Corvo a écrit : ↑30 juillet 2020 06:04
vivarais a écrit : ↑29 juillet 2020 19:54
et de rabâcher vos mêmes conneries sur le RN çà sert à quoi
ce livre est téléchargeable gratos et donc chacun à la condition de ne pas être lobotomisé idéologiquement se fera sa propre opinion
contrairement à vous je ne dis pas le livre est bien ou mal
je dis faites vous votre propre opinion en le lisant
et non comme les cons qui ne le liront pas mais en parleront de manière négative sans en connaitre le contenu
Ben ça sert à vous faire réagir et c'est à chaque fois ce que vous faites non ? puisque téléchargeable gratuitement pourquoi ne pas insérer un lien ?
Un truc comme ça quoi !
https://www.lopinion.fr/edition/politiq ... pen-221303
Mon cher Corvo, nous vivons une affreuse guerre d'opinions, heureusement meurtrière uniquement pour les intelligences dont certains d'entre nous sont dotés, les autres n'étant touchés qu'au niveau de la ceinture.
Dans cette bataille d'opinions, mettre un lien ne peut suffire! Comment croire que nos bas du front avoués, notoires et les inhibés qui frôlent les murs mais rêvent de la Marine ou de sa nièce, cette "étoile qui monte"
, comment croire qu'ils vont ouvrir cette porte vers la lumière? Non, il faut leur mettre le nez dans leur caca. Voici donc le contenu in extenso. Boone lecture à ceux qui sont ouverts:
Insouciance coupable, indigence logistique, mensonge érigé en doctrine de com, confusion générale, vérités dissimulées…
Dernière salve avant la trêve estivale, Marine Le Pen a ciblé mardi Emmanuel Macron et sa gestion « désastreuse » de la crise du coronavirus. Un exercice attendu ? Certes. Mais une erreur tactique aussi. Car la charge de la présidente du RN, ficelée à la va-vite, tombe à plat.
Habituée à prospérer sur la crise, la candidate à la présidentielle de 2022 n’a, on le sait, rien gagné lors du séisme de la Covid-19 : les Français considèrent tout simplement qu’elle n’aurait pas fait mieux. Au Brésil ou aux Etats-Unis, l’échec à protéger leur peuple de ses modèles populistes pourrait finir par les persuader qu’elle aurait même fait pire.
Dans son « Livre noir du coronavirus », la leader frontiste n’a rien abandonné de sa rhétorique : trahison de la classe dirigeante, défaite de l’ultra-libéralisme, la déroute du libre-échange, etc. Or ce même discours s’est montré politiquement peu performatif, voire contre-productif outre-Atlantique, au point de menacer aujourd’hui la réélection de l’hôte de la Maison-Blanche.
La défiance envers les élites ? Elle a empêché le président américain de tenir compte des avertissements des scientifiques. Sa facilité à se décharger de toute responsabilité par la désignation d’un bouc émissaire ? Elle s’est avérée inopérante face à un virus par définition a-idéologique. Tout comme son simplisme mâtiné de complotisme, absurde jusqu’à l’obscénité face à 150 000 décès. L’étrange défaite dénoncée par le RN, c’est donc d’abord celle de Donald Trump, inspirateur indépassable de l’extrême droite française.
Du coup, tous les fondamentaux de la démagogie sont ébranlés. Reste à Marine Le Pen un argument : ne pas avoir été en situation pour appliquer sa politique. Ces alliés l’ont fait pour elle. Et avec quel éclat…