Ces animaux victimes de la peste.... mais bourgeoise !

[Peracetic]

bonjour à vous

https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... t-20191118
« Après les tonitruants cocoricos du coq Maurice sur l’île d’Oléron, voici la justice saisie, si l’on peut dire, des crottins de Sésame, cheval laboureur employé à Orschwihr (Haut-Rhin) par un domaine viticole. Les spécificités bucoliques sont, de nos jours, diversement appréciées par certains habitants ou visiteurs des campagnes, qui qualifient de «nuisances» le chant des clochers, le cri des animaux et, bien évidemment, la production organique des plus volumineux d’entre eux.
À lire aussi : Haut-Rhin: accusé de produire trop de crottin, le cheval Sésame devant la justice

Suite.... de la même veine
https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aq ... ye-6502957
 Haro sur le baudet », écrivait La Fontaine. Aujourd’hui, haro sur les poules, les canards, les oies, les chevaux veaux ,vaches, cochons, couvées… Les animaux ne sont plus malades de la peste mais de la bêtise humaine.
Qu’en dit la Justice ?
À ce jour, les gallinacés bénéficient de la faveur des tribunaux. En septembre dernier, le tribunal correctionnel de Rochefort, en Charente-Maritime, autorisait ainsi le coq Maurice à chanter et condamnait les plaignants aux dépens ainsi qu’à verser 1.000 euros de dommages-intérêts aux maîtres dudit coq.
On verra, ce soir, si les canards des Landes peuvent eux aussi continuer à caqueter et si le cheval Sésame peut encore ensemencer les vignes de son crottin et parfumer le comté de ses relents…
Salut

[Allora]

Les animaux ne sont plus malades de la peste mais de la bêtise humaine.

Et de la cruauté aussi ...
les humains .. tu parles d'un nom totalement inadéquat !

Pour ceux qui ne connaissent pas -pour comprendre l'allusion de Peracetic :


Les animaux malades de la peste

Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste [puisqu'il faut l'appeler par son nom]
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n'épiaient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents
On fait de pareils dévouements :
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J'ai dévoré force moutons.
Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m'est arrivé quelquefois de manger
Le Berger.
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
- Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;
Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur
En les croquant beaucoup d'honneur.
Et quant au Berger l'on peut dire
Qu'il était digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire.
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane vint à son tour et dit : J'ai souvenance
Qu'en un pré de Moines passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue
Qu'il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.

Jean de La Fontaine
Les fables - Recueil II, livre VII

[sofasurfer]

S'il est surprenant de voir des gens intenter des procès pour ces nuisances animales, il est encore plus surprenant que parfois le tribunal donne raison au plaignant!

Il faudrait donc être amené à légiférer pour préserver note patrimoine;animalier domestique, et dans notre cas a favoriser l'utilisation des animaux dans l'agriculture a la place de la mécanique...

[ellememe]

S'il est surprenant de voir des gens intenter des procès pour ces nuisances animales, il est encore plus surprenant que parfois le tribunal donne raison au plaignant!

Il faudrait donc être amené à légiférer pour préserver note patrimoine;animalier domestique, et dans notre cas a favoriser l'utilisation des animaux dans l'agriculture a la place de la mécanique...

ces gens la trouvent surement plus facile de déposer plainte contre une mare à grenouilles que contre une bande de racailles
si les citadins n'aiment pas les "bruits" de la campagne ,qu'ils restent dans leur ville avec leurs nuisances sonores et olfactives

[Allora]

voit -on des personnes de la campagne séjournant en ville porter plainte :
contre les sirènes des policiers , les bruits des mobylettes de petits cons qui pétaradent, des klaxons et tiens ! comme mes voisins avec leur tondeuse le dimanche ! les odeurs d'usine de circulation les marteaux piqueurs .. !!?

ah les citadins trop gâtés !
---------------
D’où vient le problème alors ?

À mon sens, tous ces conflits renvoient à l’individualisme forcené qui régit notre société. Chacun cherche à s’épanouir dans ses propres désirs et ne supporte plus d’être gêné par l’autre. Le bruit des canards, des poules, des cloches ou du tracteur ne sont que la partie émergée d’un malaise bien plus profond.

Avec, en toile de fond, une judiciarisation galopante…

Nous nous approchons du modèle américain, dans lequel tout est normé, même le vivant, même la biodiversité.

Résultat :
en bout de chaîne, effectivement, les recours en justice s’accumulent.
Cela pose des questions fondamentales sur le monde dans lequel nous vivons.
Quand on ne tolère plus l’attitude et la liberté de l’autre – ce que l’on constate de plus en plus –, on entre dans une société fascisante, avec toutes les dérives que cela peut induire. Il y a sincèrement de quoi être inquiet.


https://www.le-pays.fr/paris-75000/actu ... _13686599/

[Allora]

Il faudrait donc être amené à légiférer pour préserver note patrimoine;animalier domestique, et dans notre cas a favoriser l'utilisation des animaux dans l'agriculture a la place de la mécanique...

ah non pas de retour aux animaux de trait
les chevaux, boeufs etc.. on assez payé durant des millénaires !!! ( agriculture et guerres comprises )

[ellememe]

voit -on des personnes de la campagne séjournant en ville porter plainte :
contre les sirènes des policiers , les bruits des mobylettes de petits cons qui pétaradent, des klaxons et tiens ! comme mes voisins avec leur tondeuse le dimanche ! les odeurs d'usine de circulation les marteaux piqueurs .. !!?

ah les citadins trop gâtés !
---------------
D’où vient le problème alors ?

À mon sens, tous ces conflits renvoient à l’individualisme forcené qui régit notre société. Chacun cherche à s’épanouir dans ses propres désirs et ne supporte plus d’être gêné par l’autre. Le bruit des canards, des poules, des cloches ou du tracteur ne sont que la partie émergée d’un malaise bien plus profond.

Avec, en toile de fond, une judiciarisation galopante…

Nous nous approchons du modèle américain, dans lequel tout est normé, même le vivant, même la biodiversité.

Résultat :
en bout de chaîne, effectivement, les recours en justice s’accumulent.
Cela pose des questions fondamentales sur le monde dans lequel nous vivons.
Quand on ne tolère plus l’attitude et la liberté de l’autre – ce que l’on constate de plus en plus –, on entre dans une société fascisante, avec toutes les dérives que cela peut induire. Il y a sincèrement de quoi être inquiet.


sans compter que les gens deviennent de plus en plus procéduriers !

https://www.le-pays.fr/paris-75000/actu ... _13686599/

[crepenutella]

Comme d'hab c'est stupide. Cela contribue à cliver d'avantage campagne et villes...Perso moi la campagne j'y vie toute la semaine (dordogne), ben ça m'emmerde et il me tarde de rentrer mes jours de repos sur Bordeaux. (La librairie dans laquelle je bosse est dans un petit village de campagne touristique, et donc je vie à la fois à la campagne et à la ville).

Ce que je supporte le moins à la campagne c'est les gens. A la rigueur les paysage de falaises escarpées de châteaux médiévaux, les forets odorantes, les villages typiques, ça oui c'est sublime. La Tranquillité aussi c'est bien. Mais je supporte pas les trous du cul qui y vivent. Ils manquent de culture, sont vulgaires, habillés comme des camions volés, racistes et homophobes, empêtrés dans un virilisme patriarcale mortifère. Heureusement que les touristes sont là pour remonter le niveau. D'ailleurs ils sont nos clients, car les locaux lisent peu.

Et je ne parle pas des paysans, qui eux, ont le mérite de connaitre la terre et de travailler beaucoup. Je parle de tous les autres! Les fonctionnaires locaux, les caissières, les vendeurs de chaussures, les employés de l'épicerie, bref tous ceux qui n'ont pas de raison valable de se complaire dans la médiocrité.

Ah non moi je peux pas.

A part les artisans (ébénistes et orfèvres pas boucher ein) clairement, qui sont généralement des artistes et des entrepreneurs à la fois, ce qui fait d'eux généralement des personnes passionnantes.

Quant aux notables ils sont insupportables. En ville ils se noient dans la masse, mais à la campagne ils se prennent pour le pape, c'est insupportable.

[Stounk]

Comme d'hab c'est stupide. Cela contribue à cliver d'avantage campagne et villes...Perso moi la campagne j'y vie toute la semaine (dordogne), ben ça m'emmerde et il me tarde de rentrer mes jours de repos sur Bordeaux. (La librairie dans laquelle je bosse est dans un petit village de campagne touristique, et donc je vie à la fois à la campagne et à la ville).

Ce que je supporte le moins à la campagne c'est les gens. A la rigueur les paysage de falaises escarpées de châteaux médiévaux, les forets odorantes, les villages typiques, ça oui c'est sublime. La Tranquillité aussi c'est bien. Mais je supporte pas les trous du cul qui y vivent. Ils manquent de culture, sont vulgaires, habillés comme des camions volés, racistes et homophobes, empêtrés dans un virilisme patriarcale mortifère. Heureusement que les touristes sont là pour remonter le niveau. D'ailleurs ils sont nos clients, car les locaux lisent peu.

Et je ne parle pas des paysans, qui eux, ont le mérite de connaitre la terre et de travailler beaucoup. Je parle de tous les autres! Les fonctionnaires locaux, les caissières, les vendeurs de chaussures, les employés de l'épicerie, bref tous ceux qui n'ont pas de raison valable de se complaire dans la médiocrité.

Ah non moi je peux pas.

A part les artisans (ébénistes et orfèvres pas boucher ein) clairement, qui sont généralement des artistes et des entrepreneurs à la fois, ce qui fait d'eux généralement des personnes passionnantes.

Quant aux notables ils sont insupportables. En ville ils se noient dans la masse, mais à la campagne ils se prennent pour le pape, c'est insupportable.

Je crois que:
- 1) tu découvres la vie;
- 2) tu te berces d'illusions sur les gens de la ville qui globalement ressemblent en tout point à ceux des campagnes. Tu as juste probablement eu un effet de miroir déformant en fréquentant davantage des étudiants, des gens avec un "bon" niveau socio-culturel, etc, bref, des gens qui te ressemblent et qui t'ont donné l'illusion que les gens de la ville sont plus "civilisés".

[bayokos]

De grâce...les gens de la Ville....Restez chez vous !!!! Arrêtez de venir nous em.erder avec vos diatribes pseudo-écolos, ok vous comprenez tout, vous des êtres supérieurement intelligents par rapport aux "ploucs" de la campagne, vous êtes doués en immeubles, en embouteillages, en modes de vie à la mode, en technologie numérique..etc..etc...mais ne venez pas dans nos campagnes pour nous pourrir la vie, moi je n'aime pas la ville je ne vais pas acheter un résidence secondaire en ville pour après râler après mon voisin de palier qui fait du bruit, tempêter dans les bouchons, courir toute la journée, comme on dit chez nous "chacun à sa place et les vaches seront bien gardées !"

[crepenutella]

Je crois que:
- 1) tu découvres la vie;
- 2) tu te berces d'illusions sur les gens de la ville qui globalement ressemblent en tout point à ceux des campagnes. Tu as juste probablement eu un effet de miroir déformant en fréquentant davantage des étudiants, des gens avec un "bon" niveau socio-culturel, etc, bref, des gens qui te ressemblent et qui t'ont donné l'illusion que les gens de la ville sont plus "civilisés".

C'est pas faux. Il y a à la ville, de par le fait, une concentration encore plus grande de personnes médiocres intellectuellement et culturellement (spirituellement aussi).
Mais c'est à la ville aussi que l'on trouve des personnes intellectuellement et culturellement plus intéressantes et savantes.
Les élites s'y concentrent en fait. Et cela fait boule de neige car même les caissières sont en réalité des étudiantes et baignent dans ce milieu.

Il faut bien sur choisir ses lieux de sociabilité. Celui qui veut traîner avec des zonar dans un bar pmu le peux. Il pittera comme un trou en beuglant sur les pd et le gouvernement.
Mais on peut choisir aussi d'aller dans un café associatif assister à une projection du dernier Ken Loach, ou assister à un café philo.

Tandis qu'à la campagne...on prend sa voiture pour rentrer chez soi, on passe ses dimanches à s'occuper de sa toiture et tondre sa pelouse. Rien qui soit susceptible de nous faire évoluer humainement. On stagne.

J'aime la campagne, c'est très beau. Parfois on tombe sur une ferme collaborative qui organise des concert et des cours de yoga (comme une dans laquelle j'ai passé un moi en Irlande), mais la plupart du temps il y règne une atonie culturelle et un conservatisme effarant. Et surtout, une prétention à se croire meilleure que tout le monde assez exaspérante.

Moi personnellement, je sais que je ne sais rien. Surtout en comparaison d'Albert Einstein ou d'Emmanuel Kant. Mais le gars de la campagne typiquement, il est persuadé qu'il connais tout sur tout parce qu'il passe sa journée à torcher le cul des vaches.

Je vous avouerai qu'il n'y a rien au monde que je méprise plus qu'un smicard qui claque toute sa tune dans sa grosse bagnole, son crédit maison, une moto cross et du champagne au macumba pour épater la cagole du coin.

[le chimple]

Ce sujet me fait penser à ceci :
""Aisne: une femme enceinte tuée dans une attaque de chiens ""
""Le corps d'une femme enceinte, victime d'une attaque de chiens, a été retrouvé samedi dans une forêt de l'Aisne, où elle était elle-même partie promener son chien, et où se tenait au même moment une chasse à courre, a annoncé mardi le parquet de Soissons.
Le décès de cette femme de 29 ans dans la forêt de Retz a "pour origine une hémorragie consécutive à plusieurs morsures de chiens aux membres supérieurs et inférieurs ainsi qu'à la tête", a indiqué le procureur de Soissons, Frédéric Trinh, dans un communiqué.
"Des prélèvements ont été effectués sur 93 chiens, ceux appartenant à la victime", qui en possédait cinq au total, ainsi que d'autres "ayant participé à une chasse à courre (...) organisée à proximité", selon le parquet.
Il s'agit "notamment (...) d'identifier le ou les chiens mordeurs", poursuit le parquet, précisant que les morsures sont à la fois "ante mortem" et "post mortem". "
https://actu.orange.fr/societe/fait-div ... 98b1f.html
Je me demande si ce sont les chiens qui vont etre condamnés .. ou ... les aristocrates qui vont avec et qui pour moi , en ont l'entière responsabilité !
J'ai ma petite idée ...

[ellememe]

Je crois que:
- 1) tu découvres la vie;
- 2) tu te berces d'illusions sur les gens de la ville qui globalement ressemblent en tout point à ceux des campagnes. Tu as juste probablement eu un effet de miroir déformant en fréquentant davantage des étudiants, des gens avec un "bon" niveau socio-culturel, etc, bref, des gens qui te ressemblent et qui t'ont donné l'illusion que les gens de la ville sont plus "civilisés".

C'est pas faux. Il y a à la ville, de par le fait, une concentration encore plus grande de personnes médiocres intellectuellement et culturellement (spirituellement aussi).
Mais c'est à la ville aussi que l'on trouve des personnes intellectuellement et culturellement plus intéressantes et savantes.
Les élites s'y concentrent en fait. Et cela fait boule de neige car même les caissières sont en réalité des étudiantes et baignent dans ce milieu.

Il faut bien sur choisir ses lieux de sociabilité. Celui qui veut traîner avec des zonar dans un bar pmu le peux. Il pittera comme un trou en beuglant sur les pd et le gouvernement.
Mais on peut choisir aussi d'aller dans un café associatif assister à une projection du dernier Ken Loach, ou assister à un café philo.

Tandis qu'à la campagne...on prend sa voiture pour rentrer chez soi, on passe ses dimanches à s'occuper de sa toiture et tondre sa pelouse. Rien qui soit susceptible de nous faire évoluer humainement. On stagne.

J'aime la campagne, c'est très beau. Parfois on tombe sur une ferme collaborative qui organise des concert et des cours de yoga (comme une dans laquelle j'ai passé un moi en Irlande), mais la plupart du temps il y règne une atonie culturelle et un conservatisme effarant. Et surtout, une prétention à se croire meilleure que tout le monde assez exaspérante.

Moi personnellement, je sais que je ne sais rien. Surtout en comparaison d'Albert Einstein ou d'Emmanuel Kant. Mais le gars de la campagne typiquement, il est persuadé qu'il connais tout sur tout parce qu'il passe sa journée à torcher le cul des vaches.

Je vous avouerai qu'il n'y a rien au monde que je méprise plus qu'un smicard qui claque toute sa tune dans sa grosse bagnole, son crédit maison, une moto cross et du champagne au macumba pour épater la cagole du coin.

mon dieu si tes commentaires pensés ils sont puants de prétention c'est à vomir

[bayokos]

Je crois que:
- 1) tu découvres la vie;
- 2) tu te berces d'illusions sur les gens de la ville qui globalement ressemblent en tout point à ceux des campagnes. Tu as juste probablement eu un effet de miroir déformant en fréquentant davantage des étudiants, des gens avec un "bon" niveau socio-culturel, etc, bref, des gens qui te ressemblent et qui t'ont donné l'illusion que les gens de la ville sont plus "civilisés".

C'est pas faux. Il y a à la ville, de par le fait, une concentration encore plus grande de personnes médiocres intellectuellement et culturellement (spirituellement aussi).
Mais c'est à la ville aussi que l'on trouve des personnes intellectuellement et culturellement plus intéressantes et savantes.
Les élites s'y concentrent en fait. Et cela fait boule de neige car même les caissières sont en réalité des étudiantes et baignent dans ce milieu.

Il faut bien sur choisir ses lieux de sociabilité. Celui qui veut traîner avec des zonar dans un bar pmu le peux. Il pittera comme un trou en beuglant sur les pd et le gouvernement.
Mais on peut choisir aussi d'aller dans un café associatif assister à une projection du dernier Ken Loach, ou assister à un café philo.

Tandis qu'à la campagne...on prend sa voiture pour rentrer chez soi, on passe ses dimanches à s'occuper de sa toiture et tondre sa pelouse. Rien qui soit susceptible de nous faire évoluer humainement. On stagne.

J'aime la campagne, c'est très beau. Parfois on tombe sur une ferme collaborative qui organise des concert et des cours de yoga (comme une dans laquelle j'ai passé un moi en Irlande), mais la plupart du temps il y règne une atonie culturelle et un conservatisme effarant. Et surtout, une prétention à se croire meilleure que tout le monde assez exaspérante.

Moi personnellement, je sais que je ne sais rien. Surtout en comparaison d'Albert Einstein ou d'Emmanuel Kant. Mais le gars de la campagne typiquement, il est persuadé qu'il connais tout sur tout parce qu'il passe sa journée à torcher le cul des vaches.

Je vous avouerai qu'il n'y a rien au monde que je méprise plus qu'un smicard qui claque toute sa tune dans sa grosse bagnole, son crédit maison, une moto cross et du champagne au macumba pour épater la cagole du coin.

S'il y a une falaise près de chez toi .... vas-y ..et n'hésite pas !!!!

[ellememe]

C'est pas faux. Il y a à la ville, de par le fait, une concentration encore plus grande de personnes médiocres intellectuellement et culturellement (spirituellement aussi).
Mais c'est à la ville aussi que l'on trouve des personnes intellectuellement et culturellement plus intéressantes et savantes.
Les élites s'y concentrent en fait. Et cela fait boule de neige car même les caissières sont en réalité des étudiantes et baignent dans ce milieu.

Il faut bien sur choisir ses lieux de sociabilité. Celui qui veut traîner avec des zonar dans un bar pmu le peux. Il pittera comme un trou en beuglant sur les pd et le gouvernement.
Mais on peut choisir aussi d'aller dans un café associatif assister à une projection du dernier Ken Loach, ou assister à un café philo.

Tandis qu'à la campagne...on prend sa voiture pour rentrer chez soi, on passe ses dimanches à s'occuper de sa toiture et tondre sa pelouse. Rien qui soit susceptible de nous faire évoluer humainement. On stagne.

J'aime la campagne, c'est très beau. Parfois on tombe sur une ferme collaborative qui organise des concert et des cours de yoga (comme une dans laquelle j'ai passé un moi en Irlande), mais la plupart du temps il y règne une atonie culturelle et un conservatisme effarant. Et surtout, une prétention à se croire meilleure que tout le monde assez exaspérante.

Moi personnellement, je sais que je ne sais rien. Surtout en comparaison d'Albert Einstein ou d'Emmanuel Kant. Mais le gars de la campagne typiquement, il est persuadé qu'il connais tout sur tout parce qu'il passe sa journée à torcher le cul des vaches.

Je vous avouerai qu'il n'y a rien au monde que je méprise plus qu'un smicard qui claque toute sa tune dans sa grosse bagnole, son crédit maison, une moto cross et du champagne au macumba pour épater la cagole du coin.

S'il y a une falaise près de chez toi .... vas-y ..et n'hésite pas !!!!