Un "jeune" tué par un Policier lors d'une course-poursuite.

[Crapulax]

La jeune victime de 26 ans est décédée dans le IXe arrondissement de Paris, dans la nuit de mardi à mercredi. Le policier a été placé en garde à vue.

La course-poursuite s’est terminée dramatiquement vers 23 heures non loin de la butte Montmartre. Un automobiliste de 26 ans a été tué par un policier dans la nuit de mardi à mercredi, à Paris, après avoir refusé de s’arrêter à un contrôle, comme l’a révélé mercredi Europe 1.

Selon des sources proches de l’enquête, tout commence un peu plus tôt dans le quartier des Halles, où trois fonctionnaires à pied effectuent un « contrôle routier ». Ils aperçoivent une Renault Modus, « avec un feu défectueux ». Mais son conducteur refuse, semble-t-il, de s’arrêter, accélérant même pour « renverser la patrouille ». Un jeune gardien de la paix âgé de 23 ans, Kévin, demande alors au conducteur d’un scooter de prendre le véhicule en chasse. Et monte à l’arrière.

La course-poursuite traverse plusieurs arrondissements du centre de Paris, le fuyard prenant des « rues à contresens à vive allure ». Le conducteur de la voiture se retrouve finalement ralenti par la circulation rue Condorcet (IXe). Le policier bondit de son scooter, se positionnant à la hauteur de la portière avant.

L’automobiliste aurait alors enclenché la marche arrière et percuté le scooter dans sa manœuvre. C’est pour, dit-il, protéger le propriétaire du deux-roues que Kévin tire une balle de 9 mm qui traverse l’épaule avant de se loger dans le thorax du conducteur. Ce dernier, originaire de Draveil (Essonne), meurt sur le coup. Romain vendait des fruits et légumes à Paris. La victime était notamment sous le coup d’une procédure ouverte en février pour « conduite malgré une annulation de permis » et « refus d’obtempérer exposant autrui à un risque de mort ou d’infirmité ».

«On voulait qu’il aille de l’avant»

« Pour nous c’est une injustice, nous voulons savoir ce qui s’est passé », confie Fiona, 19 ans, l’une de ses deux sœurs. « Je viens de perdre une partie de moi », dit-elle, dévastée. « Romain, insiste la jeune fille aux yeux rougis, était une personne toujours là pour sa famille. Une personne aimante, gentille, drôle. Avec mes parents, on voulait qu’il aille de l’avant qu’il arrête d’avoir des problèmes avec la police. »

Le père, qui a déposé plainte pour homicide, évoque lui une « haine sans nom ». Il estime que « dans la poursuite, le policier a mis la vie d’autres personnes en danger » et qu’il « pouvait relever la plaque d’immatriculation et venir chercher [son] fils à la maison ». « Je suis très en colère, lâche-t-il. Une haine sans nom. »

Quant au gardien de la paix, âgé de 23 ans, il a été placé en garde à vue pour « violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».
L’IGPN saisie

L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie. Elle devra déterminer si les sommations d’usage ont été faites et si la marche arrière de la voiture mettait réellement en danger la vie d’une personne. Les enquêteurs s’appuieront notamment sur les ondes radio de la police. Selon une source proche du dossier, la salle de commandement avait demandé au jeune gardien de la paix de cesser la poursuite. Pour autant, ce dernier a reçu le soutien du syndicat Alliance.

« Il a pris une initiative, celle de réquisitionner le scooter. Ces situations de tension extrême de plus en plus fréquentes sur les contrôles. Certaines personnes, parce qu’elles sont ivres ou n’ont plus de permis, ne s’arrêtent plus et prennent la fuite mettant en danger la vie de nos collègues et celles des autres », insiste Loïc Lecouplier, responsable Île-de-France d’Alliance.

La Police tire de plus en plus:

La police n’a jamais autant ouvert le feu en France. Ces tirs interviennent souvent dans le contexte de contrôles routiers tendus marqués par le « refus d’obtempérer » du conducteur. Le dernier rapport de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) pointe une forte hausse l’année dernière. Soit environ 400 tirs, représentant une augmentation de… 54 % par rapport à 2016. La police des polices est alors systématiquement saisie, que l’ouverture du feu semble légitime ou non.

Les gendarmes sont eux aussi concernés par cette tendance à la hausse mais dans une moindre proportion. Dans la très grande majorité des cas, les fonctionnaires ont recours au pistolet Sig Sauer 9 mm de dotation.

Dans son dernier bilan, l’IGPN a aussi rendu public un indicateur mis en place à l’initiative de sa directrice, Marie-France Monéger-Guyomarc’h : le nombre de personnes tuées à la suite d’intervention de police. Quatorze au total entre juillet 2017 et mai 2018, qu’elles aient été touchées par balles, qu’elles soient mortes noyées ou par accident dans leur fuite ou qu’elles se soient suicidées lors de l’intervention des forces de l’ordre.


Source:Le Parisien.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/u ... 853409.php

[Anne32]

Si l'article du Parisien est exact, il semble donc qu'il y a délit de fuite
Etant donné la situation actuelle, avec l'insécurité qui règne dans nos rues, que ce soit terrorisme ou droit commun, il est compréhensible que ce jeune policier ait fait usage de son arme.

L'enquête permettra d'éclaircir cette affaire.

[le chimple]

La jeune victime de 26 ans est décédée dans le IXe arrondissement de Paris, dans la nuit de mardi à mercredi. Le policier a été placé en garde à vue.

La course-poursuite s’est terminée dramatiquement vers 23 heures non loin de la butte Montmartre. Un automobiliste de 26 ans a été tué par un policier dans la nuit de mardi à mercredi, à Paris, après avoir refusé de s’arrêter à un contrôle, comme l’a révélé mercredi Europe 1.

Selon des sources proches de l’enquête, tout commence un peu plus tôt dans le quartier des Halles, où trois fonctionnaires à pied effectuent un « contrôle routier ». Ils aperçoivent une Renault Modus, « avec un feu défectueux ». Mais son conducteur refuse, semble-t-il, de s’arrêter, accélérant même pour « renverser la patrouille ». Un jeune gardien de la paix âgé de 23 ans, Kévin, demande alors au conducteur d’un scooter de prendre le véhicule en chasse. Et monte à l’arrière.

La course-poursuite traverse plusieurs arrondissements du centre de Paris, le fuyard prenant des « rues à contresens à vive allure ». Le conducteur de la voiture se retrouve finalement ralenti par la circulation rue Condorcet (IXe). Le policier bondit de son scooter, se positionnant à la hauteur de la portière avant.

L’automobiliste aurait alors enclenché la marche arrière et percuté le scooter dans sa manœuvre. C’est pour, dit-il, protéger le propriétaire du deux-roues que Kévin tire une balle de 9 mm qui traverse l’épaule avant de se loger dans le thorax du conducteur. Ce dernier, originaire de Draveil (Essonne), meurt sur le coup. Romain vendait des fruits et légumes à Paris. La victime était notamment sous le coup d’une procédure ouverte en février pour « conduite malgré une annulation de permis » et « refus d’obtempérer exposant autrui à un risque de mort ou d’infirmité ».

«On voulait qu’il aille de l’avant»

« Pour nous c’est une injustice, nous voulons savoir ce qui s’est passé », confie Fiona, 19 ans, l’une de ses deux sœurs. « Je viens de perdre une partie de moi », dit-elle, dévastée. « Romain, insiste la jeune fille aux yeux rougis, était une personne toujours là pour sa famille. Une personne aimante, gentille, drôle. Avec mes parents, on voulait qu’il aille de l’avant qu’il arrête d’avoir des problèmes avec la police. »

Le père, qui a déposé plainte pour homicide, évoque lui une « haine sans nom ». Il estime que « dans la poursuite, le policier a mis la vie d’autres personnes en danger » et qu’il « pouvait relever la plaque d’immatriculation et venir chercher [son] fils à la maison ». « Je suis très en colère, lâche-t-il. Une haine sans nom. »

Quant au gardien de la paix, âgé de 23 ans, il a été placé en garde à vue pour « violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».
L’IGPN saisie

L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie. Elle devra déterminer si les sommations d’usage ont été faites et si la marche arrière de la voiture mettait réellement en danger la vie d’une personne. Les enquêteurs s’appuieront notamment sur les ondes radio de la police. Selon une source proche du dossier, la salle de commandement avait demandé au jeune gardien de la paix de cesser la poursuite. Pour autant, ce dernier a reçu le soutien du syndicat Alliance.

« Il a pris une initiative, celle de réquisitionner le scooter. Ces situations de tension extrême de plus en plus fréquentes sur les contrôles. Certaines personnes, parce qu’elles sont ivres ou n’ont plus de permis, ne s’arrêtent plus et prennent la fuite mettant en danger la vie de nos collègues et celles des autres », insiste Loïc Lecouplier, responsable Île-de-France d’Alliance.

La Police tire de plus en plus:

La police n’a jamais autant ouvert le feu en France. Ces tirs interviennent souvent dans le contexte de contrôles routiers tendus marqués par le « refus d’obtempérer » du conducteur. Le dernier rapport de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) pointe une forte hausse l’année dernière. Soit environ 400 tirs, représentant une augmentation de… 54 % par rapport à 2016. La police des polices est alors systématiquement saisie, que l’ouverture du feu semble légitime ou non.

Les gendarmes sont eux aussi concernés par cette tendance à la hausse mais dans une moindre proportion. Dans la très grande majorité des cas, les fonctionnaires ont recours au pistolet Sig Sauer 9 mm de dotation.

Dans son dernier bilan, l’IGPN a aussi rendu public un indicateur mis en place à l’initiative de sa directrice, Marie-France Monéger-Guyomarc’h : le nombre de personnes tuées à la suite d’intervention de police. Quatorze au total entre juillet 2017 et mai 2018, qu’elles aient été touchées par balles, qu’elles soient mortes noyées ou par accident dans leur fuite ou qu’elles se soient suicidées lors de l’intervention des forces de l’ordre.


Source:Le Parisien.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/u ... 853409.php

Je ne comprends pas pourquoi , aujourd'hui ,les gens , notamment les jeunes , refusent de se faire contrôler par la police , en sachant le risque d'en prendre une !
C'est dramatique , le père est en colère , mais lui a t il appris d'obéir aux ordres d'un policier ?
Lui a t il appris que rouler dans les rues comme un con lui fait risquer des faire des victimes ??
Comprend il qu'à force de prendre des gardes à vue , les policiers , un jour en auront marre et ne feront que le strict minimum en laissant la chienlit se développer en France , surtout dans une période de terrorisme !!
Et encore , nous ne sommes pas aux USA ou la police a la gâchette facile .....
Perso , quand la police me dit de m'arrêter , je m'arrête .. et ce qu'il y a de certain , c'est que je fais le maximum pour ne pas avoir peur de me faire contrôler ..

[Lion blanc]

Ça fait jamais qu'une racaille en moins.

[vivarais]

La jeune victime de 26 ans est décédée dans le IXe arrondissement de Paris, dans la nuit de mardi à mercredi. Le policier a été placé en garde à vue.

La course-poursuite s’est terminée dramatiquement vers 23 heures non loin de la butte Montmartre. Un automobiliste de 26 ans a été tué par un policier dans la nuit de mardi à mercredi, à Paris, après avoir refusé de s’arrêter à un contrôle, comme l’a révélé mercredi Europe 1.

Selon des sources proches de l’enquête, tout commence un peu plus tôt dans le quartier des Halles, où trois fonctionnaires à pied effectuent un « contrôle routier ». Ils aperçoivent une Renault Modus, « avec un feu défectueux ». Mais son conducteur refuse, semble-t-il, de s’arrêter, accélérant même pour « renverser la patrouille ». Un jeune gardien de la paix âgé de 23 ans, Kévin, demande alors au conducteur d’un scooter de prendre le véhicule en chasse. Et monte à l’arrière.

La course-poursuite traverse plusieurs arrondissements du centre de Paris, le fuyard prenant des « rues à contresens à vive allure ». Le conducteur de la voiture se retrouve finalement ralenti par la circulation rue Condorcet (IXe). Le policier bondit de son scooter, se positionnant à la hauteur de la portière avant.

L’automobiliste aurait alors enclenché la marche arrière et percuté le scooter dans sa manœuvre. C’est pour, dit-il, protéger le propriétaire du deux-roues que Kévin tire une balle de 9 mm qui traverse l’épaule avant de se loger dans le thorax du conducteur. Ce dernier, originaire de Draveil (Essonne), meurt sur le coup. Romain vendait des fruits et légumes à Paris. La victime était notamment sous le coup d’une procédure ouverte en février pour « conduite malgré une annulation de permis » et « refus d’obtempérer exposant autrui à un risque de mort ou d’infirmité ».

«On voulait qu’il aille de l’avant»

« Pour nous c’est une injustice, nous voulons savoir ce qui s’est passé », confie Fiona, 19 ans, l’une de ses deux sœurs. « Je viens de perdre une partie de moi », dit-elle, dévastée. « Romain, insiste la jeune fille aux yeux rougis, était une personne toujours là pour sa famille. Une personne aimante, gentille, drôle. Avec mes parents, on voulait qu’il aille de l’avant qu’il arrête d’avoir des problèmes avec la police. »

Le père, qui a déposé plainte pour homicide, évoque lui une « haine sans nom ». Il estime que « dans la poursuite, le policier a mis la vie d’autres personnes en danger » et qu’il « pouvait relever la plaque d’immatriculation et venir chercher [son] fils à la maison ». « Je suis très en colère, lâche-t-il. Une haine sans nom. »

Quant au gardien de la paix, âgé de 23 ans, il a été placé en garde à vue pour « violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».
L’IGPN saisie

L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie. Elle devra déterminer si les sommations d’usage ont été faites et si la marche arrière de la voiture mettait réellement en danger la vie d’une personne. Les enquêteurs s’appuieront notamment sur les ondes radio de la police. Selon une source proche du dossier, la salle de commandement avait demandé au jeune gardien de la paix de cesser la poursuite. Pour autant, ce dernier a reçu le soutien du syndicat Alliance.

« Il a pris une initiative, celle de réquisitionner le scooter. Ces situations de tension extrême de plus en plus fréquentes sur les contrôles. Certaines personnes, parce qu’elles sont ivres ou n’ont plus de permis, ne s’arrêtent plus et prennent la fuite mettant en danger la vie de nos collègues et celles des autres », insiste Loïc Lecouplier, responsable Île-de-France d’Alliance.

La Police tire de plus en plus:

La police n’a jamais autant ouvert le feu en France. Ces tirs interviennent souvent dans le contexte de contrôles routiers tendus marqués par le « refus d’obtempérer » du conducteur. Le dernier rapport de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) pointe une forte hausse l’année dernière. Soit environ 400 tirs, représentant une augmentation de… 54 % par rapport à 2016. La police des polices est alors systématiquement saisie, que l’ouverture du feu semble légitime ou non.

Les gendarmes sont eux aussi concernés par cette tendance à la hausse mais dans une moindre proportion. Dans la très grande majorité des cas, les fonctionnaires ont recours au pistolet Sig Sauer 9 mm de dotation.

Dans son dernier bilan, l’IGPN a aussi rendu public un indicateur mis en place à l’initiative de sa directrice, Marie-France Monéger-Guyomarc’h : le nombre de personnes tuées à la suite d’intervention de police. Quatorze au total entre juillet 2017 et mai 2018, qu’elles aient été touchées par balles, qu’elles soient mortes noyées ou par accident dans leur fuite ou qu’elles se soient suicidées lors de l’intervention des forces de l’ordre.


Source:Le Parisien.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/u ... 853409.php

Je ne comprends pas pourquoi , aujourd'hui ,les gens , notamment les jeunes , refusent de se faire contrôler par la police , en sachant le risque d'en prendre une !
C'est dramatique , le père est en colère , mais lui a t il appris d'obéir aux ordres d'un policier ?
Lui a t il appris que rouler dans les rues comme un con lui fait risquer des faire des victimes ??
Comprend il qu'à force de prendre des gardes à vue , les policiers , un jour en auront marre et ne feront que le strict minimum en laissant la chienlit se développer en France , surtout dans une période de terrorisme !!
Et encore , nous ne sommes pas aux USA ou la police a la gâchette facile .....
Perso , quand la police me dit de m'arrêter , je m'arrête .. et ce qu'il y a de certain , c'est que je fais le maximum pour ne pas avoir peur de me faire contrôler ..

lorsque l'on refuse de s'arreter , que l'on fonce sur les forces de l'ordre ; que l'on renverse un un scooter en reculant pour echapper à un deuxieme controle
peut t on qualifié l'individu de victime
le policier qui a fait son devoir devait il laisser l'individu continuer à mettre en danger la vie d'autrui
au lieu d'etre mis en garde à vue le policier devrait etre cité à l'ordre de la nation pour son professionnalisme
l'individu pensait qu'aprés ce qui s'était passé à nantes , la police n'oserait plus tirer
il s'est trompé

[zylto]

lorsque l'on refuse de s'arreter , que l'on fonce sur les forces de l'ordre ; que l'on renverse un un scooter en reculant pour echapper à un deuxieme controle
peut t on qualifié l'individu de victime
le policier qui a fait son devoir devait il laisser l'individu continuer à mettre en danger la vie d'autrui
au lieu d'etre mis en garde à vue le policier devrait etre cité à l'ordre de la nation pour son professionnalisme
l'individu pensait qu'aprés ce qui s'était passé à nantes , la police n'oserait plus tirer
il s'est trompé

Il faut espérer que le policier ressorte de tout cela blanchi et ayant fait son travail, cela donnera peut être aux autres individus du même acabit de réfléchir
Toutes ces petites frappes se croient au dessus des lois, il a joué: il a perdu

[Lion blanc]

lorsque l'on refuse de s'arreter , que l'on fonce sur les forces de l'ordre ; que l'on renverse un un scooter en reculant pour echapper à un deuxieme controle
peut t on qualifié l'individu de victime
le policier qui a fait son devoir devait il laisser l'individu continuer à mettre en danger la vie d'autrui
au lieu d'etre mis en garde à vue le policier devrait etre cité à l'ordre de la nation pour son professionnalisme
l'individu pensait qu'aprés ce qui s'était passé à nantes , la police n'oserait plus tirer
il s'est trompé

Il faut espérer que le policier ressorte de tout cela blanchi et ayant fait son travail, cela donnera peut être aux autres individus du même acabit de réfléchir
Toutes ces petites frappes se croient au dessus des lois, il a joué: il a perdu

Il faudrait pas qu'un jour les policiers tirent sur tout ce qui bouge...

[Anne32]

Je ne comprends pas pourquoi , aujourd'hui ,les gens , notamment les jeunes , refusent de se faire contrôler par la police , en sachant le risque d'en prendre une !
C'est dramatique , le père est en colère , mais lui a t il appris d'obéir aux ordres d'un policier ?
Lui a t il appris que rouler dans les rues comme un con lui fait risquer des faire des victimes ??
Comprend il qu'à force de prendre des gardes à vue , les policiers , un jour en auront marre et ne feront que le strict minimum en laissant la chienlit se développer en France , surtout dans une période de terrorisme !!
Et encore , nous ne sommes pas aux USA ou la police a la gâchette facile .....
Perso , quand la police me dit de m'arrêter , je m'arrête .. et ce qu'il y a de certain , c'est que je fais le maximum pour ne pas avoir peur de me faire contrôler ..

lorsque l'on refuse de s'arreter , que l'on fonce sur les forces de l'ordre ; que l'on renverse un un scooter en reculant pour echapper à un deuxieme controle
peut t on qualifié l'individu de victime
le policier qui a fait son devoir devait il laisser l'individu continuer à mettre en danger la vie d'autrui
au lieu d'etre mis en garde à vue le policier devrait etre cité à l'ordre de la nation pour son professionnalisme
l'individu pensait qu'aprés ce qui s'était passé à nantes , la police n'oserait plus tirer
il s'est trompé

Vivarais, c'est la procédure habituelle

[oldeagle]

La jeune victime de 26 ans est décédée dans le IXe arrondissement de Paris, dans la nuit de mardi à mercredi. Le policier a été placé en garde à vue.

La course-poursuite s’est terminée dramatiquement vers 23 heures non loin de la butte Montmartre. Un automobiliste de 26 ans a été tué par un policier dans la nuit de mardi à mercredi, à Paris, après avoir refusé de s’arrêter à un contrôle, comme l’a révélé mercredi Europe 1.

Selon des sources proches de l’enquête, tout commence un peu plus tôt dans le quartier des Halles, où trois fonctionnaires à pied effectuent un « contrôle routier ». Ils aperçoivent une Renault Modus, « avec un feu défectueux ». Mais son conducteur refuse, semble-t-il, de s’arrêter, accélérant même pour « renverser la patrouille ». Un jeune gardien de la paix âgé de 23 ans, Kévin, demande alors au conducteur d’un scooter de prendre le véhicule en chasse. Et monte à l’arrière.

La course-poursuite traverse plusieurs arrondissements du centre de Paris, le fuyard prenant des « rues à contresens à vive allure ». Le conducteur de la voiture se retrouve finalement ralenti par la circulation rue Condorcet (IXe). Le policier bondit de son scooter, se positionnant à la hauteur de la portière avant.

L’automobiliste aurait alors enclenché la marche arrière et percuté le scooter dans sa manœuvre. C’est pour, dit-il, protéger le propriétaire du deux-roues que Kévin tire une balle de 9 mm qui traverse l’épaule avant de se loger dans le thorax du conducteur. Ce dernier, originaire de Draveil (Essonne), meurt sur le coup. Romain vendait des fruits et légumes à Paris. La victime était notamment sous le coup d’une procédure ouverte en février pour « conduite malgré une annulation de permis » et « refus d’obtempérer exposant autrui à un risque de mort ou d’infirmité ».

«On voulait qu’il aille de l’avant»

« Pour nous c’est une injustice, nous voulons savoir ce qui s’est passé », confie Fiona, 19 ans, l’une de ses deux sœurs. « Je viens de perdre une partie de moi », dit-elle, dévastée. « Romain, insiste la jeune fille aux yeux rougis, était une personne toujours là pour sa famille. Une personne aimante, gentille, drôle. Avec mes parents, on voulait qu’il aille de l’avant qu’il arrête d’avoir des problèmes avec la police. »

Le père, qui a déposé plainte pour homicide, évoque lui une « haine sans nom ». Il estime que « dans la poursuite, le policier a mis la vie d’autres personnes en danger » et qu’il « pouvait relever la plaque d’immatriculation et venir chercher [son] fils à la maison ». « Je suis très en colère, lâche-t-il. Une haine sans nom. »

Quant au gardien de la paix, âgé de 23 ans, il a été placé en garde à vue pour « violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».
L’IGPN saisie

L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie. Elle devra déterminer si les sommations d’usage ont été faites et si la marche arrière de la voiture mettait réellement en danger la vie d’une personne. Les enquêteurs s’appuieront notamment sur les ondes radio de la police. Selon une source proche du dossier, la salle de commandement avait demandé au jeune gardien de la paix de cesser la poursuite. Pour autant, ce dernier a reçu le soutien du syndicat Alliance.

« Il a pris une initiative, celle de réquisitionner le scooter. Ces situations de tension extrême de plus en plus fréquentes sur les contrôles. Certaines personnes, parce qu’elles sont ivres ou n’ont plus de permis, ne s’arrêtent plus et prennent la fuite mettant en danger la vie de nos collègues et celles des autres », insiste Loïc Lecouplier, responsable Île-de-France d’Alliance.

La Police tire de plus en plus:

La police n’a jamais autant ouvert le feu en France. Ces tirs interviennent souvent dans le contexte de contrôles routiers tendus marqués par le « refus d’obtempérer » du conducteur. Le dernier rapport de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) pointe une forte hausse l’année dernière. Soit environ 400 tirs, représentant une augmentation de… 54 % par rapport à 2016. La police des polices est alors systématiquement saisie, que l’ouverture du feu semble légitime ou non.

Les gendarmes sont eux aussi concernés par cette tendance à la hausse mais dans une moindre proportion. Dans la très grande majorité des cas, les fonctionnaires ont recours au pistolet Sig Sauer 9 mm de dotation.

Dans son dernier bilan, l’IGPN a aussi rendu public un indicateur mis en place à l’initiative de sa directrice, Marie-France Monéger-Guyomarc’h : le nombre de personnes tuées à la suite d’intervention de police. Quatorze au total entre juillet 2017 et mai 2018, qu’elles aient été touchées par balles, qu’elles soient mortes noyées ou par accident dans leur fuite ou qu’elles se soient suicidées lors de l’intervention des forces de l’ordre.


Source:Le Parisien.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/u ... 853409.php

Je ne comprends pas pourquoi , aujourd'hui ,les gens , notamment les jeunes , refusent de se faire contrôler par la police , en sachant le risque d'en prendre une !
C'est dramatique , le père est en colère , mais lui a t il appris d'obéir aux ordres d'un policier ?
Lui a t il appris que rouler dans les rues comme un con lui fait risquer des faire des victimes ??
Comprend il qu'à force de prendre des gardes à vue , les policiers , un jour en auront marre et ne feront que le strict minimum en laissant la chienlit se développer en France , surtout dans une période de terrorisme !!
Et encore , nous ne sommes pas aux USA ou la police a la gâchette facile .....
Perso , quand la police me dit de m'arrêter , je m'arrête .. et ce qu'il y a de certain , c'est que je fais le maximum pour ne pas avoir peur de me faire contrôler ..

Quand on a rien à se reprocher, on se laisse contrôler !

[vivarais]

Il faut espérer que le policier ressorte de tout cela blanchi et ayant fait son travail, cela donnera peut être aux autres individus du même acabit de réfléchir
Toutes ces petites frappes se croient au dessus des lois, il a joué: il a perdu

Il faudrait pas qu'un jour les policiers tirent sur tout ce qui bouge...

vous pensez que cela est le cas ou a été le cas pour nantes et dans ce cas là
d'autres cas similaires se reproduiront car en n'approuvant pas le professionnalisme des policiers et par les mise systématique en garde à vue cela encourage les delinquants à ne plus respecter les controles routiers et à foncer sur les policiers
dans l'esprit de l'indivdu; cela a été aprés nantes le policier n'osera pas tirer aolrs je n'obéis pas
en grande bretagne ils savent que les policiers tirent au moindre geste mal interprété (cas du brezilien qui ne le savait pas) aussi tout le monde obtempere et s'immobilise sur ordre d'un policier

[oscar]

Si seulement, cela pouvait mettre du plomb dans la tête à toute cette racaille!
Affligeant d'en arriver à cette situation.

[vivarais]

La jeune victime de 26 ans est décédée dans le IXe arrondissement de Paris, dans la nuit de mardi à mercredi. Le policier a été placé en garde à vue.

La course-poursuite s’est terminée dramatiquement vers 23 heures non loin de la butte Montmartre. Un automobiliste de 26 ans a été tué par un policier dans la nuit de mardi à mercredi, à Paris, après avoir refusé de s’arrêter à un contrôle, comme l’a révélé mercredi Europe 1.

Selon des sources proches de l’enquête, tout commence un peu plus tôt dans le quartier des Halles, où trois fonctionnaires à pied effectuent un « contrôle routier ». Ils aperçoivent une Renault Modus, « avec un feu défectueux ». Mais son conducteur refuse, semble-t-il, de s’arrêter, accélérant même pour « renverser la patrouille ». Un jeune gardien de la paix âgé de 23 ans, Kévin, demande alors au conducteur d’un scooter de prendre le véhicule en chasse. Et monte à l’arrière.

La course-poursuite traverse plusieurs arrondissements du centre de Paris, le fuyard prenant des « rues à contresens à vive allure ». Le conducteur de la voiture se retrouve finalement ralenti par la circulation rue Condorcet (IXe). Le policier bondit de son scooter, se positionnant à la hauteur de la portière avant.

L’automobiliste aurait alors enclenché la marche arrière et percuté le scooter dans sa manœuvre. C’est pour, dit-il, protéger le propriétaire du deux-roues que Kévin tire une balle de 9 mm qui traverse l’épaule avant de se loger dans le thorax du conducteur. Ce dernier, originaire de Draveil (Essonne), meurt sur le coup. Romain vendait des fruits et légumes à Paris. La victime était notamment sous le coup d’une procédure ouverte en février pour « conduite malgré une annulation de permis » et « refus d’obtempérer exposant autrui à un risque de mort ou d’infirmité ».

«On voulait qu’il aille de l’avant»

« Pour nous c’est une injustice, nous voulons savoir ce qui s’est passé », confie Fiona, 19 ans, l’une de ses deux sœurs. « Je viens de perdre une partie de moi », dit-elle, dévastée. « Romain, insiste la jeune fille aux yeux rougis, était une personne toujours là pour sa famille. Une personne aimante, gentille, drôle. Avec mes parents, on voulait qu’il aille de l’avant qu’il arrête d’avoir des problèmes avec la police. »

Le père, qui a déposé plainte pour homicide, évoque lui une « haine sans nom ». Il estime que « dans la poursuite, le policier a mis la vie d’autres personnes en danger » et qu’il « pouvait relever la plaque d’immatriculation et venir chercher [son] fils à la maison ». « Je suis très en colère, lâche-t-il. Une haine sans nom. »

Quant au gardien de la paix, âgé de 23 ans, il a été placé en garde à vue pour « violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».
L’IGPN saisie

L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie. Elle devra déterminer si les sommations d’usage ont été faites et si la marche arrière de la voiture mettait réellement en danger la vie d’une personne. Les enquêteurs s’appuieront notamment sur les ondes radio de la police. Selon une source proche du dossier, la salle de commandement avait demandé au jeune gardien de la paix de cesser la poursuite. Pour autant, ce dernier a reçu le soutien du syndicat Alliance.

« Il a pris une initiative, celle de réquisitionner le scooter. Ces situations de tension extrême de plus en plus fréquentes sur les contrôles. Certaines personnes, parce qu’elles sont ivres ou n’ont plus de permis, ne s’arrêtent plus et prennent la fuite mettant en danger la vie de nos collègues et celles des autres », insiste Loïc Lecouplier, responsable Île-de-France d’Alliance.

La Police tire de plus en plus:

La police n’a jamais autant ouvert le feu en France. Ces tirs interviennent souvent dans le contexte de contrôles routiers tendus marqués par le « refus d’obtempérer » du conducteur. Le dernier rapport de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) pointe une forte hausse l’année dernière. Soit environ 400 tirs, représentant une augmentation de… 54 % par rapport à 2016. La police des polices est alors systématiquement saisie, que l’ouverture du feu semble légitime ou non.

Les gendarmes sont eux aussi concernés par cette tendance à la hausse mais dans une moindre proportion. Dans la très grande majorité des cas, les fonctionnaires ont recours au pistolet Sig Sauer 9 mm de dotation.

Dans son dernier bilan, l’IGPN a aussi rendu public un indicateur mis en place à l’initiative de sa directrice, Marie-France Monéger-Guyomarc’h : le nombre de personnes tuées à la suite d’intervention de police. Quatorze au total entre juillet 2017 et mai 2018, qu’elles aient été touchées par balles, qu’elles soient mortes noyées ou par accident dans leur fuite ou qu’elles se soient suicidées lors de l’intervention des forces de l’ordre.


Source:Le Parisien.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/u ... 853409.php

Je ne comprends pas pourquoi , aujourd'hui ,les gens , notamment les jeunes , refusent de se faire contrôler par la police , en sachant le risque d'en prendre une !
C'est dramatique , le père est en colère , mais lui a t il appris d'obéir aux ordres d'un policier ?
Lui a t il appris que rouler dans les rues comme un con lui fait risquer des faire des victimes ??
Comprend il qu'à force de prendre des gardes à vue , les policiers , un jour en auront marre et ne feront que le strict minimum en laissant la chienlit se développer en France , surtout dans une période de terrorisme !!
Et encore , nous ne sommes pas aux USA ou la police a la gâchette facile .....
Perso , quand la police me dit de m'arrêter , je m'arrête .. et ce qu'il y a de certain , c'est que je fais le maximum pour ne pas avoir peur de me faire contrôler ..

une question est ce que vous allez faire ce qui vous citez si vous avez à faire à un controle de police
vous enfuir , foncer sur les policiers ou vous suicider
comme vous 99.99% des gens ne le feront pas

[LOFOTEN]

Ce jeune policier ,je dis bien jeune, a "un peu" exagéré la poursuite....c'est la fougue de l'age . Mais il sera probablement sanctionné en vertu des recommandations des états major recommandant d'éviter les poursuites...
Depuis le début du mois de Juin il y a eu une trentaine de problèmes avec les forces de l'ordre ....soldés parfois par des blessures de part et d'autre....
Les délinquants connaissent bien les directives données aux FDO .....et abusent de ce nouveau droit de "non poursuite" .

Ce n'est que le début!

[Anne32]

Ce jeune policier ,je dis bien jeune, a "un peu" exagéré la poursuite....c'est la fougue de l'age . Mais il sera probablement sanctionné en vertu des recommandations des états major recommandant d'éviter les poursuites...
Depuis le début du mois de Juin il y a eu une trentaine de problèmes avec les forces de l'ordre ....soldés parfois par des blessures de part et d'autre....
Les délinquants connaissent bien les directives données aux FDO .....et abusent de ce nouveau droit de "non poursuite" .

Ce n'est que le début!

Je ne sais pas si ce jeune policier a galéjé mais j'ai entendu le témoignage d'une femme qui se trouvait dans un café, en face du lieu du drame(source BFMTV)
Elle confirme que la voiture du jeune a reculé, ce qui a permis de penser que ce dernier s'en prenait au scooter, alorsle policier a prononcé les avertissements d'usage
Si ces faits son avérés, ce jeune a un bel avenir devant lui: courage, esprit d'initiative, sang froid....

[LOFOTEN]

Ce jeune policier ,je dis bien jeune, a "un peu" exagéré la poursuite....c'est la fougue de l'age . Mais il sera probablement sanctionné en vertu des recommandations des états major recommandant d'éviter les poursuites...
Depuis le début du mois de Juin il y a eu une trentaine de problèmes avec les forces de l'ordre ....soldés parfois par des blessures de part et d'autre....
Les délinquants connaissent bien les directives données aux FDO .....et abusent de ce nouveau droit de "non poursuite" .

Ce n'est que le début!

Je ne sais pas si ce jeune policier a galéjé mais j'ai entendu le témoignage d'une femme qui se trouvait dans un café, en face du lieu du drame(source BFMTV)
Elle confirme que la voiture du jeune a reculé, ce qui a permis de penser que ce dernier s'en prenait au scooter, alorsle policier a prononcé les avertissements d'usage
Si ces faits son avérés, ce jeune a un bel avenir devant lui: courage, esprit d'initiative, sang froid....

Connaissant un peu le "système" cela m'étonnerais beaucoup....le passé me donne raison.