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Le système de dépistage était donc le même du printemps à la fin de l'été, les données collectées étaient donc du même ordre et comparables. Or sur le données de cette époque on constate bien qu'il y avait quelques centaines de nouveaux cas chaque jour en France, donc une épidémie qui ne s'est pas arrêtée. Et ce avec, comme tu le dis, des chiffres largement sous-évalués faute de dépistage massif. La courbe du nombre de décès est du même ordre : une stabilisation à un niveau assez bas à partir de mai MAIS PAS un arrêt total, puis une augmentation courant de l'été, preuve que le virus circulait encore et que l'épidémie ne s'était pas arrêtée. L'épidémie a sans doute été moins létale grâce à des services hospitaliers moins engorgés.AAAgora a écrit : ↑18 juin 2021 11:29Pour dire cela il aurait fallu une politique de dépistage massif depuis le début de l'épidémie, chose qui n'était pas à l'ordre du jour.
Seuls la patients hospitalisés étaient testés.
C'est seulement à la fin de l'été que le gouvernement a décidé de mettre en place un dépistage de masse.
Par contre nous avons le nombre de décès quotidiens et là, entre fin mai et mi-septembre le nombre a été fortement réduit, ce qui veut dire que l'épidémie a été moins létale.
Et si l'épidémie revient en force, quelle sera votre interprétation ?
Comment veux-tu que j'interprète en avance un évènement hypothétique dont je ne connais pas la cause ? L'épidémie peut revenir en force à cause de gros clusters, à cause de vaccins inefficaces, à cause de nouveaux variants plus virulents, à cause d'une épidémie d'autre chose qui affaiblirait nos défenses immunitaires, à cause de pas de bol, etc. Et ça reste une hypothèse. Moi j'analyse des faits et j'essaye d'en tirer des conclusions. Je ne tire pas des conclusions qui m'arrangent puis je trifouille les faits pour qu'ils concordent. Donc en l'absence de faits ...