Le réchauffement climatique, c'est la fin du monde !
Notre planète la terre est suspendue dans le vide dans l’océan infini de l’espace.
C’est en quelque sorte
notre berceau de vie initiale notre grosse protéine nourricière et notre bateau…
A travers ces trois considérations, nous sommes complètement sous dépendance.
Notre destin, l’aventure humaine est lié à cette planète bleue.
Il n’y a pas d’autre planète de remplacement…
La physiologie de l’homme ne supporterait pas un long voyage dans le lointain cosmos à cause des radiations cosmiques et l’absence de pesanteur.
La terre est notre radeau, notre espace sphérique de survie.
Nous sommes tous responsables de la dégradation de notre nid naturel.
Nous polluons, nous polluons et bientôt nous seront plus de sept milliards d’humains.
Notre fragile embarcation à long terme ne supportera pas cette augmentation des contraintes.
Surtout, avec un haut niveau de confort de vie actuelle.
Démographique et énergétique.
Pollution de l’air, de l’eau, deux éléments naturel indispensable pour le maintient de le vie sur terre.
La mauvaise gestion des ressources naturelles et les conséquences catastrophiques sont plus que probables.
Nous jouons à la roulette russe comme dans le film
« Voyage au bout de l'enfer » Réalisé par Michael Cimino »
Nicolas Hulot a écrit un livre :
« Le syndrome du Titanic ».
Le parallèle est juste avec la situation actuelle, le réchauffement climatique et ses possibles désordres apocalyptiques.
Certains diront encore du pessimisme de comptoir…
Peut-être...
Un proverbe typiquement français dit :
« Après moi, c’est la fin du monde ! »
Oui, c’est bien la le fond du problème de nos petits enfants.