Hausse des violences envers les enseignants.

[Crapulax]

..........................................................Violences envers les enseignants:

Selon le baromètre du climat scolaire, le niveau de violences dans les classes a augmenté de 20% en un an et vient très majoritairement des parents d'élèves.

Pour Georges Fotinos, ancien inspecteur général de l’éducation nationale invité de RMC lundi, il faut réconcilier parents et enseignants par des actions concrètes.

Des insultes, des menaces et parfois même des coups........

Le monde enseignant doit faire face à un regain de comportements violents dans les établissements scolaires, indique le baromètre 2022 du climat scolaire réalisé par l'Autonome de Solidarité Laïque. 4.732 dossiers ont été ouverts par l'association en 2021, soit 19% de plus que l’année précédente.

"Chaque semaine, il se passe quelque chose. Des mots comme 'connasse', 'pute', 'salope' sont de plus en plus fréquents", raconte Louise, qui enseigne depuis 20 ans dans un collège.

Cette professeur confie à RMC un événement qu’elle a vécu en septembre dernier: "un élève m’a menacée par lettre, a participé à une émeute devant ma porte, m’a invectivée. Il n’y a pas eu de coup mais j’ai vraiment eu peur". Elle a quand même ensuite été arrêtée plusieurs semaines à cause du traumatisme psychologique.

Non-reconnaissance de la réalité du quotidien:

Louise a pu déposer plainte, être accompagnée, mais c'est très rarement le cas.

"Quand un prof s’exprime et dépose plainte, il se retrouve face à un mur qui leur dit 'ce n’est pas forcément ce qu’il faut faire, peut-être qu’une main courante c’est mieux'. Les collègues en souffrance vivent ça comme la non-reconnaissance de la réalité qu’ils vivent au quotidien", explique Jean-Louis Linder, vice-président de l'Autonome de Solidarité Laïque, qui réalise ce baromètre.

Sur les 4.732 dossiers recensés par l'association, moins de 1% ont connu des suites judiciaires, ce qui n'incite pas les autres enseignants victimes à déposer plainte.

Louise déplore l'attitude de certains parents, qui soutiennent leurs enfants. Dans 48% des cas, les violences viennent des parents, et 17% des enfants, indique le rapport de l'Observatoire. Un cas signalé sur trois est de la diffamation, 30% sont des insultes et des menaces, et 7,5% des agressions physiques.

Trois axes à suivre:

Pour lutter contre ce "problème quotidien", Georges Fotinos, ancien inspecteur général de l’éducation nationale et spécialiste des questions de violences à l’école, estime qu’il faut "réconcilier les parents avec l’école, et les enseignants avec les parents".

Georges Fotinos avance trois axes à suivre: "établir une confiance réciproque entre les deux acteurs, introduire systématiquement le dossier école/parents dans tous les projets d‘école, et construire des actions avec les parents, où ils sont acteurs". De vraies actions, insiste-t-il, "pas une réunion annuelle".

Après une accalmie en 2020, ces violences sont reparties à la hausse. "Avec la crise, les relations se sont dégradées", a confirmé Georges Fotinos lundi matin sur RMC.

Source:RMC-BFM.
https://rmc.bfmtv.com/actualites/societ ... 30198.html

[oups]

Ché pourquoi mais quand une gendarmette de 22 ans & de 60 kgs me demande mes papiers, des fois j’suis plus lent que quand c’est un gars de 40 ans et 90 kgs de la police de la route aux USA .Le perfecto ,les bottes ,les Rayban ché pas mais ya un ptit quelque chose qui incite à la bienséance
Bref quand on veut en imposer ,mieux vaut être imposant .Encore la semaine dernière , je ne sais plus où , un gamin exhibe un pistolet à eau......et hop droit de retrait pour l’équipe éducative, ptete qu’un bon lavement avec son jouet eut été plus .......pédagogique

[Patchouli38]

Tu as des gosses qui mentent à leurs parents en leur racontant des histoires. Pour ces parents, leur gamins ne sont pas des menteurs, c'est donc forcément la faute aux profs..
Il faudrait refaire l'éducation des parents en premier lieu et des enfants ensuite. Ou donner des caméras-piétons à chaque enseignant, comme dans la police.

[Crapulax]

Dans 48% des cas, les violences viennent des parents

Comme on dit les chats ne font pas de chiens....La question de l'éducation parentale reste centrale...Avec des parents qui "saladent" des profs pour exemple je ne vois pas comment le gamin peut "comprendre" ce qu'est l'autorité d'autrui dans ses fonctions et le respect à lui devoir.

[oups]

Dans 48% des cas, les violences viennent des parents

Comme on dit les chats ne font pas de chiens....La question de l'éducation parentale reste centrale...Avec des parents qui "saladent" des profs pour exemple je ne vois pas comment le gamin peut "comprendre" ce qu'est l'autorité d'autrui dans ses fonctions et le respect à lui devoir.

Tout a fait d’accord .Par contre se laisser "salader" par un niais n’est en rien une obligation
Si on veut pas que l’ot' vous trouve mou et en abuse, rien de mieux que de lui montrer qu’il a tort
Faut pas tout accepter toujours sinon...........on accepte tout toujours

[sofasurfer]

..........................................................Violences envers les enseignants:

Selon le baromètre du climat scolaire, le niveau de violences dans les classes a augmenté de 20% en un an et vient très majoritairement des parents d'élèves.

Pour Georges Fotinos, ancien inspecteur général de l’éducation nationale invité de RMC lundi, il faut réconcilier parents et enseignants par des actions concrètes.

Des insultes, des menaces et parfois même des coups........

Le monde enseignant doit faire face à un regain de comportements violents dans les établissements scolaires, indique le baromètre 2022 du climat scolaire réalisé par l'Autonome de Solidarité Laïque. 4.732 dossiers ont été ouverts par l'association en 2021, soit 19% de plus que l’année précédente.

"Chaque semaine, il se passe quelque chose. Des mots comme 'connasse', 'pute', 'salope' sont de plus en plus fréquents", raconte Louise, qui enseigne depuis 20 ans dans un collège.

Cette professeur confie à RMC un événement qu’elle a vécu en septembre dernier: "un élève m’a menacée par lettre, a participé à une émeute devant ma porte, m’a invectivée. Il n’y a pas eu de coup mais j’ai vraiment eu peur". Elle a quand même ensuite été arrêtée plusieurs semaines à cause du traumatisme psychologique.

Non-reconnaissance de la réalité du quotidien:

Louise a pu déposer plainte, être accompagnée, mais c'est très rarement le cas.

"Quand un prof s’exprime et dépose plainte, il se retrouve face à un mur qui leur dit 'ce n’est pas forcément ce qu’il faut faire, peut-être qu’une main courante c’est mieux'. Les collègues en souffrance vivent ça comme la non-reconnaissance de la réalité qu’ils vivent au quotidien", explique Jean-Louis Linder, vice-président de l'Autonome de Solidarité Laïque, qui réalise ce baromètre.

Sur les 4.732 dossiers recensés par l'association, moins de 1% ont connu des suites judiciaires, ce qui n'incite pas les autres enseignants victimes à déposer plainte.

Louise déplore l'attitude de certains parents, qui soutiennent leurs enfants. Dans 48% des cas, les violences viennent des parents, et 17% des enfants, indique le rapport de l'Observatoire. Un cas signalé sur trois est de la diffamation, 30% sont des insultes et des menaces, et 7,5% des agressions physiques.

Trois axes à suivre:

Pour lutter contre ce "problème quotidien", Georges Fotinos, ancien inspecteur général de l’éducation nationale et spécialiste des questions de violences à l’école, estime qu’il faut "réconcilier les parents avec l’école, et les enseignants avec les parents".

Georges Fotinos avance trois axes à suivre: "établir une confiance réciproque entre les deux acteurs, introduire systématiquement le dossier école/parents dans tous les projets d‘école, et construire des actions avec les parents, où ils sont acteurs". De vraies actions, insiste-t-il, "pas une réunion annuelle".

Après une accalmie en 2020, ces violences sont reparties à la hausse. "Avec la crise, les relations se sont dégradées", a confirmé Georges Fotinos lundi matin sur RMC.

Source:RMC-BFM.
https://rmc.bfmtv.com/actualites/societ ... 30198.html

Réconcilier? Tu as une famille cassos qui vient violenter un enseignant pour passer ses nerfs et surtout parce que le "prof" c'est devenu de la merde, un paillasson sur lequel les parents et élèves doivent s'essuyer les pieds et en gardant le sourire!

Pire, les chefs d'établissement ont de plus en plus de consignes pour éviter de promulguer un renvoi définitif d'un élève ayant agressé un enseignant. Il y a donc des enseignants qui se retrouvent face a des élèves qui les ont agressés , insultés, ils doivent poursuivre leur cours et s'ils ne sont pas contents ils demandent une mutation!

De plus en plus l'école/collège/lycée deviennent des "gardes chiourmes", les enseignants sont payés pour supporter des classes entières qui ne veulent rien foutre.

Ca suffit! il faut surtout des sanctions sévères, peine en justice et aussi renvoi de l'élève en cas de violence des parents!

De plus l'enseignant devient de plus en plus un distributeur de notes, des parents n'hésitent plus à harceler pour obtenir de meilleurs notes car leur enfant veut pouvoir accéder a telle ou telle école, ils n'ont plus la notion qu'une note découle d'un contrôle de connaissances!

[Crapulax]

Les parents..Encore et toujours...Dans ces cas de violences bien précis il faut agir efficacement...Et bien souvent c'est le porte-monnaie qui est sensible.

Il ne faut pas non plus tomber dans l'assistanat de l'Etat...Il faut avant tout responsabiliser les parents et les impliquer dans l'éducation de leur enfant.Il ne faut pas que ce soit l'Institution qui la fasse à leur place.
L'EN est là pour enseigner et non pour élever les gosses.

[Jiimmy]

On a la société que l'on a bien voulu avoir, avec ses dérives en l'occurrence. Je me souviens d'un débat plutot récent concernant la "criminalisation" de la fessée. Le fait est que l'enfant possède une conscience/intelligence moins développée que l'adulte. Le respect de la règle du fait de l'amour de cette dernière ou de la prise en compte du fait que sans cette dernière on ne peut faire société, sont choses + rares chez lui. La plupart du temps, il se soumet à ce qui lui fait peur + qu'à ce qui lui inspire le respect.

Les professeurs étant parfaitement démunis et n'ayant aucun "impact" possible, autre que de simples menaces, sur les enfants, ces derniers savent pertinemment qu'il n'y a pas grand risque à défier l'autorité de ces enseignants. Ceci combiné au fait que les parents seront leurs premiers soutiens et que certains professeurs ne disposent pas des capacités (physiques) pour tenir une classe, on en arrive à la situation que l'on déplore après avoir si ardemment combattu pour qu'elle soit ainsi.

Je pense que si j'étais actuellement professeur, ma classe me respecterait, mais je pense que je serais probablement licencié rapidement du fait d'avoir osé mettre en place des méthodes contrevenant à la règle de l'enfant roi (et ce nonobstant le fait que le résultat, en terme de tenue de classe, soit là).

[Kelenner]

Ne sois pas si sûr de toi, c'est loin d'être aussi simpliste que cela, et l'autorité est bien autre chose qu'une histoire de crainte ou de menace.

Mais le fond du problème c'est effectivement l'absence, au final, de toute sanction dissuasive envers les élèves et de toute obligation envers les parents. J'en ai vu insulter des enseignants ou des personnels de l'école et continuer tranquillement à mettre les pieds dans l'établissement, après de vagues excuses. Dans ce contexte, ceux qui ne veulent pas respecter les règles ont toute latitude pour le faire, puisque en définitive, on leur passe tout.

[Jiimmy]

Ne sois pas si sûr de toi, c'est loin d'être aussi simpliste que cela, et l'autorité est bien autre chose qu'une histoire de crainte ou de menace.

Mais le fond du problème c'est effectivement l'absence, au final, de toute sanction dissuasive envers les élèves et de toute obligation envers les parents. J'en ai vu insulter des enseignants ou des personnels de l'école et continuer tranquillement à mettre les pieds dans l'établissement, après de vagues excuses. Dans ce contexte, ceux qui ne veulent pas respecter les règles ont toute latitude pour le faire, puisque en définitive, on leur passe tout.

J'en suis sur et ce d'autant + que je l'ai déjà fait durant un peu moins d'un an et que je compare avec d'autres sociétés (au-delà du fait qu'il s'agisse également d'une intuition) où le respect dont bénéficient les professeurs est en partie du à la crainte que les élèves peuvent éprouver ET du fait des prérogatives qui sont celles des professeurs (et qui sont + larges qu'en France) ET du fait des sanctions immédiates prises par les parents si tant est qu'ils apprenaient que leurs enfants avaient été punis à l'école (c'est différent de la France où les parents vont s'en prendre à ceux qui ont puni, tandis que là-bas l'élève prend une "correction" à l'école et une autre à la maison).

Je déteste la violence mais malheureusement pour les enfants, c'est la sanction ultime sans laquelle l'autorité finit irrémédiablement par se déliter. Ce qui ne signifie pas que sans violence on ne peut éduquer mais cela signifie plutot qu'il faut que l'enfant ait conscience qu'elle peut se mobiliser s'il franchit certaines limites (or, ce n'est plus le cas dans nos sociétés et comme c'est sans doute la seule chose dont il a vraiment peur, autant dire que sans elle les outils permettant de le cadrer ne sont plus réellement efficaces et je pense que l'on peut le constater au quotidien).

Cela dit, encore une fois, sans la collaboration des parents, il n'y aura rien d'efficace qui pourra etre fait.

[papibilou]

Je déteste la violence mais malheureusement pour les enfants, c'est la sanction ultime sans laquelle l'autorité finit irrémédiablement par se déliter. Ce qui ne signifie pas que sans violence on ne peut éduquer mais cela signifie plutot qu'il faut que l'enfant ait conscience qu'elle peut se mobiliser s'il franchit certaines limites (or, ce n'est plus le cas dans nos sociétés et comme c'est sans doute la seule chose dont il a vraiment peur, autant dire que sans elle les outils permettant de le cadrer ne sont plus réellement efficaces et je pense que l'on peut le constater au quotidien).

Cela dit, encore une fois, sans la collaboration des parents, il n'y aura rien d'efficace qui pourra etre fait.

Une fois n'est pas coutume, je suis d'accord. Je suis ravi de voir que vous détestez la violence. ......Mais qu'une fessée n'a jamais tué un enfant.

[sofasurfer]

Ne sois pas si sûr de toi, c'est loin d'être aussi simpliste que cela, et l'autorité est bien autre chose qu'une histoire de crainte ou de menace.

Mais le fond du problème c'est effectivement l'absence, au final, de toute sanction dissuasive envers les élèves et de toute obligation envers les parents. J'en ai vu insulter des enseignants ou des personnels de l'école et continuer tranquillement à mettre les pieds dans l'établissement, après de vagues excuses. Dans ce contexte, ceux qui ne veulent pas respecter les règles ont toute latitude pour le faire, puisque en définitive, on leur passe tout.

J'en suis sur et ce d'autant + que je l'ai déjà fait durant un peu moins d'un an et que je compare avec d'autres sociétés (au-delà du fait qu'il s'agisse également d'une intuition) où le respect dont bénéficient les professeurs est en partie du à la crainte que les élèves peuvent éprouver ET du fait des prérogatives qui sont celles des professeurs (et qui sont + larges qu'en France) ET du fait des sanctions immédiates prises par les parents si tant est qu'ils apprenaient que leurs enfants avaient été punis à l'école (c'est différent de la France où les parents vont s'en prendre à ceux qui ont puni, tandis que là-bas l'élève prend une "correction" à l'école et une autre à la maison).

Je déteste la violence mais malheureusement pour les enfants, c'est la sanction ultime sans laquelle l'autorité finit irrémédiablement par se déliter. Ce qui ne signifie pas que sans violence on ne peut éduquer mais cela signifie plutot qu'il faut que l'enfant ait conscience qu'elle peut se mobiliser s'il franchit certaines limites (or, ce n'est plus le cas dans nos sociétés et comme c'est sans doute la seule chose dont il a vraiment peur, autant dire que sans elle les outils permettant de le cadrer ne sont plus réellement efficaces et je pense que l'on peut le constater au quotidien).

Cela dit, encore une fois, sans la collaboration des parents, il n'y aura rien d'efficace qui pourra etre fait.

Je suis assez d'accord. En Afrique de l'Ouest, en tous les cas dans les petites villes et village, on entend les mouches voler alors qu'ils sont 60,80 , parfois 100 dans la classe. Si un élève a le malheur de répondre à l'enseignant, c'est la regle sur les doigts qui l'attend. Personne n'en est mort, et au moins ceux qui veulent suivre le peuvent sans parasitage. Le maitre, l'enseignant est dieu sur terre, il n'y a aucun motif de contester son autorité.

Mais même en Afrique de l'Ouest ca se perd, les parents protestent, les profs commencent a avoir peur. ca m'attriste profondément.

Peut etre faut il un peu plus de souplesse , mais le statut de l'enseignant qui n'est pas l'égal de élèves, qui est au dessus, intouchable, c'est la meilleure facon d'enseigner les valeurs de respect des anciens et de celui qui sait...

[mic43121]

Moi j'ai connu la règle sur les doigts ...
Mais je n'ai JAMAIS répondu a l'instit ...
Mon père m'en aurait collé une ...
Mais c'était ....il y a longtemps ..

[Kelenner]

Et donc, le jour où tu tombes sur un ado plus fort que toi physiquement, c'est lui qui a le dernier mot ? Non, ce n'est pas comme cela que l'autorité fonctionne. Ce qu'il est primordial de faire comprendre à certains enfants, mais malheureusement aussi à certains parents, c'est qu'il y a une hiérarchie entre un adulte et un gamin, qu'ils ne sont pas sur un pied d'égalité. Evidemment, il faut des sanctions dissuasives, mais par expérience je sais que ce ne sont certainement pas les parents violents qui tiennent le mieux leurs enfants, bien au contraire. Ce qui ne signifie pas qu'on ne peut pas dans certaines circonstances lever la main sur eux, mais en faire la base d'une éducation c'est la garantie de se planter. En tout état de cause, c'est souvent l'argument ultime des parents d'élèves dépassés ("vous n'avez qu'à le taper"), mais qui savent pertinemment que l'enseignant n'a fort heureusement aps ce droit, et qui ne font rien pour fixer un cadre à leurs gamins.

Ce qui manque, je pense, c'est un cadre clair, pourquoi pas même au niveau du ministère, pour fixer des procédures systématiques en fonction de la gravité des faits. Un cadre contraignant, connu des élèves comme des parents, qui soit mis en oeuvre à chaque incident, quoi que ça coûte comme énergie, et qui retire toute possibilité de contestation personnelle : l'enfant et/ou le parent a commis telle faute ou telle infraction, les conséquences sont celles-ci, point. Aucun besoin de violence physique là-dedans, il faudrait juste une hiérarchie de l'EN qui fasse son boulot et défende son personnel, ce qui n'est pas le cas à l-heure actuelle -le cas Paty est le plus emblématique, mais à des échelles moins dramatiques ce sont des situations quotidiennes et tristement banales, que tout enseignant a vécu. C'est à cela qu'il faut mettre un terme.

[da capo]

Jimmy a écrit:


Je déteste la violence mais malheureusement pour les enfants, c'est la sanction ultime sans laquelle l'autorité finit irrémédiablement par se déliter.

Non, de nos jours, l'usage de la violence n'est plus une limite acceptable. Les enfants battus deviennent plus enclins à la violence que les autres.

Cela dit, encore une fois, sans la collaboration des parents, il n'y aura rien d'efficace qui pourra etre fait.

Tout à fait et je regrette que l'idée de la menace sur le montant des prestations sociales ait été abandonnée, car il me semble qu'elle règlerait une bonne part des problèmes de désobéissance.