le débat du 3 mai 2017

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mic43121
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Re: le débat du 3 mai 2017

Message par mic43121 » 05 mai 2017 07:31

Dernier message de la page précédente :

Marya a écrit : Je ne voulais pas regarder ce débat, persuadé , que "les dés étaient pipés" ... J'ai écouté environ deux tiers ... Eh bien, je me dis que, décidément, j'avais raison ...
D'une part, un Macron INSOLENT, GROSSIER, MÉPRISANT du haut de sa cravate (l'homme "Bling-Bling" de La Redoute), interrompant SANS CESSE Marine Le Pen (assisté en cela par les "arbitres" journaleux gagnés à sa cause ...
De l'autre, une Marine Le Pen défendant son programme (c'est-à-dire dire défendant la France) en politique intérieure comme extérieure ... en dépit d'un Macron déséquilibré "entre deux chaises" et des "arbitres" journaleux s'efforçant EN VAIN de lui "couper le sifflet"
BRAVO Mme Le Pen et HONTE au "Club" mediatico-macroniste !!!

Tu as du te tromper de chaine …tu as regardé un match de boxe..
Ou alors tu étais bourrée?
Si ce n'est ni l'un ni l'autre….va voir un médecin, et fait contrôler tes oreilles et tes yeux..
C'est grave..
:inlove:
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Anne32
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Re: le débat du 3 mai 2017

Message par Anne32 » 05 mai 2017 07:43

scorpion3917 a écrit : MACRON est un technocrate froid. Sa grande faiblesse : il ne s adresse pas aux français. Il ne leur parle pas. Il est vide de l intérieur et sans conviction aucune . Un président doit être le père de la nation et un guide. MACRON n en a pas hélas la stature.

Entièrement d'accord
Sa jeunesse si elle séduit parce qu'il est nouveau et mignon, ne suffit pas pour faire un bon Président sans aucune expérience politique
C'est un technocrate et nous serons gouvernés par des technocrates, froids, calculateurs, sans lien aucun avec la population .
Je crains surtout son manque d'envergure à l'étranger, même si Obama se permet de s'immiscer dans un vote qui ne le concerne plus.
Poutine, et Merkel surtout, de vieux routiers de la politique, des ruses et des chausse-trappe, se lèchent les babines par avance.....
Une chose dont on ne parle pas n'a jamais existé - Oscar Wilde

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mic43121
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Re: le débat du 3 mai 2017

Message par mic43121 » 05 mai 2017 08:00

Sans m'adresser à Anne j' ai pensé à elle hier soir en zappant sur l'émission politique de la 2..
ils étaient là pour parler des programmes des deux candidats
Un invité intervenant Charles Beigbeder Parmis les autres…
Il n'a parlé que d'une chose fillon..que l'on empêché d'appliquer son programme..
je ne vois pas ce qu'il faisait dans ce débat…

:pascontent2:
Modifié en dernier par mic43121 le 05 mai 2017 08:33, modifié 1 fois.
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Re: le débat du 3 mai 2017

Message par Labrecche » 05 mai 2017 08:21

Même les plus misogynes n'auraient osé imaginer pire histoire de blonde que ce que Mme Lepen a offert au débat
"les animaux lâches vont en troupeau" Alfred de Musset

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Re: le débat du 3 mai 2017

Message par UBUROI » 05 mai 2017 08:45

scorpion3917 a écrit : MACRON est un technocrate froid. Sa grande faiblesse : il ne s adresse pas aux français. Il ne leur parle pas. Il est vide de l intérieur et sans conviction aucune . Un président doit être le père de la nation et un guide. MACRON n en a pas hélas la stature.
Un président doit être le père de la nation et un guide
macron serait froid, technocrate, sans conviction...

Le "petit père des peuples"... à la Staline!
Un "guide"... à la Duce ou à la Caudillo

Non, pas de dictateur, pitié!
Mais un Président élu, rassembleur au centre, qui tirera le bilan de cette campagne:

- la réalité et la gravité de la fracture socio-économique que Chirac et ses LR, qu' HOllande et son PS auraient dû réduire comme tout bon chirurgien dans un bloc opératoire opérationnel et moderne: mais les compétences, les décideurs pragmatiques non pollués par les mauvaises habitudes de la Vè (inertie des ministères, formatage des cadres dans les moules étriqués des "grandes écoles) ont manqué , écartés par le système des partis et les cercles de pouvoir parisiens et régionaux sclérosés, âpres aux gains pour leur clan, protectionnistes de leurs privilèges...).

Macron est de cette trempe des "pontes" en chirurgie, contrairement à Chirac et Hollande:
- travailleur, volontaire, dynamique, plus attentif qu'on le croit; cette dernière qualité je la tire de son cursus "littéraire" initial, avant les grandes écoles qu'il a fréquentées. La froideur on la voit chez les juristes, les scientifiques aussi.
La créativité se concentre chez les littéraires; d'ailleurs son programme en est empreint; pour preuve ces 3 axes courageux de réforme:

:amour88 assurance chômage qui ne sera plus une "assurance", car le salarié ne cotise plus
- droit au chômage étendu à tous (salariés, TI, démissionnaires)
- organisme nationalisé, fin du paritarisme, gestion financière optimisée

:amour88 réforme de la formation professionnelle et continue: rationalisation des collecteurs et des donneurs d'ordre
OBJECTIF: le moins possible de population active sans activité, le maximum en activité ou en formation!

:amour88 - refonte des 37 systèmes de base de retraite: qui a osé l'inscrire dans son programme? Ni la gauche, ni la droite dure ou molle!
Qui a osé donné un coup de pied dans ces 3 fourmilières productrices de gâchis humains et financiers?

Plus classique mais nécessaire:
- relance du pouvoir d'achat
NB: les seuls pénalisés seront les retraités qui, en couple, gagnent plus de 40 000€ ------------> Taxe d'habitation "plein pot" + hausse de la CSG +1.7%. J'en suis, j'essuie mes larmes qui ont quand même du mal à couler, et j'assume mon vote; optimisme toujours!
- flexi-sécurité et aides aux entreprises pour relancer la production et les embauches (baisse IS, baisse Chages patronales etc...)
- embauches favorisées dans les zones difficiles péri urbaines
- Plan de relance de 10 MRDS

etc... Originalité, pragmatisme, dynamisme et volontarisme clairement affichés; pas la colère feinte de la Marine

Certes plus d'humour hollandais, plus de gouaille chiraquienne, et de bling bling people à la Sarkosy
Faut savoir ce qu'on veut.
Modifié en dernier par UBUROI le 05 mai 2017 12:26, modifié 2 fois.

Cerisus
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Re: le débat du 3 mai 2017

Message par Cerisus » 05 mai 2017 08:47

UBUROI a écrit :
Stounk a écrit :
C’est « un soutien sans la moindre restriction ». Le mécène Pierre Bergé, copropriétaire du Monde, a annoncé ce lundi sur Twitter qu’il soutenait Emmanuel Macron « pour être le président qui nous conduira vers une social- démocratie ».
30 janvier 2017.
Un petit peu de lecture !
L’indépendance du « Monde », un privilège et une responsabilité

Un projet d’accord garantit l’indépendance à long terme de la rédaction. L’éditorial de Jérôme Fenoglio, directeur du « Monde ».

LE MONDE | 27.01.2017
Le groupe Le Monde vient d’ouvrir un nouveau chapitre de l’histoire de son indépendance éditoriale. Les droits protégeant ses rédactions, adossés depuis des années à une minorité de blocage, ne dépendront plus désormais de la part du capital détenue par le Pôle d’indépendance (regroupant sociétés de journalistes, de personnels, de lecteurs et de fondateurs). Selon le projet d’accord avec les actionnaires majoritaires (Pierre Bergé, Xavier Niel et Matthieu Pigasse) voté par le Pôle le 12 janvier, ces protections seront désormais inscrites dans les statuts même de notre entreprise. Inaliénables, accrus sur certains points, ces droits ne seront plus limités dans le temps.


Ce mouvement renforce la place singulière qu’occupe Le Monde dans l’histoire de la presse française, et dans le paysage actuel des médias. La déconnexion des droits politiques et moraux des journalistes de l’évolution du capital clarifie la répartition des pouvoirs entre les deux parties. Garants de la bonne gestion du groupe, les actionnaires majoritaires, rassemblés dans la structure Le Monde libre, lui apportent, depuis 2010, les moyens de son développement. Loin des logiques de prédation ou de démantèlement que l’on a pu voir à l’œuvre dans d’autres médias, les différents titres du groupe ont pu accomplir leur révolution numérique. A rebours de la tentation de l’information low cost et des saignées dans les effectifs, la rédaction du Monde n’a perdu ni son âme ni sa substance. Elle s’est étoffée pour investir de nouveaux champs de l’actualité, pour explorer de nouvelles manières de s’adresser à ses lecteurs, en restant fidèle à son histoire, à son identité et à sa tradition d’excellence. L’information n’y a jamais été considérée comme un produit ou une simple source de profit.

Les journalistes conservent la pleine maîtrise de leurs écrits et de leur image, cette indépendance, dont le directeur est le garant, incluant notamment le recrutement des nouveaux membres de la rédaction. Depuis 2010, cette séparation entre capital et rédaction n’a souffert aucune exception. De fait, très peu de médias, dans le monde, disposent d’une liberté aussi complète que la nôtre. Très peu de journalistes sont défendus par une tradition et des mécanismes de protection aussi fermes que les nôtres. Très peu de journaux et de sites ont produit, ces dernières années, autant d’enquêtes et d’informations inédites bousculant pouvoirs politiques et économiques, en France et à l’étranger.
Les événements des derniers mois l’ont démontré à l’envi : cette tradition d’un journalisme de grande qualité n’a jamais été aussi nécessaire.

Dans le paysage de l’information mondiale, cette situation représente à la fois un privilège et une responsabilité. Le plus grand danger serait de la considérer comme définitivement acquise. En matière d’indépendance de la presse, notion éminemment instable, il n’existe pas de risque zéro. Aucune structure économique, aucun système de protection, aucune charte ne peut garantir une résistance totale à toute forme d’intervention, de jeu d’influence, de pression, si les principes ne sont pas soutenus par une vertu, individuelle et collective : le courage.

Collectivement, les rédactions ressemblent à des corps vivants, dotés d’une mémoire et de réflexes communs. En perdant le contrôle économique de son entreprise, à la fin des années 2000, la rédaction du Monde n’a renoncé ni à cette culture d’indépendance, forgée par soixante-dix années d’une histoire mouvementée, ni à cette capacité de se mobiliser pour défendre ses prérogatives. Elle a manifesté, depuis, l’une et l’autre à de multiples reprises. S’il est entretenu, avec le soutien vigilant de nos lecteurs, cet héritage peut s’inscrire encore longtemps, au Monde, dans le prolongement moral et intellectuel de l’idéal d’une information sans entraves, formé, au lendemain de la guerre, par son fondateur, Hubert Beuve-Méry.

Les événements des derniers mois l’ont démontré à l’envi : cette tradition d’un journalisme de grande qualité n’a jamais été aussi nécessaire. Aux peurs, aux rumeurs, aux mensonges, à la propagande, à la raison d’Etat, au « storytelling », elle oppose une pratique professionnelle, un savoir-faire indispensable pour permettre au public d’accéder rapidement à des informations impartiales, fiables, approfondies et mises en perspective.

A ce corpus de règles, Le Monde a ajouté une charte de déontologie, discutée régulièrement au sein d’un comité d’éthique. Nombre d’usages anciens, comme la tenue régulière de comités de rédaction, organisés par sa Société des rédacteurs, ont retrouvé une nouvelle vigueur.

L’investigation, une priorité

De la même manière, des pratiques journalistiques essentielles à notre époque ont été relancées. L’investigation est une priorité, qui nous a permis de révéler nombre d’affaires et de scandales, avec comme point d’orgue les publications des SwissLeaks ou des Panama Papers dans le cadre d’une collaboration avec des médias du monde entier. Cette capacité d’enquête, qui se diffuse dans toute la rédaction, sera encore renforcée, dans les mois qui viennent, dans le domaine économique. Sans cette volonté de dévoiler petits et grands dévoiements de nos sociétés, le journalisme manque à l’une de ses contributions majeures au bon fonctionnement de la démocratie.

L’indépendance, c’est aussi, dans une époque et une société clivées, où l’on ne s’exprime plus que d’un seul point de vue ou d’un seul camp, l’ambition de demeurer le lieu du débat, en nous gardant de l’esprit de système et de toute connivence. En cette année électorale, c’est encore de maintenir nos distances avec candidats ou partis, sans pour autant renoncer à nos valeurs. Ou enfin d’opposer à l’énervement généralisé, à l’extension du culte du moi, au spectacle de la violence, au relâchement de l’expression, le calme et l’humilité d’une démarche qui s’efforce de saisir la complexité des choses, d’expliquer sans caricaturer, de reconnaître ses erreurs.


Fort de ces principes, notre groupe s’est placé en première ligne dans les batailles qui se sont ouvertes : celle des faits contre les manipulations, celle de la raison contre les délires fanatiques, celle du débat démocratique contre le choc stérile des opinions. Dans ces combats, le journalisme fait souvent figure de premier ennemi à abattre, pour lui substituer une société verrouillée, sans contradiction ni contre-pouvoir. Face à ces attaques, de plus en plus virulentes, nous ne nous déroberons pas. Nous maintiendrons, avec fierté, mais sans arrogance, notre ambition de constituer un point de repère dans un monde déboussolé, confortée chaque jour par le plus précieux des soutiens : la confiance de nos lecteurs.
Un modèle économique équilibré

L’indépendance éditoriale du Monde repose sur un modèle économique équilibré fondé sur plusieurs canaux de ressources, ce qui permet de n’être dépendant d’aucun d’entre eux. Il y a d’abord nos lecteurs, qu’ils soient acheteurs du journal papier au numéro ou abonnés à nos éditions papier ou numérique. Il y a ensuite la publicité, dans le quotidien et notre magazine, et sur le numérique. Depuis quelques années, ces recettes sont complétées par l’essor de nos activités hors média (partenariats, conférences en France et à l’étranger, Le Monde festival).

Le Monde, comme les autres médias français, s’appuie également sur une série d’aides de l’Etat, certaines très anciennes puisqu’elles remontent à la création du journal, dans l’immédiat après-guerre. Ces aides n’entravent en rien notre indépendance éditoriale : elles ont été conçues pour qu’un secteur d’activité très fragile, et indispensable au fonctionnement de nos démocraties, puisse fonctionner sans être trop fortement soumis à un certain nombre d’aléas économiques.

Ces aides peuvent être indirectes : il s’agit pour l’essentiel de tarifs postaux dérogatoires et d’un certain nombre d’exonérations fiscales, dont le taux de TVA réduit à 2,1 %. Elles peuvent être également directes sous la forme d’une aide à l’export, au portage ou au financement de projets de développement, essentiellement numériques. Pour Le Monde, en 2016, le montant de ces aides publiques directes était de 2,6 millions d’euros.

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/ ... dx4yDC2.99

Et la ligne éditoriale est tenue par qui ? Qui embauche, débauche ?

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Re: le débat du 3 mai 2017

Message par UBUROI » 05 mai 2017 09:13

Cerisus a écrit :
UBUROI a écrit :

Un petit peu de lecture !

Et la ligne éditoriale est tenue par qui ? Qui embauche, débauche ?
3 heures de colle avec l'obligation de copier 10 fois ce que le monsieur s'est emmerdé à chercher et coller, car la réponse à ta question est dedans!
On va t'aider un peu
Les journalistes conservent la pleine maîtrise de leurs écrits et de leur image, cette indépendance, dont le directeur est le garant, incluant notamment le recrutement des nouveaux membres de la rédaction.

Note à benêt ou nota bene? Ne pas confondre ACTIONNAIRES et DIRECTION

Organigramme du Monde 2016

Organigramme actuel

Organigramme au 1er juillet 2016

Président du directoire, directeur de la publication : Louis Dreyfus
Directeur du Monde, membre du directoire : Jérôme Fenoglio
Directeur délégué : Gilles Van Kote
Directeur des rédactions : Luc Bronner
Directrice déléguée à l’organisation des rédactions : Françoise Tovo
Directeurs adjoints des rédactions : Cécile Prieur, Benoît Hopquin, Virginie Malingre
Directeurs éditoriaux : Gérard Courtois, Alain Frachon, Sylvie Kauffmann, Arnaud Leparmentier
Direction de l'innovation éditoriale : Nabil Wakim

Rédactrice en chef de M Le magazine du Monde : Marie-Pierre Lannelongue
Rédacteurs en chef responsables de la rédaction numérique : Vincent Fagot, Philippe Le Coeur
Rédacteur en chef chargé de l'innovation : Michaël Szadkowski
Rédacteurs en chef adjoints de la rédaction numérique : Mathilde Gérard, Jonathan Parienté, Delphine Roucaute
Rédacteurs en chef et chefs de services : Christophe Ayad (International), Caroline Monnot et Nicolas Chapuis (France), Cédric Pietralunga (Économie), Auréliano Tonet (Culture)
Chef d’édition : Sabine Ledoux
Directeur artistique : Aris Papathéodorou
Photographie : Nicolas Jimenez
Infographie : Delphine Papin
Médiateur : Franck Nouchi
Secrétaire générale du groupe : Catherine Joly
Secrétaire générale de la rédaction : Christine Laget
Conseil de surveillance : Pierre Bergé, président.

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Re: le débat du 3 mai 2017

Message par Cerisus » 05 mai 2017 18:51

UBUROI a écrit :
Cerisus a écrit :

Et la ligne éditoriale est tenue par qui ? Qui embauche, débauche ?
3 heures de colle avec l'obligation de copier 10 fois ce que le monsieur s'est emmerdé à chercher et coller, car la réponse à ta question est dedans!
On va t'aider un peu
Les journalistes conservent la pleine maîtrise de leurs écrits et de leur image, cette indépendance, dont le directeur est le garant, incluant notamment le recrutement des nouveaux membres de la rédaction.

Note à benêt ou nota bene? Ne pas confondre ACTIONNAIRES et DIRECTION

Organigramme du Monde 2016

Organigramme actuel

Organigramme au 1er juillet 2016

Président du directoire, directeur de la publication : Louis Dreyfus
Directeur du Monde, membre du directoire : Jérôme Fenoglio
Directeur délégué : Gilles Van Kote
Directeur des rédactions : Luc Bronner
Directrice déléguée à l’organisation des rédactions : Françoise Tovo
Directeurs adjoints des rédactions : Cécile Prieur, Benoît Hopquin, Virginie Malingre
Directeurs éditoriaux : Gérard Courtois, Alain Frachon, Sylvie Kauffmann, Arnaud Leparmentier
Direction de l'innovation éditoriale : Nabil Wakim

Rédactrice en chef de M Le magazine du Monde : Marie-Pierre Lannelongue
Rédacteurs en chef responsables de la rédaction numérique : Vincent Fagot, Philippe Le Coeur
Rédacteur en chef chargé de l'innovation : Michaël Szadkowski
Rédacteurs en chef adjoints de la rédaction numérique : Mathilde Gérard, Jonathan Parienté, Delphine Roucaute
Rédacteurs en chef et chefs de services : Christophe Ayad (International), Caroline Monnot et Nicolas Chapuis (France), Cédric Pietralunga (Économie), Auréliano Tonet (Culture)
Chef d’édition : Sabine Ledoux
Directeur artistique : Aris Papathéodorou
Photographie : Nicolas Jimenez
Infographie : Delphine Papin
Médiateur : Franck Nouchi
Secrétaire générale du groupe : Catherine Joly
Secrétaire générale de la rédaction : Christine Laget
Conseil de surveillance : Pierre Bergé, président.
Qui vous a permis de me tutoyer ? Ai je fais preuve d'une quelconque familiarité qui vous le permette ?
Je ne demande pas ce que je peux trouver par ailleurs je pose la question qui embauche, qui place les gens que vous énumérez aux postes qui sont les leurs ?

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