir réussi
vous parlez de ce que vous ignorez alors que moi je fréquente du fait de mes origines et de mon cursus les 2 milieux

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Re: Brexit: Le débat

Message par vincent » 15 juillet 2018 16:37

vivarais a écrit :

je viens d'un milieu ouvrier et donc majoritairement mes amis et relations sont issus de ce milieu
il y a ceux qui ont réussi car ils ont su aller de l'avant et ce qui se sont contentés de rester dans le trian train de leurs parents
questions poivrots ; il y a plusde detraqués dans les familles aisées que chez les pauvres
et souvent si leurs enfants réussissent c'est qu'ils ont des gouvernantes pour s'en occuper
lorsque l'on est né avec une cuilliere en argent dans la bouche ,on n'a aucun mérite à avoir réussi
vous parlez de ce que vous ignorez alors que moi je fréquente du fait de mes origines et de mon cursus les 2 milieux
je viens d'un milieu ouvrier et donc majoritairement mes amis et relations sont issus de ce milieu

cela se voit . Ma femme est fille de rien , sa grand mére triait les pierres a la mine ( elle appelle cela au raccords!!!!!)
elle est ingénieur INSA , prof à l' IUT informatique , comme quoi , certains s' en sortent , capacités , volume de travail ....d' autres pas , vous faites parti du second lot , et si vous aviez réussi , comme ma femme , comme mille autres , centaines de milliers , vous n' auriez pas besoin d 'excuse .

si leurs enfants réussissent c'est qu'ils ont des gouvernantes pour s'en occuper

vous n 'en connaissez aucun de riches , vous retranscrivez des phrases entendues .....tirées de livres relatant l 'époque Zola .
vous êtes , avec une telle personnalité , une persona non grata dans ce milieu....dont vous ignorez tout .


lorsque l'on est né avec une cuilliere en argent dans la bouche ,on n'a aucun mérite à avoir réussi

beau cliché , vous devriez envisager une carrière dans la photo . Votre jalousie doit être aussi développée que votre ressentiment d' échec .

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Re: Brexit: Le débat

Message par vivarais » 15 juillet 2018 16:55

vincent a écrit :
vivarais a écrit :

je viens d'un milieu ouvrier et donc majoritairement mes amis et relations sont issus de ce milieu
il y a ceux qui ont réussi car ils ont su aller de l'avant et ce qui se sont contentés de rester dans le trian train de leurs parents
questions poivrots ; il y a plusde detraqués dans les familles aisées que chez les pauvres
et souvent si leurs enfants réussissent c'est qu'ils ont des gouvernantes pour s'en occuper
lorsque l'on est né avec une cuilliere en argent dans la bouche ,on n'a aucun mérite à avoir réussi
vous parlez de ce que vous ignorez alors que moi je fréquente du fait de mes origines et de mon cursus les 2 milieux
je viens d'un milieu ouvrier et donc majoritairement mes amis et relations sont issus de ce milieu

cela se voit . Ma femme est fille de rien , sa grand mére triait les pierres a la mine ( elle appelle cela au raccords!!!!!)
elle est ingénieur INSA , prof à l' IUT informatique , comme quoi , certains s' en sortent , capacités , volume de travail ....d' autres pas , vous faites parti du second lot , et si vous aviez réussi , comme ma femme , comme mille autres , centaines de milliers , vous n' auriez pas besoin d 'excuse .

si leurs enfants réussissent c'est qu'ils ont des gouvernantes pour s'en occuper

vous n 'en connaissez aucun de riches , vous retranscrivez des phrases entendues .....tirées de livres relatant l 'époque Zola .
vous êtes , avec une telle personnalité , une persona non grata dans ce milieu....dont vous ignorez tout .


lorsque l'on est né avec une cuilliere en argent dans la bouche ,on n'a aucun mérite à avoir réussi

beau cliché , vous devriez envisager une carrière dans la photo . Votre jalousie doit être aussi développée que votre ressentiment d' échec .

je vous dirais meme que parfois je suis choqué d'entendre le langage vulgaire et orduriers que ces bonnes gens echanges entre eux
une manière de d'encanailler peut etre

mais vous pouvez pensez ce que vous voulez je m'en tape car moi j'ai été forgé à l'école de la vie en commençant par l'ecole de jules ferry pour commencer et non des instituts privés où les enfants de nos ministres de l'education nationale vont ainsi que ceux de tous les politiques

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Re: Brexit: Le débat

Message par Fonck1 » 18 juillet 2018 07:54

Brexit: L'idée d'un nouveau référendum fait son chemin au Royaume-Uni

UE OR NOT UE? De l'autre côté de la Manche, plusieurs personnalités politiques suggèrent qu'un nouveau vote soit organisé...

Après deux ans de querelles gouvernementales et autres dissensions parlementaires sur le Brexit, l’idée que seul un nouveau référendum pourra trancher sur l’avenir du pays fait son chemin au Royaume-Uni. L’ancienne ministre de l’Education Justine Greening est devenue lundi l’un des plus influents soutiens à l’organisation d’un tel scrutin, connu sous le nom de « People’s Vote » (« Le vote populaire »), et qui, petit à petit, rallie de plus en plus de partisans.

« La seule façon de sortir de l’impasse, c’est de retirer la décision finale sur le Brexit des mains des politiciens, (…) et de la rendre au peuple », a déclaré la députée conservatrice dans le Times. Sa prise de position intervient après la publication par le gouvernement conservateur du « plan de Chequers », une proposition visant à conserver des liens commerciaux étroits avec le continent après le Brexit, prévu le 29 mars 2019.
« Nous sommes coincés »

Ce projet a provoqué des démissions au sein du gouvernement et des menaces de rébellion parmi les députés eurosceptiques, faisant craindre à certains diplomates européens que Londres ne soit finalement jamais en mesure de conclure d’accord sur le divorce.

Fervent défenseur de l’Union européenne, l’ancien Premier ministre travailliste Tony Blair a donné de la voix ce week-end pour réclamer lui aussi un nouveau vote, affirmant que l’exécutif n’aurait jamais le soutien nécessaire pour mettre en œuvre son « plan de Chequers ». « Nous sommes coincés. Dans n’importe quel monde rationnel, (…) ce serait au peuple de prendre la décision », a-t-il souligné.

L’idée d’un nouveau référendum, après celui du 23 juin 2016 qui avait décidé à 52 % de la sortie de l’UE, est également soutenue par l’ancien Premier ministre conservateur John Major, par l’ancien vice Premier ministre Nick Clegg, un centriste, ou encore par l’ancien ministre des Affaires étrangères travailliste David Miliband.

Changement dans l’opinion

Au-delà des prises de position, le mouvement en faveur d’un deuxième référendum s’organise : fin juin à Londres, ce sont des dizaines de milliers de personnes qui ont manifesté pour demander un vote sur les conditions finales du retrait du Royaume-Uni de l’UE. En avril, neuf organisations pro-UE ont lancé une campagne commune pour promouvoir une nouvelle consultation qui, concrètement, proposerait soit d’accepter les orientations de Theresa May, soit de rester dans l’UE.

Tony Blair et Justine Greening militent pour la présence d’une troisième option sur le bulletin : la possibilité de sortir de l’UE sans accord avec Bruxelles, une voie également défendue par certains Brexiters purs et durs. L’opposition travailliste, pas épargnée par les divisions sur le Brexit, a elle refusé jusqu’ici d’exclure un nouveau référendum, à l'inverse de Theresa May. « En aucune circonstance », a encore insisté lundi le porte-parole de la Première ministre.

Un changement est en revanche perceptible dans l’opinion publique : selon l’institut YouGov, le pourcentage de personnes estimant que le Brexit n’était pas la bonne décision est maintenant plus élevé que celui des personnes qui pensent le contraire. Certains opposants à un nouveau référendum commencent aussi à penser qu’il pourrait s’agir de la solution idoine pour sortir de l’état de crise quasi quotidienne dans lequel se trouve l’exécutif britannique.
Réduire au silence les « jérémiades »


William Hague, figure influente des conservateurs, a mis en garde les eurosceptiques la semaine dernière en déclarant que cette solution deviendrait inévitable en cas de rébellion contre la Première ministre. « On en arrive au point où ils sont en train de mettre en danger tout ce qu’ils ont essayé d’obtenir », a-t-il dit sur la BBC, citant différents scénarios possibles pour la suite : « pas de Brexit, Brexit repoussé, indéfiniment, changement de gouvernement, deuxième référendum… ».

L’un des plus ardents défenseurs du Brexit, Nigel Farage, ancien leader du parti europhobe Ukip, a lui-même évoqué un nouveau vote. Misant sur une confirmation du Brexit, il a estimé que cela permettrait de réduire au silence les « jérémiades » des uns et des autres. Avant de faire machine arrière.
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
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Message par Fonck1 » 18 juillet 2018 07:58

Les crises et les démissions se multiplient au sein des gouvernement et Parlement britanniques, dans un chaos tel que les risques d'une sortie de l'UE sans accord augmentent jour après jour.

Brexit, gouvernement, Parlement... Ça craque de partout au Royaume-Uni

«Et si on partait tous en vacances plus tôt ? Ces derniers mois ont été éprouvants, le Brexit est un casse-tête invraisemblable, je risque ma tête tous les deux jours, si on faisait une pause dans les hostilités, histoire de calmer les esprits ?» Voici la traduction (très libre) de l’amendement déposé par le gouvernement de Theresa May mardi soir devant les députés de la Chambre des communes. Le Parlement est supposé suspendre ses travaux le 24 juillet jusqu’au 4 septembre, mais la Première ministre, en équilibre de plus en plus instable à la tête de son gouvernement, aurait souhaité envoyer les députés à la plage un peu plus tôt, dès jeudi.

Parce que ça craque de partout. Le Brexit craque, mais aussi le gouvernement, qui enregistre environ une démission par jour depuis une semaine, le parti conservateur, celui du Labour et un peu le pays tout entier, divisé par le chaos ambiant. Par où commencer ? Au Royaume-Uni, ce qui était vrai hier ne l’est plus aujourd’hui et le sera encore moins demain. C’est à ce rythme épuisant que vit le pays depuis deux ans et le référendum sur la sortie de l’Union européenne, remporté à 51,9% par les partisans du Leave (quitter). Chaque début de certitude est balayé en quelques jours par une nouvelle crise.

Mardi matin, la campagne du Leave a été condamnée à payer une amende de 61 000 livres (68 760 euros) pour avoir enfreint la loi électorale en dépassant ses dépenses de campagne, sciemment, en transférant quelque 675 000 livres à un autre groupe de campagne, lui aussi en faveur de la sortie de l’UE. Chaque camp pendant la campagne pour le référendum du 23 juin 2016, celui du Leave et du Remain (rester) était autorisé par la commission électorale à dépenser 7 millions de livres. Quarante pour cent du budget de Vote Leave, mené par l’ancien ministre des Affaires étrangères Boris Johnson et le ministre à l’Environnement, Michael Gove, a été payé à la compagnie de marketing numérique canadienne, Aggregate IQ, liée à Cambridge Analytica. Cette compagnie a été accusée d’avoir volé des millions de données personnelles d’utilisateurs de Facebook pour les utiliser comme cibles électorales.
«Ce foutu truc doit être annulé et réorganisé»

Rien ne dit que le résultat du référendum aurait été différent sans ces infractions à la loi, mais l’impression douteuse a suffi pour convaincre plusieurs députés à appeler à l’organisation d’un nouveau scrutin. «Si nous souhaitons maintenir l’intégrité et la confiance du vote public, l’ensemble de ce foutu truc doit être annulé et réorganisé», a rugi, visiblement furieux, le très respecté député conservateur Nicholas Soames, par ailleurs petit-fils de Winston Churchill.

Comme si cela ne suffisait pas, Theresa May essaye de faire voter aux Communes une loi sur les relations commerciales futures avec l’Union européenne. Jeudi dernier, juste avant la débâcle diplomatique du passage du président américain Donald Trump au Royaume-Uni, le gouvernement britannique avait enfin publié son fameux Livre blanc, ses propositions, noir sur blanc, pour la future relation entre le Royaume-Uni et l’Union européenne post-Brexit, après le 29 mars 2019. Pour la première fois depuis le référendum, il avançait des propositions plus ou moins concrètes, sur lesquelles les négociateurs, britanniques et européens, allaient pouvoir éventuellement commencer à travailler. Les propositions de Theresa May semblaient pencher vers un accord qui permettrait au Royaume-Uni de rester proche de l’UE.
Le désordre s’amplifie

Sauf que non. Lundi soir, les plus idéologues des Brexiters ont forcé le gouvernement à adopter quatre amendements qui limitent à nouveau des liens trop proches avec l’UE. En représailles, les députés opposés au Brexit devaient voter mardi soir contre le gouvernement, et avec le Labour, sur un autre amendement qui obligerait le Royaume-Uni à rester au sein de l’union douanière avec l’UE en cas d’absence d’accord commercial avant janvier 2019. Les détails de ces amendements n’ont finalement que peu d’importance. La réalité est que le gouvernement, le parti conservateur et le Parlement britannique sont en guerre avec eux-mêmes. Et personne, ni politiques ni experts, n’est aujourd’hui en mesure de dire si un gagnant sortira triomphant de ce chaos.

Plus le désordre s’amplifie, plus les risques d’une sortie de l’UE sans aucun accord augmentent. Les entreprises ne cachent plus qu’elles s’y préparent désormais activement. Un tel résultat serait une catastrophe, tant pour le Royaume-Uni que pour l’Union européenne. Et ça, personne ne le nie.
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Message par Nitram » 18 juillet 2018 08:18

Et un accord doit être trouvé avec l'UE d'ici 3 mois ... quand il n'y a toujours aucun accord au sein du Royaume-Uni.

Plus le temps passe et plus la sortie du RU sans accord devient probable ...

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Re: Brexit: Le débat

Message par vivarais » 18 juillet 2018 08:27

Fonck1 a écrit :
Les crises et les démissions se multiplient au sein des gouvernement et Parlement britanniques, dans un chaos tel que les risques d'une sortie de l'UE sans accord augmentent jour après jour.

Brexit, gouvernement, Parlement... Ça craque de partout au Royaume-Uni

«Et si on partait tous en vacances plus tôt ? Ces derniers mois ont été éprouvants, le Brexit est un casse-tête invraisemblable, je risque ma tête tous les deux jours, si on faisait une pause dans les hostilités, histoire de calmer les esprits ?» Voici la traduction (très libre) de l’amendement déposé par le gouvernement de Theresa May mardi soir devant les députés de la Chambre des communes. Le Parlement est supposé suspendre ses travaux le 24 juillet jusqu’au 4 septembre, mais la Première ministre, en équilibre de plus en plus instable à la tête de son gouvernement, aurait souhaité envoyer les députés à la plage un peu plus tôt, dès jeudi.

Parce que ça craque de partout. Le Brexit craque, mais aussi le gouvernement, qui enregistre environ une démission par jour depuis une semaine, le parti conservateur, celui du Labour et un peu le pays tout entier, divisé par le chaos ambiant. Par où commencer ? Au Royaume-Uni, ce qui était vrai hier ne l’est plus aujourd’hui et le sera encore moins demain. C’est à ce rythme épuisant que vit le pays depuis deux ans et le référendum sur la sortie de l’Union européenne, remporté à 51,9% par les partisans du Leave (quitter). Chaque début de certitude est balayé en quelques jours par une nouvelle crise.

Mardi matin, la campagne du Leave a été condamnée à payer une amende de 61 000 livres (68 760 euros) pour avoir enfreint la loi électorale en dépassant ses dépenses de campagne, sciemment, en transférant quelque 675 000 livres à un autre groupe de campagne, lui aussi en faveur de la sortie de l’UE. Chaque camp pendant la campagne pour le référendum du 23 juin 2016, celui du Leave et du Remain (rester) était autorisé par la commission électorale à dépenser 7 millions de livres. Quarante pour cent du budget de Vote Leave, mené par l’ancien ministre des Affaires étrangères Boris Johnson et le ministre à l’Environnement, Michael Gove, a été payé à la compagnie de marketing numérique canadienne, Aggregate IQ, liée à Cambridge Analytica. Cette compagnie a été accusée d’avoir volé des millions de données personnelles d’utilisateurs de Facebook pour les utiliser comme cibles électorales.
«Ce foutu truc doit être annulé et réorganisé»

Rien ne dit que le résultat du référendum aurait été différent sans ces infractions à la loi, mais l’impression douteuse a suffi pour convaincre plusieurs députés à appeler à l’organisation d’un nouveau scrutin. «Si nous souhaitons maintenir l’intégrité et la confiance du vote public, l’ensemble de ce foutu truc doit être annulé et réorganisé», a rugi, visiblement furieux, le très respecté député conservateur Nicholas Soames, par ailleurs petit-fils de Winston Churchill.

Comme si cela ne suffisait pas, Theresa May essaye de faire voter aux Communes une loi sur les relations commerciales futures avec l’Union européenne. Jeudi dernier, juste avant la débâcle diplomatique du passage du président américain Donald Trump au Royaume-Uni, le gouvernement britannique avait enfin publié son fameux Livre blanc, ses propositions, noir sur blanc, pour la future relation entre le Royaume-Uni et l’Union européenne post-Brexit, après le 29 mars 2019. Pour la première fois depuis le référendum, il avançait des propositions plus ou moins concrètes, sur lesquelles les négociateurs, britanniques et européens, allaient pouvoir éventuellement commencer à travailler. Les propositions de Theresa May semblaient pencher vers un accord qui permettrait au Royaume-Uni de rester proche de l’UE.
Le désordre s’amplifie

Sauf que non. Lundi soir, les plus idéologues des Brexiters ont forcé le gouvernement à adopter quatre amendements qui limitent à nouveau des liens trop proches avec l’UE. En représailles, les députés opposés au Brexit devaient voter mardi soir contre le gouvernement, et avec le Labour, sur un autre amendement qui obligerait le Royaume-Uni à rester au sein de l’union douanière avec l’UE en cas d’absence d’accord commercial avant janvier 2019. Les détails de ces amendements n’ont finalement que peu d’importance. La réalité est que le gouvernement, le parti conservateur et le Parlement britannique sont en guerre avec eux-mêmes. Et personne, ni politiques ni experts, n’est aujourd’hui en mesure de dire si un gagnant sortira triomphant de ce chaos.

Plus le désordre s’amplifie, plus les risques d’une sortie de l’UE sans aucun accord augmentent. Les entreprises ne cachent plus qu’elles s’y préparent désormais activement. Un tel résultat serait une catastrophe, tant pour le Royaume-Uni que pour l’Union européenne. Et ça, personne ne le nie.

cela ne changera rien : le brexit aura bien lieu

au depart l'UE voulait mener le bal et au final c'est la GB qui meme le bal car l'UE n'a réussi à imposer quoi que ce soit

Nitram
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Re: Brexit: Le débat

Message par Nitram » 18 juillet 2018 09:24

vivarais a écrit :
Fonck1 a écrit :

cela ne changera rien : le brexit aura bien lieu

au depart l'UE voulait mener le bal et au final c'est la GB qui meme le bal car l'UE n'a réussi à imposer quoi que ce soit
L'UE a imposé ses lignes rouges, et à 3 mois de la fin officieuse des négociations le Royaume-Uni n'a toujours aucun plan qui puisse respecter les lignes rouges de l'UE.
Il y a dans cette négociation quelqu'un qui mène le bal (l'UE), et un autre qui danse dans tous les sens et qui va finir par se prendre les pieds dans le tapis (le RU).

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