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Réduire tout ça à une simple équation chimique, je refuse... Ce n'est pas que ça, car il y a aussi le vécu, le souvenir, la joie, la tristesse, etc... Tout un lot de sentiments qui sont contradictoires. Résumer l'amour à une simple interaction chimique est plus déprimant qu'autre chose...tisiphoné a écrit : c'est de la dopamine, c'est pas tant la personne qui nous manque, que l'effet ressenti .
on voudrait que ça dure tout le temps.
peut-être, mais en même temps se dire qu'on a fondu devant 80 kg de muscles plutôt bien répartis et des dents blanches, c'est pas mieux, et c'est pourtant le casdoublon a écrit : Réduire tout ça à une simple équation chimique, je refuse... Ce n'est pas que ça, car il y a aussi le vécu, le souvenir, la joie, la tristesse, etc... Tout un lot de sentiments qui sont contradictoires. Résumer l'amour à une simple interaction chimique est plus déprimant qu'autre chose...
Tu n'abuses pas un petit peu ?tisiphoné a écrit : peut-être, mais en même temps se dire qu'on a fondu devant 80 kg de muscles plutôt bien répartis et des dents blanches, c'est pas mieux, et c'est pourtant le cas
pourquoi lui , pourquoi elle ?
on a du vécu avec nos amis, de la complicité, de la tendresse et plein de choses encore
alors pourquoi on se met en danger devant une personne qui finalement demeure une atteinte à notre santé mentale?
C'est peut-être nous qui sommes maso 
alors je vais te dire, les femmes quittent, même si il n'y a personne, même si il y a baisse de niveau de vie, faut arrêter de penser que les femmes sont vénales, elles sont impulsives et osent tout, même les conneriesJarod1 a écrit : J'aurais une question à vous soumettre quelque peu en lien avec ce fil donc il ne me semble pas nécessaire d'en créer un nouveau.
Je vois autour de moi beaucoup de couples jusque là bien posés qui se séparent, en général c'est d'ailleurs plutôt la femme qui se barre.
Je suppose que c'est lié à ma tranche d'âge.
Je précise que je n'y suis pour rien.
Ma question est : quitte t-on généralement pour quelqu'un d'autre ? S'il n'y a pas de remplaçant, ne préfère t-on pas rester, en se faisant chier certes, mais rester quand même ?
ben ouais ça reste assez hypocrite une séparation, mais en même temps, on espère préserver un semblant de tranquillité, on espère que en taisant l'autre, on va faire avaler la pilule plus facilement.Jarod1 a écrit : Je ne faisais aucunement référence à des motifs matériels.
Je constate juste sur quelques cas qui m'entourent et qui en sont pas représentatifs qu'au moment de la séparation on mettait ça sur le compte de la lassitude, de l'incompréhension, de la mésentente ou de Dieu sait quoi, et très vite on a constaté qu'il y avait un tiers.
Je te dis c'est parti d'un constat récent fait autour de moi.Eve a écrit : Pourquoi poser la question, puisque tu connaissais la réponse.
Jarod1 a écrit : Je te dis c'est parti d'un constat récent fait autour de moi.
Mais je me demande si vos réponses - qui semblent contredire ce constat- sont des slogans ou correspondent à la réalité.
Quitte t-on vraiment "plus grand chose" pour "rien" (sentimentalement parlant) ?
Oui, je visais effectivement le cas d'une vie en couple.Eve a écrit :
Parce que je ne suis pas dans ce cas de figure. Donc je ne peux pas voir la situation comme une femme qui vit avec son mari.