Pour la réduction du déficit...Bruno Le Maire a déclaré que les mesures envisagées ne reviendraient pas uniquement à « colmater des brèches : nous prendrons des décisions très concrètes d’économies », qu’il n’a pas détaillées. Il a souligné que la maîtrise des déficits, « condition de notre souveraineté », était « impérative ».
"L'info" et les décisions sortent APRES l'élection.
Avant cela aurait pu gêner Jupiter.
Baisse due au chômage.Hausse de la CSG et baisse de la taxe d’habitation
Au-delà de ces mesures, le ministre de l’Economie a réitéré la volonté de réformes fiscales du gouvernement, dont la hausse de la CSG de 1,7 point. Cette réforme, qui devrait entrer en vigueur le 1er janvier 2018, prévoit d’augmenter le taux de la CSG (contribution sociale généralisée), utilisée pour financer la protection sociale (sécurité sociale, prestations familiales…) afin de compenser une baisse des cotisations chômage et maladie des salariés du secteur privé.
Le déficit pourrait être réduit , selon Macron par de nombreuses création d'emplois grâce à la casse du Code du Travail, mais non.
Conclusion logique: la casse du Code n'a pas pour but de créer des emplois.
Et la réduction du chômage de masse n'est pas un objectif du gouvernement.
D'ailleurs...
C'est une politique très semblable aux précédentes.Baisse de l’impôt sur les sociétés
Le ministre a confirmé la volonté du gouvernement de réduire l’impôt sur les sociétés à 25 % « sur la durée du quinquennat ». Il a fait aussi de la convergence avec l’Allemagne une priorité. « Nous voulons avancer très vite sur la convergence fiscale de l’Allemagne et de la France. Notre objectif est de parvenir à une convergence rapide de l’impôt sur les sociétés. », a expliqué le ministre au Figaro. Des propositions concrètes dans ce sens devraient être présentées par Emmanuel Macron et Angela Merkel, lors du conseil des ministres franco-allemand du 13 juillet,
Transformation du CICE
Autre chantier ; transformer le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) en baisse des cotisations pour les entreprises.« Cette transformation se fera. Elle est indispensable pour gagner en simplicité pour les entreprises, en particulier les PME. Mais je veux d’abord ouvrir des discussions avec les entrepreneurs pour étudier les meilleurs moyens de la réaliser », a toutefois précisé le ministre.
Avec les affaires qui continuent, on se demande où est la "révolution".
Une tempête dans un verre d'eau.