la première fois idéale .

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Maitre Qui-Gon
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Message par Maitre Qui-Gon » 13 février 2008 11:03

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Tout à fait , c'est fragile la virilité ! :mrgreen:
Je dévore tout ce qui passe à  proximité de mes canines !

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Message par durdur1 » 13 février 2008 16:11

Mélange virilité et feminité et ça donne presque fébrilité et ça vaut mieux éviter la première fois

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Message par tisiphoné » 14 février 2008 21:01

durdur1 a écrit :Mélange virilité et feminité et ça donne presque fébrilité et ça vaut mieux éviter la première fois
on passe direct à la deuxième alors , on se dit que la première c'est un apéritif :wink: ?

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Message par durdur1 » 15 février 2008 10:53

Oui c'est ça une mise en bouche :oops: :icon_winks:

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Message par tisiphoné » 15 février 2008 11:04

durdur1 a écrit :Oui c'est ça une mise en bouche :oops: :icon_winks:
on peut le dire comme ça aussi :oops: :arrow:

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Message par durdur1 » 15 février 2008 11:44

Ah ces mots... :icon_winks:

Invité1

Message par Invité1 » 15 février 2008 23:29

Une première fois idéale? Ca va être long, parce que ça s'étale dans le temps. La première fois que je l'ai vue, elle était en main, dans les bras d'un horrible mec à la bouche de brochet. Elle semblait en être follement amoureuse. Frustration.
Imaginez une petite merveille aux cheveux cuivrés, aux yeux verts, avec des taches de rousseur sur les épaules et les bras. Et un petit visage de chat, comme Françoise Arnoul dans "la chatte".
On m'a dit qu'elle faisait de la télé, et j'ai pu l'apercevoir hotesse court vêtue, sur le plateau d'une émission.
Bref, parti sur ces bases, c'était de l'inaccessible. Les avocats disent qu'il ne faut pas plaider plus haut que son dû. J'ai été voir ailleurs si elle n'y était pas.

Les mois ont passé. Et puis, un beau jour, je l'aperçois, seule, dans la foule. Comme un con, j'avais oublié jusqu' à  son prénom. Je l'ai lourdement interpelée, façon blaireau "Bonjour, mademoiselle Tarte en Pion!" "Ah, non, plus Tarte en Pion, maintenant, c'est Tartopom!"
C'était une jeune mariée, ma ravissante.


Elle a été sympa, s'est souvenue assez vite de notre brève entrevue. Sur le bord du trottoir, elle m'a révélé que le brochet, c'était fini, mais qu'elle était jeune mariée. Elle venait d'épouser un mec, plus âgé qu'elle, mais nanti d'une profession cossue. Ca restait toujours de l'inabordable.

Moi, ça m'a toujours gonflé de jouer au ver de terre amoureux d'une étoile.
J'allais prendre congé, quand elle m'a dit qu'elle passait tous les jours à la même heure, à cet endroit.

Tu parles que le lendemain, j'étais sur sa trajectoire. On a pris un pot, on a un peu discuté. Je lui ai proposé une balade en voiture. J'avais une chouette Merko, en ce temps l à , c'était l'élément valorisant. Mais je pouvais toujours m'accrocher, avec ma belle bagnole et ma gloriole de scribouillard.

Elle me racontait son univers enchanté, ses voyages, ses relations, brillantes, les gloires de la télé. Plus elle me parlait, plus je me rapetissais, me tassais sur mon siège. Je l'ai raccompagnée devant son immeuble cossu d'un quartier résidentiel. J'étais bien décidé à ne pas revoir cette snobinarde prétentieuse, et hors de mes moyens.

Mais deux jours aprés, par le plus grand des hasards (!) j'étais sur son passage. Elle est venue, souriante, m'a dit "Vous n'étiez pas l à , hier?"
Et nous avons commencé le cycle infernal des chastes promenades. Je l'emmenais sur les belles routes de notre belle région, elle se racontait, je me racontais. On ne se tutoyait même pas.

Moi, je l'avais encore, dans la tronche, telle que je l'avais vue à la télé, et puis son considérable mari, m'intimidait je la sentais inaccessible. Mettre la main sur son épaule? J'aurais jamais osé. Je redoutais le sursaut indigné, le scandale. C'était une respectable femme mariée, ravissante, qui faisait seulement une trés honorable promenade avec un ami de longue date. J'étais un peu con dans ma tronche.

La peur du rateau, c'était (c'est toujours) ma hantise. Si une femme me dit non, c'est vraiment non, pour moi. Je ne tente pas de seconde chance. Même si elle dit "peut être", j'entrevois des délais d'attente, des emmerdes, et je m'arrache. Faut vraiment que le carrefour soit au feu vert, pas à l'orange, pour que je fonce franco!

Les jours on passé. A force de promenades et de randonnées, on finissait par repasser aux mêmes endroits.

Puis un jour, elle m'a questionné sur ce que je ressentais pour elle. Comme un idiot, je lui ai dit "Je vous respecte infiniment". Elle a posé la main sur mon bras. J'ai pris sa main, et j'ai respectueusement déposé un baiser, sur son poignet et la paume de sa main.
Et je me suis dépêché de redémarrer, avant de faire un geste inconsidéré qui aurait tout gâché.

Deux kilom à à à à à àç à à à à àèt à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àôêêêêêêres en contrebas, il y avait un endroit panoramique, où nous faisions une nonchalante pause, à chaque promenade. Mais elle avait fini par remarquer, aussi, un bâtiment rouge, au murs couverts de lierre. Je lui avais dit que c'était une auberge qui accueillait les couples "illégitimes".

Cette fois là, quand nous nous sommes arrêtés à cet endroit, elle m'a regardé, et, à mon intense stupéfaction, elle m'a dit "On y va?" J'étais tellement pétrifié de timidité et de respect que j'en suis resté ébahi. Elle souriait avec espièglerie, comme si elle me proposait de faire une bonne farce à quelqu'un!

Du coup, quand même, et pour me réaligner sur un processus normal, pour la PREMIERE fois, j'ai osé l'embrasser!

Aprés, je n'avais plus qu'une peur, qu'elle change d'avis. Avec une lenteur mal maîtrisée, je suis descendu, ai ouvert sa portière. J'ai vite fermé les portes, qu'elle ne tente pas de revenir vers la voiture. Mais non, sa décision semblait ferme et définitive. Nous avons traversé la route, et j'ai alors osé la détailler, en tant que femme, ce que je n'avais pas fait jusque là. Elle était bâtie menue, en finesse, en fragilité. Petits nichons, petites fesses, cuisses longues et fines de poulain. Moi, j'étais bâti comme un rugbyman. (Elle m'a dit, par la suite, que je lui faisais peur, qu'elle craignait que je lui fasse mal).
Et nous voilà dans la pénombre de l'auberge accueillante. Un endroit que je connaissais bien. Elle m'a demandé si j'étais déjà venu, et je n'ai pas voulu lui mentir. J'ai bien fait. L'aubergiste m'accueillait avec le sourire qu'il réservait aux bons clients.

Vite, nous avons monté l'escalier, vers la chambre n°1, mon habituelle. Parce qu'il y avait une grande glace, en face du lit. Je retrouvais un peu mes repères.

Mais j'avais hâte que nous soyons isolés, enfermés; toujours la crainte qu'elle ne se ravise, jusqu'au dernier moment. C'était trop fou, trop hénaurme!

Elle, beauté spectaculaire, consacrée par la télé, et jeune mariée de surcroît! C'était comme si le BonDDieu se dérangeait pour me faire un cadeau personnel!

Elle s'est déshabillée, j'ai profité du strip tease, et elle a couru nue , sous les draps, comme si elle avait froid. Moi, j'avais un truc bien rodé, pour gagner du temps. Enlever toutes les fringues du haut, ensemble, sans les séparer, indem pour le bas, slip et pantalon d'un même mouvement.
Et je l'ai rejointe, en vitesse.

Je ne raconte pas en détail; j'ai été trés tendre, trés doux, lent et progressif. J'ai mis un temps fou à être tout entier en elle. C'est elle qui a exigé que je sois plus brutal. Je crevais de frousse de lui briser les côtes, à ma Barbie de cristal. J'ai quand même fait comme elle voulait. La chevauchée des Walkyries, la vraie, la sauvage, celle de "Apocalypse now".

Je ne fume pas, aprés l'amour. Je parle. Les confidences sur l'oreiller, c'est chouette, quand les barrières sont abolies.


Mais alors, elle a sorti de son sac un petit bouquin. Poèmes de Prévert. Et m'a demandé de lui LIRE un de ces poèmes "Cet amour". Je redevenais plouc, homme des bois surpris. Qu'est-ce que c'est que ce travail?

Je l'ai lu, à ma manière, sans intonations particulières. Elle la lu aprés moi, comme si ça devenait un rite. Mais elle, sa voix mélodieuse, ses intonations choisies, c'était tout autre chose. Elle m'a avoué par la suite qu'elle avait fait de l'art dramatique, pris des cours de diction. Sur le moment, elle m'a envouté.
J'ai aussi découvert qu'elle était une vraie rousse, mais que la teinte cuivrée de ses cheveux, c'est par son coiffeur blondisseur qu'elle l'obtenait.
Bref, moi, j'étais brut de décoffrage, et elle, nantie de tous les délicats raffinements, toutes les préparations du monde du spectacle. La partie n'était pas égale.
Elle a voulu qu'on se voie tous les jours; j'ai accepté avec fièvre et enthousiasme. La chambre n°1 nous a revus souvent, pendant ces "Neuf semaines et demie"... les notres n'ont pas duré beaucoup plus.

Mais bon, c'est une autre histoire. Prévisible et amère. Son mari n'a même pas eu à lutter pour la garder. Il a vaincu par la seule puissance de son carnet de chèques.


Une histoire qui a commencé trop bien ne pouvait que mal finir.

"Elle a mis mon coeur à feu et à sang
Pour qu'il ne puisse plus servir à personne"
(G. Brassens)

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Message par Maitre Qui-Gon » 15 février 2008 23:43

:oops: :oops: J'en suis tout ému dis donc !
J'aurais jamais tant d'expérience que toi ! qu'il s'agisse de bonne comme celle-ci ou de mauvaise comme la pisseuse-chieuse ! ça m'impressione.
Je dévore tout ce qui passe à  proximité de mes canines !

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Message par Invité1 » 15 février 2008 23:49

Maitre Qui-Gon a écrit ::oops: :oops: J'en suis tout ému dis donc !
J'aurais jamais tant d'expérience que toi ! qu'il s'agisse de bonne comme celle-ci ou de mauvaise comme la pisseuse-chieuse ! ça m'impressione.
Laisse faire le temps, Maitre Ki, chaque homme reçoit sa dose d'expériences.

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Message par manuréva » 15 février 2008 23:54

merci Cormoran , indéniablement , je préfère cette histoire l à  .

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Message par tisiphoné » 16 février 2008 00:14

la musique , la scène , on dit que c'est un orgasme quand la lumière s'éteint et que on commence à jouer devant des milliers de gens et qu''ils te renvoient ce que tu leur donne , en émotion, en plaisir , en chaleur ...Mimo' dis moi c'est tout aussi intense , les sensations se rapprochent -elles vraiment des moments les plus exacerbés de la jouissance sexuelle ?

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Message par tisiphoné » 16 février 2008 00:26

quand tu dis nos compositions , tu parles de qui ? et tu jouais sur quoi ?

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Message par tisiphoné » 16 février 2008 00:33

MimoZa a écrit :c'est pire qu'une drogue.on est dependant a la première.
pas d'équivalent.c'est unique.
et comment on compense , le manque ? tu tournes encore ? et les grandes scènes ça tournent pas la tête , on prend vite le melon dans ce milieu , non ?

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Message par Annelaure » 16 février 2008 00:56

moi, bof. Avec le recul, bof. Ca reste encore les souvenirs de ma meilleure amie, de ses gestes d'affection, de protection, de possessivité, nos jeux et tout ce qui était autour. Sinon, la seule chose qui me vienne en ce moment, par rapport à un homme et avec le mot et la sensation de bonheur, c'est mon "masseur", mon chéri actuel. Je le vois sur mon lit, tout nu, décoiffé, sous moi, qui me regarde, et moi qui le dominait (je ne sais si il était alors en moi). Mais j'étais heureuse, mais heureuse! J'en ressens encore aujourd'hui la sensation rien qu'en remémorrant ce souvenir. Cette sensation de victoire, du "je t'ai (enfin)! rhaaa!" et de le regarder comme une vorace qui va dévorer sa proie avec un plaisir non feint...

Et il y a aussi celui où il est venu et a sorti une bande. A lui dire "mais tu veux faire quoi?" Lui:"tu vas voir". Et à me bander les yeux. Comme j'ai, malgré ma myopie et astigmatisme une vue très grand angle (quasi celle des pilotes d'avion, sûrement héritée de mon père), ça n'allait pas. Alors on a pris une de mes larges et longues écharpes. Il m'a donc bandé les yeux. Debout, il a commencé à me caresser puis à me déshabiller tout en me caressant. Puis il m'a soulevée et posé sur le lit, et à me caresser, m'embrasser, puis à me masser avec une huile parfumée, et en marquant parfois des temps d'arrêt. Et a évolué peu à peu. C'est bien après qu'il m'a ôté le bandeau pour que je puisse le regarder tandis qu'il allait et venait. Ce jour l à  fut un vrai régal. D'autant + que j'avais une totale confiance en lui, ou presque, ce que je n'ai pas en gral. D'un autre mec, je pense que j'aurais refusé.

Et il y a, avant notre premier baiser et premier rapport, alors que mon surmoi était le + fort et que c'était mal de désirer un homme marié, de surcro àt lui... Je lui faisais des cadeaux pour le remercier de tous ses services rendus ( à  m'écrire mes lettres de motivation et autres, à me recevoir sans me faire payer et écouter pdt des heures mes bavardages de fille interminables (vous voyez déj à , et l à , c'est vraiment rien de rien. Au fait, il sait tout ce que je pense de Fonck, Tisi et autres... Ca vous donne une idée de combien je le saoûle...)). Comme tjs à lui offrir du vin jaune ou un St Emilion, l à , pour changer, comme il semblait épuisé ces derniers temps, j'ai ajouté une huile de massage et du chocolat. Et à lui dire "pour votre épouse et vous. Pour vous détendre un peu". Et c'est quelque temps après. Venue parce que énervée et pas bien, il m'a dit de me déshabiller et m'étendre sur la table. Il me tournait le dos, comme d'hab, récupérant sans doute son tensiomètre et autres, comme d'hab. Ben non. Moi, j'étais en train de blablater tout en regardant du côté de la fenêtre sans le regarder et d'un coups j'ai senti un liquide froid entre mes deux seins. Choc. "mais qu'est-ce que vous faites?" "détendez-vous..." et il s'est mis à me masser l à . Moi, à me contracter, chercher à me relever et à lui dire "faut pas, il ne faut pas! vous êtes marié!" lui: "chu-u-u-t!" et à continuer tranquille. Peu à peu, j'ai senti que mon corps lui cèdait alors qu'il progressait dans son massage. Il m'a fait me retourner... Et après m'avoir bien excitée, et vu que lui aussi vu l'état de son pantalon tendu, il m'a dit "essuyez-vous, c'est fini! vous n'êtes plus tendu! vous allez pouvoir aller travailler dans d'excellentes conditions!" et il est allé, comme si de rien n'était. Je suis restée stupéfaite, à me dire "c'est moi ou???". Il n'a pas voulu remettre ça pdt pls mois, me disant "je vous assure, je n'avais aucune arrière pensée. Et puis vu l'effet que cela produit sur vous, vaut ptêt mieux pas!"... Mais ça a fini par redéraper (lui à m'embrasser une fois furtivement, une autre fois à me dire qu'il m'offrirait ce que je à à à voulais à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àôsi je réussissais mes concours: la réponse a été immédiate "vous!". Ca ne l'a nullement surpris: je le dévore des yeux depuis le premiers jours où nos regards se sont croisés... Et il l'a vu et je le lui avais avoué une fois. On n'a pas attendu les résultats pour se consommer...

C'est donc par ce merveilleux massage que tout a commencé. Mais depuis, moi qui n'avais jamais mal au dos, dès que je pense à lui, j'ai 3 choses qui se produisent (et qui ne m'arrivaient pas avant): j'ai mal aux épaules, j'ai le clitoris qui me gratte et mes aréoles qui réagissent et je ressens le besoin de toucher toutes ces zones pour apaiser leur tension... Il a bien appris à mon cerveau à quoi il correspondait... Sa pensée a ses stimulis. Dont celui de l'envie de m'étendre, me détendre, me masturber et m'endormir le sourire aux lèvres en le voyant dans mes pensées, sous moi, comme la première fois où il était venu jusqu'à chez moi...

Voilà des fois mémorrables. Premier massage de ma vie. Première fois dans mon appart et première fois où il m'a bandé les yeux et deuxième fois, en fait, où il venait chez moi (j'ai le souvenir qu'on avait rit car la voisine avait frappé contre le mur car on devait faire trop de bruit... D'ailleurs, l'autre fois, il m'a dit "oui, j'ai vu le site de l'hôtel, suis d'accord: les chambres sont insonorisées..." (on a nos petits rires et humour simples et complices. J'adore).

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