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Jeunes millionnaires, les footeux, simplement en tapant dans un ballon ? pas du tout.Pas si simple que ça, c’est un entraînement quotidien poussé , un match est une confrontation forte contre des concurrents, on prend des coups, on sprint durant tout le match, épuisant.
On est noté par des journaleux assis sur leur fesses, qui font du blabla à la télé, à la moindre faiblesse ... viré !
Il faut aussi de la chance, savoir éviter la blessure grave, sinon adieux les millions.
Le footeux a dix années pour faire fortune, et seule une élite sera élue, rien à voir avec un travail de fonctionnaire.
L’argent du foot viendrait de nos poches ? là encore, que nenni, les trois premiers investisseurs sont étrangers, le Quatar (PSG), un oligarque russe (Monaco), un ricain (OM), les chinois s’intéressent à Auxerre.
César l’avait dit avant vous, le peuple demande du pain et des jeux, moi je pense que vous êtes un peu jaloux, du succès de tous ces mecs, et voilà tout !
Pourquoi un footeux serait moins intéressant qu’un intello genre, Onfray, Attali, Minc, ou beaucoup d’autres qui chaque fois qu’ils sortent un bouquin, ou lors d’un événement se trouvent obligés de venir nous dire ce qu’il faut en penser ?
Alors comme ça les gens de gauche vont à l’Opéra !!!
Dingue, moi qui croyait que la gauche c’était des “travailleurs” de chez Renault, ou des fonctionnaires bien en place comme Mélanchon, qui est devenu aussi riche qu’un footeux, a force de réfléchir à nos problèmes.
La gauche aujourd’hui ne serait elle pas devenue une classe de bobos qui se la jouent, lisent des livres (comme dit si bien Zemmour), vont à l’Opéra, voient des films “art et essais”, fréquentent des expos, puis viennent étaler leur grande culture, comme font les journaleux avec ... le foot.
Quand les sportifs arrivent à gagner quelqu’argent avec leur sport, ils ont bien raison d’aller le planquer en Suisse, plutôt que de le donner à des politicarts incompétents, qui en quelques dizaines d’années ont creusé une dette colossale, sans jamais parvenir à inverser pour autant la courbe du chômage, bien au contraire.