vivarais a écrit : ↑14 novembre 2019 20:34
ce soir sur l'A2 dans complément d'enquête , regardez comment s'est terminé les promesses de macron au salariés de wirlhpool qui a couté 4 millions au contribuable
autrement le voir en replay
pas du tout, c'est 2,5 millions d'euros, preuve en est que l'état ne devrait pas intervenir dans les entreprises qui se cassent la gueule.
pour la petite histoire :
"Des avantages en nature pour les dirigeants"
Mais quelque 179.000 euros n'ont pas pu être justifiés "sur la durée très brève de l'audit" et "suscitent des interrogations quant à leur montant et leur lien avec l'intérêt social d'une entreprise en création", a poursuivi Bercy, évoquant "des avantages en nature pour les dirigeants", comme des logements, voitures, une loge au stade de foot d'Amiens, "des frais de déplacement" notamment à l'international ou des "frais de représentation".
En outre, si seulement "300.000 euros ont été encaissés par l'entreprise sur toute la période" faute de clients, les dirigeants "ont maintenu le niveau de rémunération" de leurs précédents emplois, y compris lorsque l'entreprise est "entrée dans une très grande difficulté financière", précise Bercy. Bien que légales, ces rémunérations suscitent aussi des "interrogations" particulièrement chez les salariés.
"L'intégralité de l'audit" sera transmise au procureur de la République d'Amiens, qui "appréciera les éventuelles suites à donner à ces informations".
l'erreur, c'est pas l'état, c'est bien ces abrutis de patrons qui ont gérés ça comme des savates.
quand à MLP :
Le Pen : «Je suis là au côté de salariés»
A la base, ce «duel» n'était pas prévu. Emmanuel Macron avait uniquement prévu de rencontrer l'intersyndicale à la CCI d'Amiens. Mais, à la surprise générale, au moment même où il discutait avec les représentants des salariés, Marine Le Pen a débarqué sur le parking de l'usine pour s'entretenir directement avec les salariés, qui protestent contre la fermeture et la délocalisation en Pologne.
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«Quand j'ai appris qu'Emmanuel Macron venait ici et qu'il n'entendait pas rencontrer les salariés, qu'il n'entendait pas venir sur ce piquet de grève, mais qu'il allait à l'abri dans je ne sais quelle salle de la chambre de commerce pour rencontrer 2-3 personnes triées sur le volet, j'ai trouvé que c'était une preuve tellement de mépris à l'égard de ce que vivent les salariés de Whirlpool que j'ai décidé de sortir de mon comité stratégique et de venir vous voir», a-t-elle assuré, sous les applaudissements. «Je suis là au côté de salariés, sur le parking, pas dans des restaurants amiénois» a lancé celle qui, malgré les apparences, s'est défendue de «faire un coup médiatique».
qu'à telle proposée a part rien? ben rien.
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....