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En dépit de nombreuses fautes impardonnables. Je le constate que maintenant.Dan a écrit : Merci. Votre post fût très plaisant à lire et très enrichissant.
Il existe effectivement des limites. Mais je ne saurai les mentionner précisément sans me référer directement aux textes.Petite parenthèse : pour la polygamie en islam, je crois qu'il y a certaines conditions à respecter selon les versets coraniques et le nombres de conjointes est aussi restreint à 4, me semble t-il.
Ben c'est pour ça que jamais le taux de divorce n'a été aussi haut. C'est précisément parce que l'amour est un ensemble de réactions chimiques cérébrales variables que les relations actuelles fondées sur l'amour sont plus variables à leur tour et que l'historique personnel est jalonné d'histoires d'amour multiples et de familles recomposées.Sinon à part ça, je me posais une autre question : vous disiez plus haut que l'amour est une question de chimie, de phéromone, les androstérone, etc. Mais comme toute réaction chimique, est-ce que l'amour fini inévitablement par se consumer ? Si c'est le cas, je trouve ça terrible, parce que ça voudrait dire qu'on pourrait épouser une femme ou un homme sans pouvoir l'aimer éternellement, et donc au bout d'un certain temps, nous ne serions plus amoureux(se) de notre conjoint(e) ?
C'est pas fatal que l'amour disparaisse. Il peut y avoir une attirance, une passion mutuelle qui peut durer jusqu'à la fin de nos existences, avec une conviction ferme et partagée que nous sommes avec la bonne personne. Et si les justifications rationnelles sont plus solides, elles n'apportent pas vraiment ce ressenti si particulier du sentiment amoureux, pas toujours.