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la moyenne reste une moyenne.
On ne parle pas d'une augmentation sur l'ensemble du pays, mais sur une zone assez restreinte. C'est étonnant de nier la réalité de ces chiffres.coincetabulle a écrit : la moyenne reste une moyenne.
dire qu'il y a une augmentation de 58 % est un mensonge. il y a eu 7 cas de plus en 5 ans. la seule différence c'est qu'ils ont eu lieu dans les même département, ce qui peut tout à fait relever du simple hasard.
je répète, la moyenne officielle est de 2 pour 10 000 par an, soit 480 cas par an à l'échelle du pays. 7 cas ne font donc pas une augmentation de 58 % et encore moins si c'est sur 5 ans.
Je comprends votre coup de gueule.crepenutella a écrit : Et voila on va encore nous trouver des responsables parmi les agriculteurs qui travaillent. Les malformations il y en a toujours eu, ces aux parents d'assumer, parce que là on sent le procès à plein nez pour s'en mettre plein les poches. Si Dieu à voulu faire naitre ses enfants comme cela c'est qu'il a ses raisons, arrêtez d'empêcher les gens de travailler! Vous ne croyez pas qu'il y a assez de chômage et d’impôts en France? Qui c'est qui va payé encore? Le contribuable comme d'habitude. Il faut choisir à un moment donné, soit on vit comme des sauvages soit on ne se plein pas. On est bien content d'avoir de la nourriture et de l’électricité. Combien y avait-il de mortalité infantile avant einh? Les choses se sont considérablement arrangé depuis, donc ce genre d’obscurantisme écolo gaucho ça suffit! C'est une fake News, vous n'avez aucune preuve qu'il y ai vraiment des malformations dans cette villes en plus, ni que les parents ne soient pas de gauche et donc malhonnêtes. Devons nous croire sur paroles ces journaux aux ordre de la bobocratie?
Vous voulez quoi à la fin? Que l'on contrôle les entreprises de produits chimiques, que l'on mette encore plus de normes? C'est une entrave à la propriété privée et cela plombe notre croissance! Avec le chômage que l'on a on ne peut pas se permettre se genre de choses.
Plus je vois tes arguments fumeux, plus je combats le communisme, le marxime et le bolchevisme !Georges61 a écrit :Si Dieu a voulu cela c'est qu'il a ses raisons. on peut l'appliquer à toutes les situations : l'holocauste, la mort de 25 000 enfants par jour, à cause du manque de nourriture, tous les massacres, les avions qui s'écrasent, les 4500 morts par an sur nos routes...crepenutella a écrit : Et voila on va encore nous trouver des responsables parmi les agriculteurs qui travaillent. Les malformations il y en a toujours eu, ces aux parents d'assumer, parce que là on sent le procès à plein nez pour s'en mettre plein les poches. Si Dieu à voulu faire naitre ses enfants comme cela c'est qu'il a ses raisons, arrêtez d'empêcher les gens de travailler! Vous ne croyez pas qu'il y a assez de chômage et d’impôts en France? Qui c'est qui va payé encore? Le contribuable comme d'habitude. Il faut choisir à un moment donné, soit on vit comme des sauvages soit on ne se plein pas. On est bien content d'avoir de la nourriture et de l’électricité. Combien y avait-il de mortalité infantile avant einh? Les choses se sont considérablement arrangé depuis, donc ce genre d’obscurantisme écolo gaucho ça suffit! C'est une fake News, vous n'avez aucune preuve qu'il y ai vraiment des malformations dans cette villes en plus, ni que les parents ne soient pas de gauche et donc malhonnêtes. Devons nous croire sur paroles ces journaux aux ordre de la bobocratie?
Vous voulez quoi à la fin? Que l'on contrôle les entreprises de produits chimiques, que l'on mette encore plus de normes? C'est une entrave à la propriété privée et cela plombe notre croissance! Avec le chômage que l'on a on ne peut pas se permettre se genre de choses.
C'est vrai qu'avec ce genre d'argument on peut tout expliquer et justifier. Qui c'est ce "Dieu" qui se complet dans la souffrance des êtres qu'il aurait créé. Je suis agnostique, et plus j'entends ce genre d'argument, moins je crois qu'un "Dieu" existe.
Madeleine Allbright serait donc Dieu ? C'est pas un cadeau parce qu'elle est moche !quo vadis a écrit :Madeleine Allbright avait justifié la mort de 500.000 enfants irakiens du fait de l'embargo sans parler des retombéesGeorges61 a écrit :
Si Dieu a voulu cela c'est qu'il a ses raisons. on peut l'appliquer à toutes les situations : l'holocauste, la mort de 25 000 enfants par jour, à cause du manque de nourriture, tous les massacres, les avions qui s'écrasent, les 4500 morts par an sur nos routes...
C'est vrai qu'avec ce genre d'argument on peut tout expliquer et justifier. Qui c'est ce "Dieu" qui se complet dans la souffrance des êtres qu'il aurait créé. Je suis agnostique, et plus j'entends ce genre d'argument, moins je crois qu'un "Dieu" existe.
du phosphore blanc utilisé à Fallouja. Lorsqu'un parterre de journalistes américain lui a reproché cet embargo inutile,
elle a répondu que c'est utile. Donc pertes et profits....Game over...au suivant.
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Si le maire de Guidel est socaliste ou communiste, faut pas chercher plus loin l'explication !Georges61 a écrit : C'est vrai que cette "épidémie" de malformation dans cette commune mérite que l'on se pose des questions, le hasard à souvent bon dos.
Naître sans bras ou sans mains, c'est pas grave. Le plus important est d'avoir un appareil génital en bon état de fonctionnement !oups a écrit :Bien que naitre sans mains ou avec deux mains gauches si papa ou maman est dans la politique , c'est ptete juste l'héréditéquo vadis a écrit :
Pratique pour évacuer des responsabilités ...pratique pour ne pas engager d'enquête sanitaire pour que cela cesse
de se reproduire...allez circulez...y'a rien à voir...
Je gage que si un haut responsable politique avait sa femme qui accouche d'un enfant mal formé, la chanson aurait été toute autre.
.![:]](https://www.forum-actualite.com/debats/images/smilies/8.gif "Dan.San")
Dans ce cas juste besoin d'un ptit piston parental pour que le malheureux rejoigne ses semblables.....dans l'administration
Côté arguments fumeux, vous n'êtes pas mal non plus, en prétendant qu'un Dieu nous auraient créé et aurait décidé de nous faire souffrir. L'existence des fées, des elfes et du père Noël me paraissent plus crédible.Pas de chance le maire de Guidel, Jo Daniel, est de droite.oldeagle a écrit :Si le maire de Guidel est socaliste ou communiste, faut pas chercher plus loin l'explication !Georges61 a écrit : C'est vrai que cette "épidémie" de malformation dans cette commune mérite que l'on se pose des questions, le hasard à souvent bon dos.
je ne nie pas la réalité de ces chiffres, pas plus qu'ils correspondent à une zone restreinte et encore moins qu'il ne sont que le résultat d'une moyenne nationale.Stounk a écrit :On ne parle pas d'une augmentation sur l'ensemble du pays, mais sur une zone assez restreinte. C'est étonnant de nier la réalité de ces chiffres.coincetabulle a écrit : la moyenne reste une moyenne.
dire qu'il y a une augmentation de 58 % est un mensonge. il y a eu 7 cas de plus en 5 ans. la seule différence c'est qu'ils ont eu lieu dans les même département, ce qui peut tout à fait relever du simple hasard.
je répète, la moyenne officielle est de 2 pour 10 000 par an, soit 480 cas par an à l'échelle du pays. 7 cas ne font donc pas une augmentation de 58 % et encore moins si c'est sur 5 ans.
https://www.lci.fr/sante/bebes-nes-sans ... 00567.htmlLa scientifique qui a alerté sur les bébés nés sans bras en passe de perdre son emploi
Trois mois après la publication d'un rapport sur des anomalies réductionnelles des membres constatées chez des enfants nés dans l'Ain, le Registre des malformations congénitales en Rhône-Alpes a annoncé qu'il fermera ses portes le 31 décembre prochain. Faute de subventions suffisantes de la part de l'Etat et du CHU de Lyon, cette structure, dirigée par l'épidémiologiste Emmanuelle Amar, cessera donc ses activités, douze ans après sa création.
Une décision qui passe mal pour la scientifique qui s'est exprimée à plusieurs reprises depuis la rentrée sur les nombreux cas d'enfants nés sans bras dans trois départements français (la Bretagne, l'Ain et les Pays de la Loire) entre 2009 et 2014. Contactée par France Info, elle explique ne pas croire aux motifs économiques invoqués pour expliquer son licenciement ainsi que celui de ses cinq collaborateurs.
"On veut se débarrasser d'une petite structure qui a des velléités de transparence sur les rapports d'activité, financiers, et sur les alertes", estime-t-elle.
Après des alertes répétées depuis 2014 sur la naissance énigmatique de sept enfants nés sans bras ou sans main dans un rayon de 17km dans l'Ain, Santé Publique France a rendu ses conclusions le 4 octobre dernier. L'organisme, qui remet en cause la méthodologie utilisée par le Remera, a estimé qu'aucun facteur commun ne se distinguait de manière significative pour pouvoir expliquer ces malformations....
Du coté de Santé publique France, on préfère mettre en avant la méthodologie employée qui a permis d’aboutir à ces conclusions, et qui diffère de celle de Remera. "Nous, nous comparons le nombre de cas observés au nombre de cas attendus", résume Nolwenn Regnault, coordinatrice du programme de surveillance de la santé périnatale chez Santé publique France qui précise que la même méthode a été appliquée dans les trois territoires concernés.
"Le travail de Remera repose quant à lui sur des techniques de balayages différents et présente, parce qu’il se concentre sur un échelon géographique communal très resserré, un chiffre impressionnant effectivement" a-t-elle détaillé.
Mais trois biostatisticiens sollicités par Le Monde, ont récemment jugé qu’un rapport écartant un excès de malformations dans l’Ain est révélateur d'"erreurs d’analyse incompréhensibles". Selon Jacques Estève, ancien directeur de l’unité de biostatistiques du Centre international de recherche sur le cancer, l’étude du Registre des malformations en Rhône-Alpes mise en cause par Santé Publique France, "présente en réalité une méthodologie plus adaptée et rigoureuse." Et ce dernier de détailler : "Un étudiant de première année d’université serait surpris d’apprendre que sept cas observés dans l’Ain, dans une population de 5 738 naissances, ne sont pas un événement exceptionnel, alors que la probabilité d’observer un seul cas est de 1,7 sur 10 000"....
Source:Le Parisien.
C’est une nouvelle affaire qui s’ajoute à une liste déjà longue et inexpliquée. Alors que, ces derniers mois, plusieurs cas groupés de bébés nés sans bras, ont défrayé la chronique, dans l’Ain, le Morbihan, la Loire-Atlantique, cette fois-ci, trois nouveaux cas viennent compléter cette mystérieuse carte française des malformations. Il s’agit de trois petites filles, nées en juin, août, novembre 2016, dans un rayon de 30 km autour de Vitrolles (Bouches-du-Rhône) à Salon de Provence, Septèmes-les-Vallons, à Gignac-la-Nerthe.
Selon nos informations, il s’agit bien « d’un cas groupé », encore appelé cluster. En effet, la survenue de trois malformations de ce type dites « agénésie transverse des membres supérieurs » (ATMS), à quelques kilomètres de distance, et en peu de temps, est supérieure statistiquement à ce qui devrait survenir, selon les données de la littérature scientifique.
Ce que confirme Emmanuelle Amar, la lanceuse d’alerte, la première à avoir révélé l’affaire des bébés sans bras dans l’Ain, grâce à une enquête du Registre d’étude des malformations en Rhône-Alpes (Remera) dont elle est la directrice. « La science estime qu’une ATMS se produit lors d’une naissance sur 10 000. Il y a 27 000 naissances par an dans les Bouches-du-Rhône, donc avec trois agénésies par an, on est déjà au-dessus du nombre total attendu. Mais, en plus, là elles se produisent dans un rayon de 30 km. C’est une affaire très sérieuse ».
Toujours pas de cause identifiée
Ce sont les familles elles-mêmes qui ont lancé l’alerte auprès de l’association. « Les données ont été transmises à Santé Publique France », explique Emmanuelle Amar. Une maman nous confie être encore « sous le choc ». Interrogé dimanche soir, le ministère de la Santé explique que « de la même manière que des enquêtes ont été diligentées dans l’Ain, le Morbihan et en Loire-Atlantique, tous les nouveaux clusters doivent être investigués sur la base d’informations concordantes, suivant une méthodologie précise, et permettant d’en tirer des conclusions scientifiques ». La ministre, Agnès Buzyn, assure-t-on, suit de « près le dossier » et insiste sur « l’accompagnement des familles ».
Encore des cas, toujours des questions. Parmi elles : quelle est la cause de ces handicaps ? Jusqu’alors, Santé Publique France, qui dépend du ministère, n’a toujours pas identifié de cause commune à la survenue de ces malformations. L’une des pistes à creuser ? L’environnement. Dans les Bouches-du-Rhône, les parents vivent tous à proximité de sites industriels polluants. « J’ai regardé les dossiers. Effectivement, les cas apparaissent autour de l’Etang de Berre, dans une zone qui est connue pour être très polluée, avec des risques pour la santé. Cela mérite une enquête plus approfondie pour comprendre ce qui s’est passé », explique le Dr Annie Lévy-Mozziconacci, généticienne, responsable du centre de médecine fœtale de l’hôpital-Nord, et conseillère municipale PS à Marseille. Les habitants de ce pourtour industriel, sont, en effet, deux fois plus frappés par le cancer, ainsi que par des maladies chroniques comme l’asthme et le diabète.
Ces affaires mettent aussi en lumière l’épineux problème du recensement. Combien de bébés naissent par an avec ce type de malformations ? Si on estime leur nombre à 150, on ne connaît pas le taux par département. Aussi surprenant que cela puisse paraître, il n’existe pas de fichier national mais uniquement des registres dans certaines zones. Un recensement qui ne couvre que 19 % des naissances françaises.
Lien pour la carte:
http://s1.lprs1.fr/images/2019/01/21/ef ... 4cbd_1.jpg
Après les affaires locales survenues dans l’Ain, le Morbihan, et en Loire-Atlantique, une enquête nationale a été lancée par les autorités sanitaires, dont les premières conclusions doivent être divulguées fin janvier.
Selon nos informations, plusieurs médecins épidémiologistes de Sante Publique France tentent de déterminer, département par département, combien de « bébés sans bras » naissent chaque année, mais le « comité scientifique » et le « comité d’orientation et d’information » qui ont été annoncés le 29 octobre 2018, n’ont toujours pas été constitués.
Depuis quatre mois, les révélations s’enchaînent
Le scandale des bébés sans bras débute en septembre. Une enquête de France 2 met en lumière un rapport médical « troublant », longtemps resté confidentiel : sept bébés sont nés sans bras ou sans mains en cinq ans dans un rayon de 17 km autour de Druillat, un village de l’Ain. C’est « 58 fois plus que la normale », selon le Remera, le registre des malformations Rhône-Alpes qui avait alerté les autorités sanitaires nationales fin 2014. L’affaire est lancée.
Deux autres cas « groupés » sont dévoilés : dans le Morbihan et en Loire-Atlantique. Les mamans se mettent à parler. Notamment Isabelle Taymans-Grassin, mère d’une petite Charlotte, six ans, née sans main gauche lorsque la famille résidait à Guidel. Jointe aujourd’hui, elle s’avoue « déçue, car les enquêtes nationales sur les causes des malformations semblent s’enliser. Avec son mari Antoine, elle coordonne des actions de familles, au sein de l’association Assedea qui sont dans le même cas qu’eux, notamment à Guidel (Morbihan).
« Les autorités sanitaires avaient promis de nous associer et pour l’instant cela ne se traduit pas de façon concrète. Mais on attend quoi pour nous répondre ? » s’interroge Isabelle, médecin de formation. « On nous avait laissé entendre que nous pourrions participer à des réunions sur ce sujet au ministère de la Santé, mais cela n’a pas eu lieu. On a un peu l’impression qu’ils n’arrivent pas à faire le tri dans les informations qui leur arrivent, mais sans pour autant associer vraiment les associations à leurs démarches. C’est un peu dommage », ajoute-t-elle. « On est pourtant tous d’accord sur l’idée qu’il faut davantage documenter cette question. On veut davantage d’informations sur le nombre d’enfants concernés par ce handicap, et éventuellement par les facteurs, environnementaux ou non, qui peuvent provoquer ces malformations. Il n’est peut être pas trop tard pour trouver la vérité », conclut-elle.
Ouais, bof, c'est un breton !Georges61 a écrit :Pas de chance le maire de Guidel, Jo Daniel, est de droite.oldeagle a écrit :
Si le maire de Guidel est socaliste ou communiste, faut pas chercher plus loin l'explication !
Mais tous n'emploie pas les mêmes quantités.oldeagle a écrit :Ouais, bof, c'est un breton !Georges61 a écrit :
Pas de chance le maire de Guidel, Jo Daniel, est de droite.
Moi je dis que si ces mal formations étaient liées au Glyphosate, pourquoi c'est que dans certains départements et pas dans d'autre ? Logiquement, tous les agriculteurs utilisent le glyphosate partout sur le territoire,donc ces problèmes de mal-formation devraient être généralisée partout ! Ce n'est pas le cas.
C'est peut être aussi du à un médicament (genre dépakine) prescrit par certains médecin ! Laissons l'enquête se faire ! On verra bien ce qu'il en ressort.
