Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
- Corvo
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Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
N'est pas Benoîte Groult qui veut.
Publié chez Grasset, « Assemblées », le premier roman de la députée insoumise de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain réussit la synthèse entre le plat et le ridicule. Dans un style qui ferait passer Aymeric Caron pour la réincarnation de Balzac.
https://www.marianne.net/culture/litter ... ine-autain
Publié chez Grasset, « Assemblées », le premier roman de la députée insoumise de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain réussit la synthèse entre le plat et le ridicule. Dans un style qui ferait passer Aymeric Caron pour la réincarnation de Balzac.
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
Bien protégée dans sa circo par un désistement fort bien orchestré et "spontané", une excitée des plateaux et des bancs de l'Assemblée du mercredi (jour de la télé) sans la classe intellectuelle d'une Natacha Polony par exemple, et une autrice plate comme une limande qui aurait été de surcroît piétinée de rage jalouse par la "gracieuse" Garrido, compagne du député soumis Corbières: LFI et sa nomenklatura accrochée aux bonnes places, avec l'espoir d'une longévité du sénateur à vie qui souffle la tempête et soulève les déferlantes pour mieux arroser son clan des jetons de présence versés par l'Etat aux partis.Corvo a écrit : ↑16 juin 2022 06:07N'est pas Benoîte Groult qui veut.
Publié chez Grasset, « Assemblées », le premier roman de la députée insoumise de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain réussit la synthèse entre le plat et le ridicule. Dans un style qui ferait passer Aymeric Caron pour la réincarnation de Balzac.
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- da capo
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
Non Corvo, il s'agit en réalité de son second roman.
Son premier, ''Dites-lui que je l'aime'' publié en 2019 est le court récit autobiographique de son enfance jusqu'à l'âge de 12 ans, et le décès de sa mère, l'actrice Dominique laffin, alcoolique et irresponsable.
A l'opposé de celui-çi apparemment, c'est un bouquin émouvant au style irréprochable et dense, dépourvu de toute superficialité, sans novlangue.
Je le recommande à tous.
Par ailleurs, il se peut que l'accueil enthousiaste et justifié réservé à son premier opus lui ait laissé croire qu'elle deviendrait une romancière de talent, mais ce n'est visiblement pas le cas.
Son premier, ''Dites-lui que je l'aime'' publié en 2019 est le court récit autobiographique de son enfance jusqu'à l'âge de 12 ans, et le décès de sa mère, l'actrice Dominique laffin, alcoolique et irresponsable.
A l'opposé de celui-çi apparemment, c'est un bouquin émouvant au style irréprochable et dense, dépourvu de toute superficialité, sans novlangue.
Je le recommande à tous.
Par ailleurs, il se peut que l'accueil enthousiaste et justifié réservé à son premier opus lui ait laissé croire qu'elle deviendrait une romancière de talent, mais ce n'est visiblement pas le cas.
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
Autain est ce que LFI produit de pire, [h]autaine, grande gueule et parfaite incapable. Si elle écrit comme elle cause, son bouquin va se résumer à caler mon armoire normande, sans avoir lu au préalable ne serait-ce qu'une demi page.
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
''Dites-lui que je l'aime'' n'est pas il me semble ce qu'on peut appeler un roman. Sinon espérons pour elle que ce roman aura auprès de son électorat du 93 un large succès.da capo a écrit : ↑16 juin 2022 09:05Non Corvo, il s'agit en réalité de son second roman.
Son premier, ''Dites-lui que je l'aime'' publié en 2019 est le court récit autobiographique de son enfance jusqu'à l'âge de 12 ans, et le décès de sa mère, l'actrice Dominique laffin, alcoolique et irresponsable.
A l'opposé de celui-çi apparemment, c'est un bouquin émouvant au style irréprochable et dense, dépourvu de toute superficialité, sans novlangue.
Je le recommande à tous.
Par ailleurs, il se peut que l'accueil enthousiaste et justifié réservé à son premier opus lui ait laissé croire qu'elle deviendrait une romancière de talent, mais ce n'est visiblement pas le cas.
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
Les députés LFI élus en IDF seront réélus dans un fauteuil.UBUROI a écrit : ↑16 juin 2022 07:33Bien protégée dans sa circo par un désistement fort bien orchestré et "spontané", une excitée des plateaux et des bancs de l'Assemblée du mercredi (jour de la télé) sans la classe intellectuelle d'une Natacha Polony par exemple, et une autrice plate comme une limande qui aurait été de surcroît piétinée de rage jalouse par la "gracieuse" Garrido, compagne du député soumis Corbières: LFI et sa nomenklatura accrochée aux bonnes places, avec l'espoir d'une longévité du sénateur à vie qui souffle la tempête et soulève les déferlantes pour mieux arroser son clan des jetons de présence versés par l'Etat aux partis.Corvo a écrit : ↑16 juin 2022 06:07N'est pas Benoîte Groult qui veut.
Publié chez Grasset, « Assemblées », le premier roman de la députée insoumise de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain réussit la synthèse entre le plat et le ridicule. Dans un style qui ferait passer Aymeric Caron pour la réincarnation de Balzac.
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- da capo
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
Corvo a écrit : ↑16 juin 2022 10:26''Dites-lui que je l'aime'' n'est pas il me semble ce qu'on peut appeler un roman. Sinon espérons pour elle que ce roman aura auprès de son électorat du 93 un large succès.da capo a écrit : ↑16 juin 2022 09:05Non Corvo, il s'agit en réalité de son second roman.
Son premier, ''Dites-lui que je l'aime'' publié en 2019 est le court récit autobiographique de son enfance jusqu'à l'âge de 12 ans, et le décès de sa mère, l'actrice Dominique laffin, alcoolique et irresponsable.
A l'opposé de celui-çi apparemment, c'est un bouquin émouvant au style irréprochable et dense, dépourvu de toute superficialité, sans novlangue.
Je le recommande à tous.
Par ailleurs, il se peut que l'accueil enthousiaste et justifié réservé à son premier opus lui ait laissé croire qu'elle deviendrait une romancière de talent, mais ce n'est visiblement pas le cas.
Mais un roman autobiographique n'en reste pas moins un roman, Corvo.
Ce qui le distingue de la chronique ou du récit historique, c'est la part de subjectivité et d'interprétation des faits par le narrateur, qui n'est pas journaliste ni historien et s'exprime à la première personne.
Pour prendre quelques exemples archi-connus, des oeuvres comme l'Arrache-coeur de Salinger sont conjuguées à la troisième personne, mais n'en demeurent pas moins des romans et non des biographies.
Idem pour des récits-témoignages comme De sang froid, de Truman Capote, où la position de narrateur omniscient de l'auteur ne l'exclut pas de sa qualité de romancier.
A priori, le 93 n'est vraiment pas l'endroit idéal pour ouvrir une librairie généraliste, à moins de se spécialiser dans un domaine bien particulier, que chacun pourra deviner.
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
Tout a fait ,souhaitons lui un "franc "succès dans les cercles de lecture et cafés litterokebab du 9.3Corvo a écrit : ↑16 juin 2022 10:26''Dites-lui que je l'aime'' n'est pas il me semble ce qu'on peut appeler un roman. Sinon espérons pour elle que ce roman aura auprès de son électorat du 93 un large succès.da capo a écrit : ↑16 juin 2022 09:05Non Corvo, il s'agit en réalité de son second roman.
Son premier, ''Dites-lui que je l'aime'' publié en 2019 est le court récit autobiographique de son enfance jusqu'à l'âge de 12 ans, et le décès de sa mère, l'actrice Dominique laffin, alcoolique et irresponsable.
A l'opposé de celui-çi apparemment, c'est un bouquin émouvant au style irréprochable et dense, dépourvu de toute superficialité, sans novlangue.
Je le recommande à tous.
Par ailleurs, il se peut que l'accueil enthousiaste et justifié réservé à son premier opus lui ait laissé croire qu'elle deviendrait une romancière de talent, mais ce n'est visiblement pas le cas.
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
Mon dieu ce racisme.
Les illettrés n'auraient pas droit à leur librairie entre deux boucheries halal.
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
N'ayant lu ni le premier ,ni le second,n'étant pas objectif ,aucun jugement de ma part.
Ceci dit ,il faut lui reconnaître le courage de publier quand on est à ce point sous les feux ,elle risque la double peine.On va la voir ce soir sur FR 2 à 21 h.
Ceci dit ,il faut lui reconnaître le courage de publier quand on est à ce point sous les feux ,elle risque la double peine.On va la voir ce soir sur FR 2 à 21 h.
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Re: Platitudes et féminisme au rabais : on a lu le premier roman de Clémentine Autain
Roman...pas roman chacun choisira. Le 93 n'est pas en pénurie de librairies généralistes.da capo a écrit : ↑16 juin 2022 11:57
Mais un roman autobiographique n'en reste pas moins un roman, Corvo.
Ce qui le distingue de la chronique ou du récit historique, c'est la part de subjectivité et d'interprétation des faits par le narrateur, qui n'est pas journaliste ni historien et s'exprime à la première personne.
Pour prendre quelques exemples archi-connus, des oeuvres comme l'Arrache-coeur de Salinger sont conjuguées à la troisième personne, mais n'en demeurent pas moins des romans et non des biographies.
Idem pour des récits-témoignages comme De sang froid, de Truman Capote, où la position de narrateur omniscient de l'auteur ne l'exclut pas de sa qualité de romancier.
A priori, le 93 n'est vraiment pas l'endroit idéal pour ouvrir une librairie généraliste, à moins de se spécialiser dans un domaine bien particulier, que chacun pourra deviner.
https://librairie.annuairefrancais.fr/9 ... enis-dept/