Cachez ces chiffres (du chômage ) que je ne saurais voir

[vincent]

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qq millions de postes de travail non pourvu ?
Vous aimez rêver, Vincent ?

qq millions , je grossis le trait bien sur , le million, c 'est certain .

Vous avez la somme des annonces non pourvues , mais vous avez aussi les postes ne faisant pas l' objet de dépot à Pôle Emploi ,et pour 2 raisons

1 employeur ayant renoncé depuis longtemps aprés X temps passé dans la recherche qui ne recherche pas en publiant a Pôle Emploi

2 incapacité a Pôle Emploi d' envoyer des candidats dont le profil correspond a peu prés a la demande

Vous n' avez jamais rencontré d' entrepreneur ayant des besoins mais ne cherchant plus par lassitude ? vous vivez dans quel milieu .

j' ai rencontré dans ma période recherche emploi , ce jeune patron qui avait une entreprise de ferronnerie prenant la succession de papa .
Ce dernier se contentait de faire tourner sa boite avec 9 salariés alors qu' il avait du travail qu' il refusait . Le fils décide de passer a la vitesse supérieure......embauche 4 ou 5 gaillards.....et fini par reprendre la vitesse de croisiére de papa , gardant les anciens, et licenciant les nouveaux .
Je vous raconte pas dans le détail les anecdotes que ce patron m' a livré sur ces gaillards .....terminaient parfois le vendredi a midi , ne se pointaient pas parfois le lundi......le bazar au niveau planning , clients en colére

Donc , il avait des postes , du boulot, et ne cherchait plus

Je doute fort que ce soit un cas unique .

[AAAgora]

[q
qq millions de postes de travail non pourvu ?
Vous aimez rêver, Vincent ?

Oui 13% cela me semble réaliste.

C'est une mesure difficile. Si j'ai 5 postes à pourvoir et que je n'ai personne pour combler ne serait-ce qu'un seul, pourquoi essayerai je de proposer les 4 autres.
C'est ce que me disait un patron de bar en bord de mer.

.
Maintenant nous en sommes à généraliser à partir d'un patron de bar.........
Avec toutes les statistiques qui existent, il faudrait en sortir au moins une, non ?
Exemple :
https://dares.travail-emploi.gouv.fr/do ... is-vacants

[AAAgora]

qq millions , je grossis le trait bien sur , le million, c 'est certain .

Vous avez la somme des annonces non pourvues , mais vous avez aussi les postes ne faisant pas l' objet de dépot à Pôle Emploi ,et pour 2 raisons

1 employeur ayant renoncé depuis longtemps aprés X temps passé dans la recherche qui ne recherche pas en publiant a Pôle Emploi

2 incapacité a Pôle Emploi d' envoyer des candidats dont le profil correspond a peu prés a la demande

Vous n' avez jamais rencontré d' entrepreneur ayant des besoins mais ne cherchant plus par lassitude ? vous vivez dans quel milieu .

j' ai rencontré dans ma période recherche emploi , ce jeune patron qui avait une entreprise de ferronnerie prenant la succession de papa .
Ce dernier se contentait de faire tourner sa boite avec 9 salariés alors qu' il avait du travail qu' il refusait . Le fils décide de passer a la vitesse supérieure......embauche 4 ou 5 gaillards.....et fini par reprendre la vitesse de croisiére de papa , gardant les anciens, et licenciant les nouveaux .
Je vous raconte pas dans le détail les anecdotes que ce patron m' a livré sur ces gaillards .....terminaient parfois le vendredi a midi , ne se pointaient pas parfois le lundi......le bazar au niveau planning , clients en colére

Donc , il avait des postes , du boulot, et ne cherchait plus

Je doute fort que ce soit un cas unique .

.
370.000 selon le gouvernement :
https://dares.travail-emploi.gouv.fr/do ... is-vacants

[papibilou]

C'est une mesure difficile. Si j'ai 5 postes à pourvoir et que je n'ai personne pour combler ne serait-ce qu'un seul, pourquoi essayerai je de proposer les 4 autres.
C'est ce que me disait un patron de bar en bord de mer.

.
Maintenant nous en sommes à généraliser à partir d'un patron de bar.........
Avec toutes les statistiques qui existent, il faudrait en sortir au moins une, non ?
Exemple :
https://dares.travail-emploi.gouv.fr/do ... is-vacants

Vous avez raison, il vaut mieux un chiffre même s'il sera forcément contesté qu'un exemple qui ne prouve rien et qui n'est qu'un témoignage.

[lepicard]

.
Maintenant nous en sommes à généraliser à partir d'un patron de bar.........
Avec toutes les statistiques qui existent, il faudrait en sortir au moins une, non ?
Exemple :
https://dares.travail-emploi.gouv.fr/do ... is-vacants

Vous avez raison, il vaut mieux un chiffre même s'il sera forcément contesté qu'un exemple qui ne prouve rien et qui n'est qu'un témoignage.

quoiqu'il en soit ,, je le vois autour de moi (maçonnerie/bâtiment , petite métallurgie, agriculture) , il est extrèmement difficile de trouver des bras;même en payant bien
Pire , c'est presque un sujet d'altercation si un recruteur , s'adresse directement à un sans emploi connu comme tel ,ayant pourtant pratiqué (ça se sait)

[vincent]

oui , selon le gouvernement......qui ne recence .......que les emplois recencés .Il ne peut pas recencer les emplois disponibles mais qui ne font pas ou plus l' objet de dépôt officiel d ' offre d' emploi . Je vous ai tout expliqué , il y a le nombre d ' offres d' emplois disponible +tout ce qui passe sous les radars .

les exemples , hélas ,ils sont a la pelle .

Comme tj, la bande de déclinologue décréte valable les chiffres officiels qui les arrangent .....hausse du chômage en tête de gondole .

https://www.lavoixdunord.fr/1067634/art ... -inquieter

Un million d’offres d’emploi non pourvues en France, faut-il s’inquiéter?
« Problème numéro un » selon Jean Castex et le Medef, ou à relativiser, les difficultés de recrutement des entreprises sont au cœur des priorités gouvernementales de la rentrée.

En juillet, environ 15% des entreprises de l’industrie et des services et 40% de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre.
En juillet, environ 15% des entreprises de l’industrie et des services et 40% de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre. - PHOTO ARCHIVES BAZIZ CHIBANE
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Félix PENNEL avec AFP
Publié: 10 Septembre 2021 à 15h40
Temps de lecture: 3 min
Partage :





Il suffit de se promener dans les rues de Lille – ou d’ailleurs – pour s’en convaincre : les entreprises recrutent. Des cuistots, des vendeurs, des préparateurs de commandes, des agents immobiliers, des employés polyvalents…

Sur le site de Pôle emploi, plus de 42 000 annonces sont recensées dans le Nord et le Pas-de-Calais ce vendredi midi, dont 14 000 dans la capitale des Flandres. Et au niveau national, actuellement, un million d’offres d’emploi sont affichées sur le site.

Le taux de chômage en France au deuxième trimestre s’élevait à 8 % de la population active, soit 2,4 millions de demandeurs d’emploi. Problème : il semble y avoir peu de candidats. Un paradoxe ?

« Problème numéro un » des entreprises
« Selon la Banque de France, on parle d’environ 300 000 emplois à pourvoir, ce n’est pas un sujet tout à fait nouveau en France, mais il n’a jamais pris une telle acuité, c’est un gâchis », affirme Jean Castex. Le Premier ministre qualifie même de « problème numéro un les difficultés de recrutement » rencontrés par les entreprises. Cette pénurie de main-d’œuvre touche toute l’Europe.

L’analyse de Jean Castex est partagée par le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux. Fin août, il indiquait : « Tous les patrons que j’ai vus cet été, même avant l’été, leur sujet numéro un, ça n’est plus la pandémie, c’est le recrutement. »

En juillet, environ 15 % des entreprises de l’industrie et des services et 40 % de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre. « Ces proportions relativement élevées sont toutefois inférieures aux points hauts de 2018-2019. Elles vont de pair avec la vigueur de l’emploi salarié privé au deuxième trimestre », nuançait toutefois l’Insee dans son point de conjoncture mardi.

« Normal, quand tout le monde recrute en même temps, que ce soit plus difficile qu’il y a six mois. »

Alors la situation est-elle grave ? La pénurie de travailleurs peut-elle avoir un impact sévère sur l’économie, à l’heure de la reprise post-Covid ? Pôle emploi relativise. Parmi le million d’offres actuellement disponibles dans l’organisme, il est difficile de repérer « les offres suspendues pendant le Covid ». Surtout, elles intègrent aussi « des offres d’apprentissage, d’intérim ou de CDD courts ».

Réfléchir à « l’attractivité des emplois proposés »
« Dans les faits, les entreprises n’ont jamais autant recruté, assure Éric Heyer. Si les entreprises n’arrivaient pas à recruter, elles demanderaient à leurs salariés de travailler plus longtemps, plus de productivité, ou augmenteraient les salaires. Or on ne constate rien de cela pour l’inst


Il suffit de se promener dans les rues de Lille – ou d’ailleurs – pour s’en convaincre : les entreprises recrutent. Des cuistots, des vendeurs, des préparateurs de commandes, des agents immobiliers, des employés polyvalents…

Sur le site de Pôle emploi, plus de 42 000 annonces sont recensées dans le Nord et le Pas-de-Calais ce vendredi midi, dont 14 000 dans la capitale des Flandres. Et au niveau national, actuellement, un million d’offres d’emploi sont affichées sur le site.

Le taux de chômage en France au deuxième trimestre s’élevait à 8 % de la population active, soit 2,4 millions de demandeurs d’emploi. Problème : il semble y avoir peu de candidats. Un paradoxe ?

« Problème numéro un » des entreprises
« Selon la Banque de France, on parle d’environ 300 000 emplois à pourvoir, ce n’est pas un sujet tout à fait nouveau en France, mais il n’a jamais pris une telle acuité, c’est un gâchis », affirme Jean Castex. Le Premier ministre qualifie même de « problème numéro un les difficultés de recrutement » rencontrés par les entreprises. Cette pénurie de main-d’œuvre touche toute l’Europe.

L’analyse de Jean Castex est partagée par le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux. Fin août, il indiquait : « Tous les patrons que j’ai vus cet été, même avant l’été, leur sujet numéro un, ça n’est plus la pandémie, c’est le recrutement. »

Découvrir plus de vidéos
En juillet, environ 15 % des entreprises de l’industrie et des services et 40 % de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre. « Ces proportions relativement élevées sont toutefois inférieures aux points hauts de 2018-2019. Elles vont de pair avec la vigueur de l’emploi salarié privé au deuxième trimestre », nuançait toutefois l’Insee dans son point de conjoncture mardi.

« Normal, quand tout le monde recrute en même temps, que ce soit plus difficile qu’il y a six mois. »

Alors la situation est-elle grave ? La pénurie de travailleurs peut-elle avoir un impact sévère sur l’économie, à l’heure de la reprise post-Covid ? Pôle emploi relativise. Parmi le million d’offres actuellement disponibles dans l’organisme, il est difficile de repérer « les offres suspendues pendant le Covid ». Surtout, elles intègrent aussi « des offres d’apprentissage, d’intérim ou de CDD courts ».



MAIS LA ENCORE CE SONT DES OFFRES D EMPLOI QUI NE TIENNENT PAS COMPTE DES EMPLOIS VACANTS MAIS NE FAISANT L OBJET D AUCUNE DEMANDE OFFICIEL LA LASSITUDE ETANT PASSES PAR LA

[Mickey]

Vous avez raison, il vaut mieux un chiffre même s'il sera forcément contesté qu'un exemple qui ne prouve rien et qui n'est qu'un témoignage.

quoiqu'il en soit ,, je le vois autour de moi (maçonnerie/bâtiment , petite métallurgie, agriculture) , il est extrèmement difficile de trouver des bras;même en payant bien
Pire , c'est presque un sujet d'altercation si un recruteur , s'adresse directement à un sans emploi connu comme tel ,ayant pourtant pratiqué (ça se sait)

Si le postulant réclame un salaire décent et que le patron refuse au motif qu'il n'a pas les moyens, alors que trône une Porsche Cayenne neuve devant sa porte, je confirme qu'une "altercation " peut survenir.

[lepicard]

quoiqu'il en soit ,, je le vois autour de moi (maçonnerie/bâtiment , petite métallurgie, agriculture) , il est extrèmement difficile de trouver des bras;même en payant bien
Pire , c'est presque un sujet d'altercation si un recruteur , s'adresse directement à un sans emploi connu comme tel ,ayant pourtant pratiqué (ça se sait)

Si le postulant réclame un salaire décent et que le patron refuse au motif qu'il n'a pas les moyens, alors que trône une Porsche Cayenne neuve devant sa porte, je confirme qu'une "altercation " peut survenir.

on est pas en Inde , il y a des conventions collectives , de plus pour trouver ,,, desormai un employeur est quasiment obligé d'être large et pas "chien" .....
visiblement ,ça ne suffit pas
nota ,,,, le Porshe Cayenne ou autre , ce n'est pas toujours le cas ............

[AAAgora]

oui , selon le gouvernement......qui ne recence .......que les emplois recencés .Il ne peut pas recencer les emplois disponibles mais qui ne font pas ou plus l' objet de dépôt officiel d ' offre d' emploi . Je vous ai tout expliqué , il y a le nombre d ' offres d' emplois disponible +tout ce qui passe sous les radars .

les exemples , hélas ,ils sont a la pelle .

Comme tj, la bande de déclinologue décréte valable les chiffres officiels qui les arrangent .....hausse du chômage en tête de gondole .

https://www.lavoixdunord.fr/1067634/art ... -inquieter

Un million d’offres d’emploi non pourvues en France, faut-il s’inquiéter?
« Problème numéro un » selon Jean Castex et le Medef, ou à relativiser, les difficultés de recrutement des entreprises sont au cœur des priorités gouvernementales de la rentrée.

En juillet, environ 15% des entreprises de l’industrie et des services et 40% de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre.
En juillet, environ 15% des entreprises de l’industrie et des services et 40% de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre. - PHOTO ARCHIVES BAZIZ CHIBANE
Image auteur par défaut
Félix PENNEL avec AFP
Publié: 10 Septembre 2021 à 15h40
Temps de lecture: 3 min
Partage :





Il suffit de se promener dans les rues de Lille – ou d’ailleurs – pour s’en convaincre : les entreprises recrutent. Des cuistots, des vendeurs, des préparateurs de commandes, des agents immobiliers, des employés polyvalents…

Sur le site de Pôle emploi, plus de 42 000 annonces sont recensées dans le Nord et le Pas-de-Calais ce vendredi midi, dont 14 000 dans la capitale des Flandres. Et au niveau national, actuellement, un million d’offres d’emploi sont affichées sur le site.

Le taux de chômage en France au deuxième trimestre s’élevait à 8 % de la population active, soit 2,4 millions de demandeurs d’emploi. Problème : il semble y avoir peu de candidats. Un paradoxe ?

« Problème numéro un » des entreprises
« Selon la Banque de France, on parle d’environ 300 000 emplois à pourvoir, ce n’est pas un sujet tout à fait nouveau en France, mais il n’a jamais pris une telle acuité, c’est un gâchis », affirme Jean Castex. Le Premier ministre qualifie même de « problème numéro un les difficultés de recrutement » rencontrés par les entreprises. Cette pénurie de main-d’œuvre touche toute l’Europe.

L’analyse de Jean Castex est partagée par le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux. Fin août, il indiquait : « Tous les patrons que j’ai vus cet été, même avant l’été, leur sujet numéro un, ça n’est plus la pandémie, c’est le recrutement. »

En juillet, environ 15 % des entreprises de l’industrie et des services et 40 % de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre. « Ces proportions relativement élevées sont toutefois inférieures aux points hauts de 2018-2019. Elles vont de pair avec la vigueur de l’emploi salarié privé au deuxième trimestre », nuançait toutefois l’Insee dans son point de conjoncture mardi.

« Normal, quand tout le monde recrute en même temps, que ce soit plus difficile qu’il y a six mois. »

Alors la situation est-elle grave ? La pénurie de travailleurs peut-elle avoir un impact sévère sur l’économie, à l’heure de la reprise post-Covid ? Pôle emploi relativise. Parmi le million d’offres actuellement disponibles dans l’organisme, il est difficile de repérer « les offres suspendues pendant le Covid ». Surtout, elles intègrent aussi « des offres d’apprentissage, d’intérim ou de CDD courts ».

Réfléchir à « l’attractivité des emplois proposés »
« Dans les faits, les entreprises n’ont jamais autant recruté, assure Éric Heyer. Si les entreprises n’arrivaient pas à recruter, elles demanderaient à leurs salariés de travailler plus longtemps, plus de productivité, ou augmenteraient les salaires. Or on ne constate rien de cela pour l’inst


Il suffit de se promener dans les rues de Lille – ou d’ailleurs – pour s’en convaincre : les entreprises recrutent. Des cuistots, des vendeurs, des préparateurs de commandes, des agents immobiliers, des employés polyvalents…

Sur le site de Pôle emploi, plus de 42 000 annonces sont recensées dans le Nord et le Pas-de-Calais ce vendredi midi, dont 14 000 dans la capitale des Flandres. Et au niveau national, actuellement, un million d’offres d’emploi sont affichées sur le site.

Le taux de chômage en France au deuxième trimestre s’élevait à 8 % de la population active, soit 2,4 millions de demandeurs d’emploi. Problème : il semble y avoir peu de candidats. Un paradoxe ?

« Problème numéro un » des entreprises
« Selon la Banque de France, on parle d’environ 300 000 emplois à pourvoir, ce n’est pas un sujet tout à fait nouveau en France, mais il n’a jamais pris une telle acuité, c’est un gâchis », affirme Jean Castex. Le Premier ministre qualifie même de « problème numéro un les difficultés de recrutement » rencontrés par les entreprises. Cette pénurie de main-d’œuvre touche toute l’Europe.

L’analyse de Jean Castex est partagée par le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux. Fin août, il indiquait : « Tous les patrons que j’ai vus cet été, même avant l’été, leur sujet numéro un, ça n’est plus la pandémie, c’est le recrutement. »

Découvrir plus de vidéos
En juillet, environ 15 % des entreprises de l’industrie et des services et 40 % de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre. « Ces proportions relativement élevées sont toutefois inférieures aux points hauts de 2018-2019. Elles vont de pair avec la vigueur de l’emploi salarié privé au deuxième trimestre », nuançait toutefois l’Insee dans son point de conjoncture mardi.

« Normal, quand tout le monde recrute en même temps, que ce soit plus difficile qu’il y a six mois. »

Alors la situation est-elle grave ? La pénurie de travailleurs peut-elle avoir un impact sévère sur l’économie, à l’heure de la reprise post-Covid ? Pôle emploi relativise. Parmi le million d’offres actuellement disponibles dans l’organisme, il est difficile de repérer « les offres suspendues pendant le Covid ». Surtout, elles intègrent aussi « des offres d’apprentissage, d’intérim ou de CDD courts ».



MAIS LA ENCORE CE SONT DES OFFRES D EMPLOI QUI NE TIENNENT PAS COMPTE DES EMPLOIS VACANTS MAIS NE FAISANT L OBJET D AUCUNE DEMANDE OFFICIEL LA LASSITUDE ETANT PASSES PAR LA

.
Donc il y aurait les offres d'emplois visibles et non visibles.
Et comment fait-on pour connaitre les invisibles ?
Une extrapolation de Vincent peut elle être crédible ?

[vincent]

on ne peut pas les connaitre , mais ils sont là , c 'est comme pour la fraude fiscale.....il y a ceux qui se font prendre, donc on les connait , et ceux qui se font pas prendre , donc on les connait pas .

Déja le million d'emplois non pourvus , c'est pas moi qui en parle , c' est le journal . Mais comme il y a une partie qui fait doublon qui devrait étre soustraite , a la louche , on peut supposer que ce moins pourrait être compensé par les postes non déclarés .

La crédibilité de cette estimation est là , mais les 300 000offres non pourvues ne peuvent être utilisé comme véritable mesure du nombre de postes non pourvus .

Je n 'extrapole rien , je met en relief une réalité sur l' existence de postes disponibles et non déclarés , pour les raisons que j' ai donné

https://dares.travail-emploi.gouv.fr/do ... is-vacants

le fait que vous sortiez ces chiffres comme réflet de la réalité, montre trés bien que vous ne connaissez pas les entreprises d' une manière générale , vous ne soupçonniez même pas l' existence de postes de travail non pourvus mais ne faisant pas l' objet d'un dépot d' offre d emploi

Vous devez vivre loin , trés loin , trés trés loin del' entreprise ......

[sofasurfer]

Vous avez raison, il vaut mieux un chiffre même s'il sera forcément contesté qu'un exemple qui ne prouve rien et qui n'est qu'un témoignage.

quoiqu'il en soit ,, je le vois autour de moi (maçonnerie/bâtiment , petite métallurgie, agriculture) , il est extrèmement difficile de trouver des bras;même en payant bien
Pire , c'est presque un sujet d'altercation si un recruteur , s'adresse directement à un sans emploi connu comme tel ,ayant pourtant pratiqué (ça se sait)

Ma fille recherche un job d'été dans le service bar/restauration, facile il suffit de suivre les affichettes " recherche serveur/se" affichés un peu partout dans les restaus et bars du centre ville.

Sauf que une fois la conversation engagée, le taulier refuse de l'embaucher car il recherche une personne avec de l'expérience, tout ca payé au smic horaire. Et après ils viennent pleurer qu'ils ne trouvent personne, ils préfèrent prendre des tunisiens pour les faire bosser 12h par jour en els payant 7.

C'est un peu la même chose dans la peinture en bâtiment, pourquoi prendre un jeune que l'on doit déclarer quand on peut ramasser des sans papiers payés 50 balles la journée? Idem ans l'agriculture, l'employeur peste sur ces gens qui refusent de ne pas déclarer la moitié de leurs heures et de se les faire payer au noir, c'est un véritable fléau.

La réalité, c'est que certains secteurs sont remplis de patrons voyous, les rois de la resquille et de la pleurniche, et ensuite ca commande un SUV audi neuf, c'est bien dans la mentalité franchouillarde de vouloir le beurre et l'argent du beurre. C'est peut être cette mentalité qu'il faudrait changer avant de venir chouiner que "les jeunes ne veulent plus travailler"...

[papibilou]

Ma fille recherche un job d'été dans le service bar/restauration, facile il suffit de suivre les affichettes " recherche serveur/se" affichés un peu partout dans les restaus et bars du centre ville.

Sauf que une fois la conversation engagée, le taulier refuse de l'embaucher car il recherche une personne avec de l'expérience, tout ca payé au smic horaire. Et après ils viennent pleurer qu'ils ne trouvent personne, ils préfèrent prendre des tunisiens pour les faire bosser 12h par jour en els payant 7.

C'est un peu la même chose dans la peinture en bâtiment, pourquoi prendre un jeune que l'on doit déclarer quand on peut ramasser des sans papiers payés 50 balles la journée? Idem ans l'agriculture, l'employeur peste sur ces gens qui refusent de ne pas déclarer la moitié de leurs heures et de se les faire payer au noir, c'est un véritable fléau.

La réalité, c'est que certains secteurs sont remplis de patrons voyous, les rois de la resquille et de la pleurniche, et ensuite ca commande un SUV audi neuf, c'est bien dans la mentalité franchouillarde de vouloir le beurre et l'argent du beurre. C'est peut être cette mentalité qu'il faudrait changer avant de venir chouiner que "les jeunes ne veulent plus travailler"...

Elle n'a pas bien cherché. Qu'elle se renseigne auprès du GEIQ local puisque leur principe est de leur assurer une formation Et un emploi.

Oui il y a des patrons voyous. Oui il y a des chômeurs peu enclins à chercher un travail. Oui on manque de contrôleurs sociaux pour s'assurer qu'il n'y a pas de jaunes payés au black. La resquille c'est une mentalité individuelle. C'est le cas aussi de tous les commerçants qui oublient de déclarer une partie de leurs bénéfices, oubliant du même coup de reverser la TVA qu'ils ont pourtant encaissée auprès du client. En revanche, je ne vois pas comment changer l'état d'esprit hormis par la sanction forte.

[AAAgora]

on ne peut pas les connaitre , mais ils sont là , c 'est comme pour la fraude fiscale.....il y a ceux qui se font prendre, donc on les connait , et ceux qui se font pas prendre , donc on les connait pas .

Déja le million d'emplois non pourvus , c'est pas moi qui en parle , c' est le journal . Mais comme il y a une partie qui fait doublon qui devrait étre soustraite , a la louche , on peut supposer que ce moins pourrait être compensé par les postes non déclarés .

La crédibilité de cette estimation est là , mais les 300 000offres non pourvues ne peuvent être utilisé comme véritable mesure du nombre de postes non pourvus .

Je n 'extrapole rien , je met en relief une réalité sur l' existence de postes disponibles et non déclarés , pour les raisons que j' ai donné



le fait que vous sortiez ces chiffres comme réflet de la réalité, montre trés bien que vous ne connaissez pas les entreprises d' une manière générale , vous ne soupçonniez même pas l' existence de postes de travail non pourvus mais ne faisant pas l' objet d'un dépot d' offre d emploi

Vous devez vivre loin , trés loin , trés trés loin del' entreprise ......

.
Ainsi vous affirmez que, autour des chiffres officiels des posts de travail non pourvus, il y a une grosse nébuleuse de posts non déclarés ( de 300 mille à 1 million et plus).
Par contre vous êtes convaincu qu'il y a seulement 7% de chômeurs en refusant d'y voir la grosse nébuleuse autour.
Si on suit votre raisonnement, on aurait près de 20% de chômeurs dont 13% appartenant à la nébuleuse des non déclarés et non répertoriés.

Deux poids et deux mesures.....bravo

[vincent]

ça c 'est La Voix du Nord

Et au niveau national, actuellement, un million d’offres d’emploi sont affichées sur le site.

et moi , je rajoute un certain nombre de postes de travail non publiés .*

Je n'ai jamais dit qu' il y avait 20 % de chômeurs

Si on suit votre raisonnement, on aurait près de 20% de chômeurs dont 13% appartenant à la nébuleuse des non déclarés et non répertoriés.

je parle de postes de travail disponible et non déclarés , et vous écrives.....

chômeurs non déclarés ???? vous mélangez postes non déclarés et chômeurs.....vous allez où là ......c 'est une sortie de route

Pour moi chiffres chômage , a la hausse comme a la baisse = chiffres chômage

900 000 offres, en moyenne, sont disponibles sur le site de Pôle Emploi depuis le début de la saison, selon nos confrères des Echos, contre environ 700 000 habituellement. La plateforme a même enregistré un record au mois de juin 2021 avec plus d'un million d'offres répertoriées.7 sept. 2021


Très forte baisse du taux de chômage en 2021https://www.lesechos.fr › Économie France › Social
18 févr. 2022 — Le taux de chômage au sens du BIT est ressorti à 7,4 % de la population active au quatrième trimestre, selon l'Insee. En baisse de 0,6 point par ...

cela vous dépite , j' en suis ravi

[sofasurfer]

Ma fille recherche un job d'été dans le service bar/restauration, facile il suffit de suivre les affichettes " recherche serveur/se" affichés un peu partout dans les restaus et bars du centre ville.

Sauf que une fois la conversation engagée, le taulier refuse de l'embaucher car il recherche une personne avec de l'expérience, tout ca payé au smic horaire. Et après ils viennent pleurer qu'ils ne trouvent personne, ils préfèrent prendre des tunisiens pour les faire bosser 12h par jour en els payant 7.

C'est un peu la même chose dans la peinture en bâtiment, pourquoi prendre un jeune que l'on doit déclarer quand on peut ramasser des sans papiers payés 50 balles la journée? Idem ans l'agriculture, l'employeur peste sur ces gens qui refusent de ne pas déclarer la moitié de leurs heures et de se les faire payer au noir, c'est un véritable fléau.

La réalité, c'est que certains secteurs sont remplis de patrons voyous, les rois de la resquille et de la pleurniche, et ensuite ca commande un SUV audi neuf, c'est bien dans la mentalité franchouillarde de vouloir le beurre et l'argent du beurre. C'est peut être cette mentalité qu'il faudrait changer avant de venir chouiner que "les jeunes ne veulent plus travailler"...

Elle n'a pas bien cherché. Qu'elle se renseigne auprès du GEIQ local puisque leur principe est de leur assurer une formation Et un emploi.

Oui il y a des patrons voyous. Oui il y a des chômeurs peu enclins à chercher un travail. Oui on manque de contrôleurs sociaux pour s'assurer qu'il n'y a pas de jaunes payés au black. La resquille c'est une mentalité individuelle. C'est le cas aussi de tous les commerçants qui oublient de déclarer une partie de leurs bénéfices, oubliant du même coup de reverser la TVA qu'ils ont pourtant encaissée auprès du client. En revanche, je ne vois pas comment changer l'état d'esprit hormis par la sanction forte.

Un GEIQ pour bosser les week ends? Surtout pour un poste de serveuse dans un restaurant lambda, ils suffit d 'une semaine de formation et roule ma poule, on n'est pas chez Ducasse

J'ai vu un reportage sur la pénurie de main d 'œuvre dans els restaus, un jeune qui cherche pareil un boulot pour l'été, il témoigne d'une "proposition" d'un restaurateur en manque de bras : "on veut bien vous prendre, mais au préalable vous devez effectuer un "stage formation " de trois semaines non rémunéré avant de commencer votre contrat de travail"

Il y a des voyous, il y a des fainéants, mais il y a surtout une partie de la population française qui refuse de modifier ses mauvaises habitudes alors que le monde du travail évolue.

Il faut quand même savoir que, dans la restauration, le employeurs qui ont proposé dès le début des conditions d'embauches satisfaisantes ont fait le plein et avec du personnel qualifié. Donc c'est certain que quand on attend de trouver le "pigeon" sur un marché en tension, il ne faut pas ensuite venir pleurer qu'on en trouve personne...

[Mickey]

Une solution pour combler ces milliards d'offres d'emploi non pourvues : faire bosser gratos les rmistes !
Les patrons ne seront plus regardants sur l'âge et l'expérience, mais ils auront des types complètement démotivé qui feront un boulot de merde.