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Par qui ?
Par plein d'instances nationales et internationales destinées à éviter que n'importe puisse faire n'importe quoi avec la santé des gens, mais ça ne répond à ma question ...
Des controleurs on y trouve des blancs , des noirs , des femmes , des hommes , des de gauche , des de droite , des LGBT , des Zecolos , des zoophiles , des syndiqués , des pas syndiques etc............bon apres ya ptete aussi illuminatis & complotistes Bio , mais c'est pas la majorité
t'es complètement marteau mon pauvreUBUROI a écrit : ↑31 juillet 2020 07:52Les Complotistes, les Qanons ont droit de citer ici?!
J'espère bien qu'on va rendre la vaccination obligatoire contre le covid...et qu'on pénalisera les réfractaires complotistes!
Ou alors, qu'ils portent une longue tunique faite en lin, en cuir ou en toile cirée descendant jusqu'aux chevilles et enserrant la tête dans une cagoule, d'un masque en forme de bec ressemblant à un oiseau, de gants, bottes et jambières, d'un chapeau noir à large bord et d'une longue cape noire.
je vois bien lotus affublé de ce costard.
Un virus connu mais insaisissable
Qu’il s’agisse par exemple de SARS-coV-2 ou de ses cousins, les coronavirus ont la bougeotte. Arrivés par les voies respiratoires, ils migrent dans les cas graves vers les poumons, où leur multiplication est à l’origine de redoutables pneumopathies. Mais ce n’est pas tout: des études ont relevé dans certains cas que le virus avait colonisé le cœur, ou le cerveau, occasionnant d’autres symptômes.
La question de savoir quelle type d’immunité est la plus efficace est alors centrale. Faut-il protéger les organes vitaux? Cela nécessitera alors une formule vaccinale susceptible de faire réagir les lymphocytes T dans les poumons contre l’infection du Covid-19.
Faut-il plutôt chercher une réponse locale de la muqueuse respiratoire, pour empêcher le virus de s’étendre? Il faut alors viser l’immunité cellulaire avec une autre combinaison. C’est seulement depuis quelques semaines que l’on commence à avoir des données plus précises sur l’angle d’attaque à adopter face à ce virus aux armes multiples.
De la même façon, les coronavirus induisent une réaction particulièrement désagréable pour les épidémiologistes. Alors que les anticorps sont créés par notre organisme pour le soigner, de nombreuses études ont noté chez les patients l’arrivée d’anticorps dits “facilitants”. Ces derniers, créés après une première infection, ont la fâcheuse habitude d’ouvrir les portes des cellules au virus, alors même qu’ils sont censés les défendre.
Ce mécanisme, que l’on a déjà vu à l’oeuvre avec les malades de la dengue, est un casse-tête dans la mise au point d’un vaccin.
Seule l’expérience sur le long terme peut permettre de définir correctement un antigène qui ne mette pas encore plus en danger le patient en cas de nouvelle épidémie. “On sait qu’il y a une réponse facilitatrice avec le SRAS et le MERS”, explique Morgane Bomsel. Pour Sars-cov-2, “il faudra peut-être passer par une autre voie d’immunisation” si les tests confirment les anticorps facilitants.
Des études prometteuses, mais pas de recul
Enfin, c’est la nature du vaccin lui-même qui pourrait constituer un obstacle supplémentaire à cette solution. L’un des candidats les plus prometteurs est en effet un vaccin à ARN messager, un tout nouveau type d’injection. À la différence du vaccin prophylactique, il s’agit d’envoyer une séquence d’ARN qui “dicte” à nos cellules de construire des antigènes, qui à leur tour stimulent la réponse immunitaire de notre corps.
Cette solution moderne est extrêmement enthousiasmante, plus encore que les vaccins à ADN. Mais il y a un problème: jusqu’ici, il n’existe aucun vaccin à ARN messager sur le marché, aucun d’entre eux n’ayant montré une efficacité suffisante. Si ce dernier s’avérait le meilleur candidat au terme de la phase III de tests, c’est toute une chaîne de production qui resterait à inventer et à faire sortir de terre.
Le vaccin ARN emploie des composants très différents de son prédécesseur. Il faudra être capable de produire industriellement un produit considéré dans la revue Nature comme la “crème de la crème” de la biotechnologie.“C’est une approche nouvelle, dont on n’a pour le moment aucune preuve qu’elle marche”, tempère Morgane Bomsel. Comme avec les autres étapes sur la route du vaccin, “on manque de recul”, lâche-t-elle.
Tous ces obstacles dressés encore sur la route d’un traitement efficace contre les coronavirus, et aujourd’hui encore sars-cov-2, peuvent donc se résumer grossièrement à deux facteurs: le temps et l’investissement. Les précédents syndromes respiratoires aigus ont été combattus avec succès avant qu’un vaccin n’ait été trouvé, et les recherches ont été interrompues.
1) j'ai répondu dans le post précédent , alors je ne vais pas m'étaler inutilement d'autant plus que ce n'est pas le sujet ; globalement, si la mortalité du virus était de 50% , votre discours aurait un peu plus de sens et encore ... il ne s'agit pas d'affirmer avec la foi d'un pro-vaccin convaincuMesoke a écrit : ↑31 juillet 2020 09:10
Alors :
- Les vaccins c'est BIEN. Ca permet de sauver des milliers de vies chaque année. Mais forcément ça ne se voit pas, vu que les personnes qui auraient été mortes, ou juste très malades, n'ont du coup juste ... rien. Les vaccins ne causent pas l'autisme. Et un occidental ingère largement plus d'aluminium au cours de sa vie que les quelques fractions qui sont présentes dans les vaccins. Aluminium qui est très largement naturellement éliminé par l'organisme. Et non, les vaccins ne contiennent pas des nano-puces qui vont contrôler les gens via le réseau 5G.
- un vaccin à ARN ne modifie pas le matériel génétique des individus. L'ARN c'est en très gros un bout d'ADN, soit un code génétique. C'est ce qui est utilisé, "décodé" par les cellules pour produire des protéines. Un tel vaccin envoie juste de l'ARN qui sera utilisé par les cellules pour produire une protéine qui a les mêmes propriétés qu'un antigène du virus à combattre (antigène = en gros signature chimique d'un agent pathogène, qui est reconnue par le système immunitaire et déclenche une réaction immunitaire), et qui du coup entraine le système immunitaire à réagir vite en cas d'infection. Il n'y a aujourd'hui aucun vaccin à ARN pour les humains, et ils ont potentiellement des effets secondaires, mais à priori pas sur le long terme vu les doses et le traitement facile par l'organisme. C'est une technique qui progresse très vite depuis plusieurs années, c'est pourquoi il y a de vrais essais sur le sujet. Ca n'est pas une méthode qu'on vient de découvrir par hasard et qu'on va tester à l'arrache sur des gens.
- Encore une fois l'IHU soigne des gens, mais PERSONNE NE SAIT si ça les guérit ou pas, faute de vraie étude scientifique objective.
- Oui beaucoup d'épidémies s'arrêtent d'elles-mêmes. Mais pas toutes. Donc oui la pandémie actuelle peut s'arrêter toute seule. Mais pas forcément, et pas forcément à court terme. Le truc c'est qu'on n'en sait rien, vu que c'est une nouvelle maladie. Donc c'est plutôt malin de chercher une solution artificielle de freiner cette maladie, au cas où elle voudrait encore sévir longtemps non ?
en effet, 1ère fois que tu le lis, mais très loin d'être la 1ère fois que je l'écris ; fais une recherche masque+lotus95 , tu auras bien 6-7 pagescoincetabulle a écrit : ↑31 juillet 2020 12:19première fois que tu fais le distinguo entre le port du masque en intérieur et en extérieur ( ou alors ça m'a échappé). tu devrais sans doute être un peu plus explicite. moi en revanche, j'ai plusieurs fois précisé que le masque était utile et nécessaire dans des environnements clos et partout ou la distanciation sociale est impossible.
à contrario, les arguments fallacieux pour sous entendre que le masque ne sert à rien puisqu’il y a d'autres manières d'être contaminé ça j'en ai lu plusieurs.
Les autorités sanitaires ne sont pas "précises" car elles oublient que les gens tombent dans les pommes car les responsables des entreprises obligent certains salariés à le porter et les virus s'accumulent à l'intérieur du corps vu que l'on ravale tout l'air vicié à chaque inspirations.coincetabulle a écrit : ↑31 juillet 2020 12:19tu devrais sans doute être un peu plus explicite. moi en revanche, j'ai plusieurs fois précisé que le masque était utile et nécessaire dans des environnements clos et partout ou la distanciation sociale est impossible.
savez vous que dans certaines professions depuis toujours on porte le masqueAnaïs a écrit : ↑01 août 2020 08:54Les autorités sanitaires ne sont pas "précises" car elles oublient que les gens tombent dans les pommes car les responsables des entreprises obligent certains salariés à le porter et les virus s'accumulent à l'intérieur du corps vu que l'on ravale tout l'air vicié à chaque inspirations.coincetabulle a écrit : ↑31 juillet 2020 12:19tu devrais sans doute être un peu plus explicite. moi en revanche, j'ai plusieurs fois précisé que le masque était utile et nécessaire dans des environnements clos et partout ou la distanciation sociale est impossible.
Alors que s'ils elles étaient précisent, elles feraient le travail d'information de nous rappeler que nous avons une système immunitaire qui ne demande qu'à fonctionner pourvu que l'on comprenne pourquoi certaines personnes tombent malades.
Je pose la question ; pourquoi le test consiste absolument à entrer une tige dans le nez jusqu'à la dernière limite de la barrière qui protège le cerveau alors que l'on peut facilement trouver des virus dans la salive (pourquoi vouloir absolument tester de cette manière alors que l'on peut trouver les virus directement dans les postillons puisqu'on est en effet sensé justement porter un masque pour être protégé des virus se trouvant dans les postillons ?
tu noteras si tu remontes le fil là :coincetabulle a écrit : ↑01 août 2020 01:05et donc ?
une fois que tu as dit que le masque réduisait les risques mais ne les éliminait pas qu'est ce qu'il reste à dire ? rien sinon que le mieux que l'on puisse faire c'est de porter un masque.
à moins que tu ne demandes le confinement total, la suppression des clim y compris dans les tours sans fenêtre, dans les hôpitaux etc etc ...
je ne comprend pas ton angle d'attaque systématique pour dire que la contamination est possible même avec le masque. on le sait, on le dit tous depuis le début. il se trouve que c'est la meilleurs (et même la seule) option à titre individuel et tu ne cesses de rappeler ses imperfections. quel intérêt ?
je vais dire des chiffres un peu au pifomètre mais selon toute logique, un masque, devrait filtrer dans les 80 % d'agents pathogènes. les 20 % restants nécessitant un environnement clos et une durée d'exposition étendue. alors franchement je ne comprend pas ce parti pris.
on a aucun désaccord sur le fait que l'utilisation en extérieur de façon systématique est une absurdité, mais ce n'est pas le sujet. le sujet c'est le masque dans les lieux clos. et sur cette question, il n'y a pas débat, le masque est nécessaire. point. inutile de rajouter un mais je ne sais pas quoi ....
Je pose la question ; pourquoi le test consiste absolument à entrer une tige dans le nez jusqu'à la dernière limite de la barrière qui protège le cerveau alors que l'on peut facilement trouver des virus dans la salive (pourquoi vouloir absolument tester de cette manière alors que l'on peut trouver les virus directement dans les postillons puisqu'on est en effet sensé justement porter un masque pour être protégé des virus se trouvant dans les postillons ?
Ta réflexion s'arrête seulement là ?coincetabulle a écrit : ↑01 août 2020 01:05
une fois que tu as dit que le masque réduisait les risques mais ne les éliminait pas qu'est ce qu'il reste à dire ? rien sinon que le mieux que l'on puisse faire c'est de porter un masque.
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/ar ... 55770.htmlCoronavirus : pourquoi les tests PCR nécessitent d’aller au fond du nez
Des internautes s’étonnent qu’il faille chercher le virus si loin, si un simple postillon est contagieux. En réalité, le virus est peu présent dans la salive.
L’image suscite volontiers l’appréhension : pour diagnostiquer une infection au Covid-19, la procédure nécessite d’aller recueillir avec des écouvillons des cellules au fond des muqueuses de l’arbre respiratoire, en « transnasal ».
Depuis début juillet, une image de ce type de test circule sur les réseaux sociaux, assortie d’une légende pleine de suspicion : « Je me demande pourquoi ils t’enfoncent un Q-Tip dans le nez jusqu’à l’arrière de la tête pour recueillir un échantillon de Covid-19, quand ils prétendent qu’une simple goutte de salive a le potentiel d’infecter un village entier ? »
La question, troublante au premier abord, témoigne d’une mécompréhension du fonctionnement du virus et de sa transmission : celui-ci loge en premier lieu dans les voies respiratoires, et ne se transmet pas prioritairement par la salive.
Lire aussi Coronavirus : qu’est-ce que le test virologique, qui peut être testé, que faire s’il est positif ?
Un procédé établi en 2009
La méthode du test en transnasal n’a rien de nouveau. La vidéo dont est tirée l’image a été mise en ligne en 2009 par la très sérieuse revue scientifique The New England Journal of Medicine. La technique est préconisée depuis l’apparition de la grippe H1N1 pour le diagnostic des maladies à virus respiratoire, comme le Covid-19.
Pourquoi des tests en transnasal ? Ceux-ci apportent deux bénéfices.
Des diagnostics plus fiables
Le premier tient dans leur fiabilité plus élevée. « C’est ce qu’il y a de mieux », explique Laurent Andreoletti, professeur de virologie à la faculté de médecine de Reims, et responsable d’une unité de diagnostic Covid-19. « Même si on peut trouver le virus dans la salive et la gorge, il est davantage présent dans les cellules ciliées de l’arbre respiratoire. Cela limite le pourcentage de faux négatifs », c’est-à-dire de personnes porteuses du virus que l’on échoue à diagnostiquer. Concrètement, ajoute le chercheur, la fiabilité d’un test en transnasal bien réalisé est de l’ordre de 80 à 90 %, contre 60 à 70 % pour un test salivaire.
Une détection plus précoce dans le cycle de la maladie
L’autre avantage est stratégique. Le SARS-CoV-2 étant en premier lieu un virus respiratoire, c’est dans les voies respiratoires qu’il se loge. Et c’est donc là que l’on peut le détecter en premier, avant qu’il ne se développe dans d’autres parties du corps.
« On ne sait pas exactement quand il arrive dans la salive ; alors qu’on sait que l’on va le trouver dans les muqueuses, qui sont le lieu d’infection primaire », détaille Bernard Binetruy, directeur de recherche Inserm, chargé de communication scientifique en charge des tests PCR.
« Si on ne faisait que des tests salivaires, on passerait à côté de gens qui ont le virus et sont en début d’infection mais ne seraient pas encore détectables. »
L’air exhalé, principal vecteur de transmission
De ce point de vue, l’image qui circule sur les réseaux sociaux est trompeuse. « Une simple goutte de salive n’infecte pas un village entier, c’est complètement faux », écarte Laurent Andreoletti. Et de corriger :
« La salive n’est pas un bon milieu de transport pour le virus, qui préfère les cellules de l’arbre respiratoire. La transmission se fait principalement par la vapeur d’eau présente dans la respiration. »
C’est la raison pour laquelle il est recommandé de porter le masque non seulement devant sa bouche mais également devant son nez. Certaines personnes développent davantage le virus dans leurs voies respiratoires, et en exhalent donc davantage, expliquant les cas de supercontamination, ajoute Laurent Andreoletti.
En début de mois, plus de 250 scientifiques ont par ailleurs adressé à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) une lettre affirmant que le virus se transmet par les voies aériennes. L’agence onusienne a admis le 7 juillet que « la transmission aérienne du virus ne peut pas être exclue ».
Un autre test, sérologique, lui, recherche dans le sang la présence d’anticorps. Il nécessite une simple prise de sang, et permet d’évaluer si une personne a été porteuse du virus, mais pas de dépister une contamination récente.
coincetabulle a écrit : ↑01 août 2020 17:04Pourquoi il ne serait pas présent dans la salive mais dans le fond du nez ? On n'est pas fait de pièces détachées comme une automobile !Coronavirus : pourquoi les tests PCR nécessitent d’aller au fond du nez
Des internautes s’étonnent qu’il faille chercher le virus si loin, si un simple postillon est contagieux. En réalité, le virus est peu présent dans la salive.
Et de plus si le virus n'est pas dans la salive alors pourquoi le masque ?
Il n'y a pas de limite quand on veut avoir raison et justifier ce qui ne l'est pas. Des dizaines de scientifiques maintenant dans le monde entier apportent de l'information à ce sujet. Pourquoi choisir quelques lignes plutôt que les milliers d'interventions de scientifiques qui se plaignent de ne pas être écoutés.
Tout ça commence à énerver les gens qui ne comprennent plus très bien ce qu'il se passe... Tout est complètement incohérent.. ça commence à faire beaucoup.. Les gens se posent de plus en plus de questions sur les raisons réelles du confinement, de la fermeture des petits magasins et des masques obligatoires justement alors que le risque est minime alors qu'au début de l'épidémie on nous disait que ce n'était pas nécessaire d'en porter..le risque de faire chuter les petites entreprises, les petits commerces et l'artisanat. Et pourquoi fermer les petits magasins tout en laissant les gens entrer en nombre dans les grands magasins. Tout cela énerve tout le monde, au moins ça permet aux gens de se poser des questions.. et les gens sont de plus en plus perturbés par les réponses qu'ils n'imaginaient pas. Ca s'appelle l'évolution des consciences
Donc autrement dit pour attraper la maladie, il faut un postillon fiable !coincetabulle a écrit : ↑01 août 2020 18:02pfffff
pour détecter la présence d'un virus dans l'organisme, il faut prélever un échantillon qui soit le plus fiable possible.