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partout dans le monde il y a des gens qui font cela par nécessité ou attrait de l'argent facile et sans effort
capochef99 a écrit : ↑24 décembre 2020 16:28Ce Mardi 22/12/2020, à 21h00, sur la chaine RMC 24, nous avons eu droit à un superbe reportage sur la BA 125, base aérienne XXL, car la plus grande base aérienne militaire de l'Union Européenne !
J'y ai fait mon service militaire durant 18 mois dans les années 1966-1967, et j'étais employé à l'escale, à l'accueil des équipages de langue Anglaise, et je garde de cette période, durant laquelle j'ai amélioré mon Anglais, un beau souvenir au contacte de militaires qui ont commencé mon véritable départ professionnel dans la vie !
Chaque jour j'étais prévenu par fax des avions dont je devais assurer le ravitaillement, le suivi du plan de vol, la présentation météo de la suite de leur voyage, et très souvent l'accompagnement de leurs passagers vers nos messes pour que des repas leur soient servis !
Ce reportage n'a duré qu'une heure, cela s'est passé trop vite, mais j'y ai reconnu tous les endroits que j'y avais le droit de fréquenter, le hangar de l'Escale ou je travaillais, et les hangars ou se faisaient les entretiens des KC 135 avions ravitailleurs, des Mirages , le centre d'essais en vol, avec ce malheureux souvenir du bombardier à décollage vertical qui s'est écrasé à 300m de moi, heureusement son pilote avait fait fonctionner son siège éjectable !
J'ai eu le plaisir d'y décoller plusieurs fois sur la piste la plus longue d'Europe, car je profitais assez souvent des vols qu'effectuaient nos militaires qui devaient faire un minimum d'heures de pilotage pour conserver leur permis de piloter.
Et j'ai accompagné sur Marseille les pilotes Anglais que j'accueillais, lorsqu'ils redécollaient le lendemain matin, des soirées de belles détentes !!!!
Moi qui suis un curieux de l'aviation, j'y ai fait la connaissance de plusieurs dizaines d'avions fantastiques !!!!!
Ce reportage annonçait la prochaine mise à la retraite d'avions, que j'ai connus durant ma période militaire, et que nos pilotes utilisent depuis 60 ans !!!
Je ne vous décrit pas les chasseurs Jordaniens qui se posaient à Istres avant d'aller à de la remise en état en Angleterre, ils avaient un urgent besoin de soins !!!!!
Source:Le Point.
« Un jeune homme de 25 ans est décédé à la suite de la manipulation d'un mortier » de feu d'artifice à Boofzheim à l'occasion du réveillon du jour de l'An, a indiqué la préfecture.
La victime a eu « la tête arrachée » par le tir, a-t-elle précisé, après avoir évoqué dans un premier temps un arrêt cardiaque.
Un homme de 24 ans, qui l'accompagnait, a eu, lui, « le visage abîmé » et est hospitalisé. « Ils étaient dans la rue en train de manipuler » le mortier quand l'accident s'est produit, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
Pétards et mortiers:
Trois autres personnes ont été blessées à la main dans d'autres communes du Bas-Rhin. La préfecture du Bas-Rhin, comme celle du Haut-Rhin, avait interdit la vente et l'achat de feux d'artifice durant tout le mois de décembre.
Néanmoins, à minuit, pétards et mortiers ont résonné dans toute l'agglomération de Strasbourg. Des habitants les tiraient de chez eux, le couvre-feu interdisant de sortir depuis 20 heures.
Des voitures ont été incendiées dans différents quartiers de Strasbourg, mais en nombre bien moins important que lors du réveillon de l'an passé, au cours duquel des policiers et des pompiers avaient violemment été pris à partie.
Des voitures incendiées:
Selon une source syndicale policière, une soixantaine de voitures ont été brûlées. Plusieurs personnes ont été interpellées par les forces de l'ordre, mais la préfecture n'a pas souhaité communiquer leur nombre.
Pour prévenir les incendies de véhicules à Strasbourg, le dispositif policier a été renforcé et le stationnement interdit dans plusieurs rues et zones d'habitation. Plusieurs parkings gratuits et surveillés ont été mis à disposition des habitants jusqu'au 2 janvier et la vente de carburant au détail a été interdite.
« On ne peut pas se permettre d'avoir le même bilan que l'an dernier. On a fait le maximum pour que cette nuit se passe mieux », a déclaré la préfète du Bas-Rhin Josiane Chevalier, après une visite aux urgences de l'hôpital Hautepierre, aux forces de l'ordre et aux pompiers, jeudi en fin d'après-midi. La « soirée sera sans concession », a-t-elle prévenu.
Source:Le Point.
Alors qu'ils étaient stationnés boulevard Maxime Gorki à La Courneuve (Seine-Saint-Denis) dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, des policiers ont vu un homme conduisant une Range Rover franchir un feu rouge.
Ils ne le savent pas, mais l'automobiliste est dans l'urgence : sa femme est sur le point d'accoucher et il rejoint son domicile à toute vitesse.
Interrogé, l'homme de 35 ans né au Congo, paniqué, explique la situation. La brigade de nuit l'accompagne alors à Stains. La femme de 25 ans est prête, valise à la main, à rejoindre la clinique. Les policiers indiquent au couple qu'il va être escorté jusqu'à Paris où l'accouchement doit se dérouler.
Cordon ombilical autour du cou:
Mais au bout de quelques mètres de route, la future mère perd les eaux. Le convoi s'arrête. Les policiers improvisent alors une clinique de campagne et l'accouchement va se dérouler dans le 4 X 4, alors que la température extérieure est de zéro degré. Des renforts mettent en place une zone de sécurité.
Guidés au téléphone par les pompiers et rejoints par un équipage de femmes policiers, les fonctionnaires se lancent dans une opération de secours.
Il est 5 heures du matin. Un brigadier, père de deux enfants, aide la gardienne de la paix en première ligne. Le bébé naît à 5 h 24, la tête la première. Ses premiers cris retentissent, mais son cordon ombilical est enroulé autour du cou. Au téléphone, le médecin donne ses instructions. La policière « accoucheuse » parvient à dérouler le cordon.
Les pompiers arrivés sur les lieux prennent alors le relais. Les nouvelles sont rassurantes. La mère et le bébé, un garçon de près de 3 kilos, se portent bien.
Les policiers qui ont mis au monde Eddior sont chaleureusement félicités par les parents et l'équipe médicale. Ces derniers se rendent à la clinique parisienne. Il est 6 h 10, ce 1er janvier.
Source:Le Parisien.
Sur la page de garde de la carte de vœux de la municipalité de Baillargues près de Montpellier (Hérault), le message est direct. Dans un croquis, le croque-mort prend la mesure d'un cercueil.
Et à l'intérieur le dessinateur Dadou, qui vient de signer l a BD « Chloro King » dédiée au professeur Raoult, croque un coureur de fond qui repousse le coronavirus à coups de mètre ruban alors que le président Macron en a « marre d'être (dé) testé ».
« Pour 2021, après ce que nous avons traversé le traitement du virus dans la carte de vœux était inévitable. Encore fallait-il que le caractère provocateur serve à quelque chose », explique Jean-Luc Meissonnier le maire (DVD) créateur du concept « carte de vœux et gadget ».
Cette année, il offre un mètre ruban bien utile dans les rues pour vérifier la distanciation sociale afin de rappeler aux citoyens qu'il faut se tenir toujours à plus d'un mètre les uns des autres sur le domaine public.
« Tout le monde m'attendait avec un masque. J'ai préféré le mètre », ajoute ce maire réélu sans adversaire aux dernières municipales.
Depuis plus de 20 ans il détonne avec ces vœux de la provocation gadgetisée en offrant un string républicain « l'Etat met les collectivités à poil », un préservatif,« Restez actif en bourse » ou une boussole début 2020 pour « garder le cap ».
Chaque année, on attend avec impatience cette carte de vœux totalement décalée, avec beaucoup d'humour et souvent en avance sur l'actualité politique qui viendra », témoigne Estelle Desfaudais fan depuis des années. « C'est une manière singulière et réussie de parler avec humour de politique », ajoute Lionel. Pendant ce temps, sur la carte, le professeur Raoult jette la chloroquine comme si c'était des confettis.