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plus-un2Scarla a écrit : C'est Cheb Mami le sujet?
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Tous ses amis le disent, Cheb Mami - «le Môme», en arabe - «n'a pas pu faire ça». A le voir pleurnicher dans son box à l'écoute de sa gloire passée, on pourrait presque le croire. Il y a encore six ans, il était «le Prince du raï», vedette en France, star au Maghreb, qui chantait en duo avec Sting ou Zucchero. Ce jeudi, il est redevenu Mohamed Khelifati, 42 ans, léger embonpoint et chemisette blanche, jugé pour avoir tenté de faire avorter de force son ex-compagne. Jeudi soir, le procureur du tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a requis sept ans de prison à son encontre.
En août 2005, Camille*, photographe de presse spécialiste du raï, est enceinte de six mois du chanteur. Ce bébé, lui n'en veut pas. La jeune femme est alors invitée en Algérie par le manager du «Môme» pour un festival. A la place, elle aura droit à un jus d'orange drogué par Abdelkader Lallali - le bras droit de Mami de l'autre côté de la Méditerranée - et à une tentative d'avortement sauvage dans la villa du chanteur. «Il y avait deux femmes et Kader... une m'appuyait sur le ventre, l'autre grattait avec ses mains... Kader m'insultait... je saignais beaucoup, ça a duré toute la nuit», a-t-elle raconté jeudi, d'une voix blanche. L'enfant survivra malgré l'arrachage d'un bout d'utérus, et sa mère finira par porter plainte à son retour en France, après une longue hésitation - «Je ne voulais pas que mon bébé sache comment il avait commencé sa vie». Dans le box, Cheb Mami se fait encore plus petit qu'il ne l'est. «J'ai toujours essayé de régler ça de manière amicale», tente-t-il de se justifier. Mais, confuses, ses explications l'enfoncent encore plus. Ce bébé n'était «pas désiré» et un enfant hors mariage, «c'était contraire à ma culture, à ma religion», précise le Franco-Algérien. L'idée d'un avortement forcé «dans une clinique en Algérie», c'était celle de son manager et sur place, c'est Kader qui a tout organisé, jure-t-il. Longtemps, le chanteur a juré ne pas savoir que sa villa avait servi de bloc opératoire. Hier, il a flanché. «c'est Kader, il me dit la clinique elle veut pas, on vient chez toi, faut que tu partes, je me suis dégagé de chez moi... mais je voulais pas que ça se passe chez moi.» Puis il craque, en larmes : «J'étais dépassé, j'ai fait une faute... depuis, c'est un cauchemar, mais qu'est-ce que j'ai fait ?», se lamente-t-il.
* Le prénom a été changé à sa demande.
Oui, et Cheb Mami mène par 60 réponses à 20 par rapport à une autre affaire aussi dégeulasseScarla a écrit : C'est Cheb Mami le sujet?
AFP - vendredi 3 juillet 2009, 15h39
La star du raï Cheb Mami condamnée à 5 ans de prison ferme
La star franco-algérienne du raï Cheb Mami, 42 ans, a été condamnée à 5 ans de prison ferme vendredi par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour tentative d'avortement forcé sur son ex-compagne.
Ecroué depuis lundi à la prison de la Santé à Paris après deux années de fuite en Algérie, Cheb Mami, Mohamed Khelifati à l'état-civil, a vu son maintien en prison également prolongé.
La peine est moins sévère que les sept ans requis la veille par la procureure et est aussi en dessous de la peine maximale - dix ans- encourue.
Avec des remises de peine, le chanteur peut recouvrer la liberté dans "un peu plus de deux ans", a dit maître Claire Doubliez, l'un des conseils du chanteur.
Chemisette blanche, le chanteur est resté le visage fermé après l'énoncé du jugement. Il a ensuite été emmené sous escorte policière.
Son ex-manager Michel Lecorre (Michel Lévy, BIEN Michel), qualifié d'"organisateur et instigateur" des actes de violences par le tribunal, a écopé de 4 ans de prison. Alors qu'il était jusqu'ici sous contrôle judiciaire, les juges ont prononcé un mandat de détention contre lui.
Hicham Lazaar, l'homme de confiance du chanteur, et Abdelkader Lallali, soupçonné d'être son homme de main, ont été condamnés par contumace à respectivement trois ans et six ans de prison. Présentés par le procureur comme des "exécutants", les juges ont lancé des mandats d'arrêt contre eux.
Les parties ont dix jours pour faire appel de ces décisions.
"Nous n'allons pas faire appel", a déclaré maître Claire Doubliez. D'après elle, Cheb Mami "a accueilli son emprisonnement avec "soulagement parce que tout ça est fini mais aussi avec angoisse parce qu'il va devoir passer 5 ans en prison".
La veille, Cheb Mami, avait demandé pardon à la victime. "Je regrette tout ce qui s'est passé. Je lui demande pardon, je regrette", avait-il lancé après les plaidoiries de ses conseils.
S'il avait reconnu sa responsabilité, Cheb Mami avait néanmoins soutenu avoir été "piégé".
"Ma cliente est soulagée de voir qu'à travers ces peines d'emprisonnement, le tribunal a compris les violences qu'elle a vécues", a réagi maître Marie Dosé, le conseil de Camille -le prénom a été changé à la demande de la victime.
Il était notamment reproché à Cheb Mami des "violences" avec des circonstances aggravantes en 2005 à l'encontre d'une photographe de presse de 43 ans, avec laquelle il entretenait une liaison.
En août 2005, Camille affirme avoir été amenée de force dans une villa à Alger après qu'elle eut annoncé sa grossesse au chanteur qui n'en voulait pas. Elle dit y avoir été droguée et séquestrée, affirmant que deux femmes et un homme ont tenté de lui faire un curetage. Elle a finalement donné naissance à une fillette aujourd'hui âgée de trois ans.
Vendredi Camille était absente lors du jugement "parce qu'elle voulait être avec sa fille", laquelle espère-t-elle "pourra pardonner à son père", a expliqué son conseil.
Ben finalement il était juste prophète, car comparé à Jean Faure :content115 c'est vrai qu'il est plus médiatisé...gemmill a écrit : il avait donné une interwiew a un quotidien algérien il y a 2 ans ; ca décoiffe...
http://www.afrik.com/article11856.html
Sa demande de libération conditionnelle a été rejetée.La star du raï va faire appel de cette décision.
La demande de libération conditionnelle de Cheb Mami a été rejetée, d'après son avocat. La star du raï a été condamnée en juillet 2009 à cinq ans de prison pour une tentative d'avortement forcé de son ex-compagne.
Le chanteur avait fait une "demande de libération conditionnelle parentale concernant son fils" de deux ans, né durant la cavale de l'artiste en Algérie.
Le juge d'application des peines de Melun, ville où Cheb Mami est incarcéré, a "rejeté" cette demande de libération "car son enfant ne vit pas en France mais en Algérie", a poursuivi l'avocat, ajoutant qu'il allait faire "appel".
Selon lui, la loi "n'exige pas que l'enfant ait sa résidence en France mais chez le père" et "c'est le cas car avant son incarcération Cheb Mami, sa femme et son enfant vivaient ensemble en Algérie".
Cheb Mami a été condamné le 3 juillet 2009, notamment pour des "violences" avec circonstances aggravantes en 2005 à l'encontre de Camille, une photographe de presse de 43 ans, avec laquelle il entretenait une liaison.
la circonstance aggravante, c'est qu'il a voulu l'avorter contre sa volontévieux singe a écrit : Il battait sa femme!
En france, c'est pas une circonstance atténuante
ça, c'est autre chose que je n'évoque pas par principe ici!!tisiphoné a écrit : la circonstance aggravante, c'est qu'il a voulu l'avorter contre sa volonté