

De toute évidence ils sont nombreux à ne pas opter pour le "choose France" ?
https://www.lesechos.fr/economie-france ... re-1904222
En 2022 la France a essuyé le pire déficit commercial de son histoire.
Purée mais ce n'est pas du tout comme ça que cela fonctionne. Tu racontes beaucoup d'énormités sur ce fil qu'il serait trop long de reprendre, je capte pas les gens qui ne font pas l'effort de s'informer avant de parler.
Mais pourquoi donc la BCE a dû prêter directement à des états de l'UE ?
Tout à fait. Il n'y a rien de plus dangereux que les gens qui écrivent que ce qui est arrivé à la Grèce ou au Portugal ne peut pas arriver à la France ou à l'Italie.Peracetic a écrit : ↑07 février 2023 18:01 Victor
En terme de solvabilité vous semblez oublier un élément important que la solvabilité d’un état passe par la solvabilité des ménages et des différents acteurs économiques qui paient force impôts et taxes . Or nos créanciers savent que l’état français sait très très bien faire et en est le champion , c’est pour eux une garantie ; néanmoins quand les ‘citrons’ français en particulier les ménages auront de moins en moins de ‘jus’ à donner à l’ état en s’appauvrissant , ce qui commence à se constater, vous constaterez que nos créanciers augmenteront leur taux d’intérêt . On amorcera une spirale infernale qui pourrait nous conduire à la situation de la Grèce
salut
Victor a écrit : ↑07 février 2023 16:21Réfléchissez un instant. Si vous disiez vrai, il n'y aurait pas de crises financières, pas de FMI. L'Argentine irait très bien et ne serait pas en hyperinflation.
Un état peut effectivement toujours demander un nouveau prêt, mais va-t-il l'obtenir ?
Et si oui avec quel taux ?
Et si les banquiers refusent de lui prêter parce que le risque est trop important ?
Il n'y a plus que le FMI qui intervient auprès des états qui ne trouvent plus de financement auprès du système financier.
Et ce sera un plan de redressement des finances publiques.
C'est à dire que le FMI veut bien prêter mais attention il faut que le pays resserre tous les boulons.
Imaginons la France avec un trésor public dans une situation ultra-difficile et qui ne trouve plus à se financer auprès des banques.
Et bien ce sera les conditions du FMI qu'il faudra appliquer.
Ce sera par exemple la retraite à 67 ans pour tous. Une forte baisse des pensions de retraite.
Certainement des plans sociaux dans la fonction publique. Un blocage de tous les salaires de la fonction publique, etc.
Si les banquiers de 2008 avaient prêté à la Grèce pour des prêts sur 15 ans par exemple, alors les finances grecques auraient continué à tourner normalement, sans crise extrême, et aujourd'hui, à échéance, la Grèce aurait réalisé de nouveaux emprunts pour rembourser les anciens.Victor a écrit : ↑07 février 2023 16:13 Mais non. Une banque qui prête à un client insolvable va perdre de l'argent. C'est le B.A.BA.
Si la comptabilité publique de la Grèce n'avait pas été trafiquée, les banques auraient carrément stoppé leurs prêts à la Grèce bien avant que le pot aux roses ne soient découverts.
Avec vous, Mesoke, il y a au moins une chose qui est claire, c'est que vous n'êtes pas banquier !
Et heureusement pour nous tous !
Parce qu'avec vous, on aurait des crises financières tous les quatre matins du mois.
Mais une autre option effectivement aurait pu être que les banques (dont le crédit agricole français) continuent de financer la Grèce mais dans ce cas, il aurait fallu mettre en place un méga plan de sauvegarde des banques comme en 2008.
Auriez-vous été prêt à payer de très forts impôts pour redresser le crédit agricole français plombé par ses prêts auprès de la Grèce ??
Je vais vous dire la vérité. Les mêmes imbéciles tels que vous qui déclarent que les banques auraient dû continuer à financer la Grèce, puits sans fond aurait hurlé contre un plan de sauvetage des banques privées avec de l'argent public !
Vous êtes un dangereux démago.
L'hyperinflation n'a rien à voir avec les roulements de dette. Les crises financières non plus.Victor a écrit : ↑07 février 2023 16:21 Réfléchissez un instant. Si vous disiez vrai, il n'y aurait pas de crises financières, pas de FMI. L'Argentine irait très bien et ne serait pas en hyperinflation.
Un état peut effectivement toujours demander un nouveau prêt, mais va-t-il l'obtenir ?
Et si oui avec quel taux ?
Et si les banquiers refusent de lui prêter parce que le risque est trop important ?
Il n'y a plus que le FMI qui intervient auprès des états qui ne trouvent plus de financement auprès du système financier.
Et ce sera un plan de redressement des finances publiques.
C'est à dire que le FMI veut bien prêter mais attention il faut que le pays resserre tous les boulons.
Imaginons la France avec un trésor public dans une situation ultra-difficile et qui ne trouve plus à se financer auprès des banques.
Et bien ce sera les conditions du FMI qu'il faudra appliquer.
Ce sera par exemple la retraite à 67 ans pour tous. Une forte baisse des pensions de retraite.
Certainement des plans sociaux dans la fonction publique. Un blocage de tous les salaires de la fonction publique, etc.
Faudrait peut-être envisager quelques stages de rattrapage ?Mesoke a écrit : ↑07 février 2023 21:55L'hyperinflation n'a rien à voir avec les roulements de dette. Les crises financières non plus.Victor a écrit : ↑07 février 2023 16:21 Réfléchissez un instant. Si vous disiez vrai, il n'y aurait pas de crises financières, pas de FMI. L'Argentine irait très bien et ne serait pas en hyperinflation.
Un état peut effectivement toujours demander un nouveau prêt, mais va-t-il l'obtenir ?
Et si oui avec quel taux ?
Et si les banquiers refusent de lui prêter parce que le risque est trop important ?
Il n'y a plus que le FMI qui intervient auprès des états qui ne trouvent plus de financement auprès du système financier.
Et ce sera un plan de redressement des finances publiques.
C'est à dire que le FMI veut bien prêter mais attention il faut que le pays resserre tous les boulons.
Imaginons la France avec un trésor public dans une situation ultra-difficile et qui ne trouve plus à se financer auprès des banques.
Et bien ce sera les conditions du FMI qu'il faudra appliquer.
Ce sera par exemple la retraite à 67 ans pour tous. Une forte baisse des pensions de retraite.
Certainement des plans sociaux dans la fonction publique. Un blocage de tous les salaires de la fonction publique, etc.
Je suis désolé mais vous ne connaissez pas grand chose au sujet. Cela se voit dans les énormités que vous sortez dans chacun de vos commentaires.
Vous n'aviez pas déclaré être dans la science ? la physique tout particulièrement il me semble.
Le mot "confiance" est évidemment fondamental.latresne a écrit : ↑08 février 2023 15:07 On est loin de l'époque 1960 ou un Président disait:
-"Pour une personne comme pour un pays on ne doit pas dépenser + que ce que l'on gagne."
Il est vrai que le"prêt" est capital pour l'économie des personnes et des pays,mais quand et comment savoir où se trouve la limite.J'aurais tendance à faire confiance aux spécialistes.