Général Motors
Posté : 01 juin 2009 15:18
Au pays de la libre entreprise, la nationalisation ( de fait ) de l'ex numéro 1 mondial de l'automobile faitdu bruit.
Le symbole de la réussite pour l'américian moyen a été contraint de déposer le bilan. C'est un véritable tsunami, un deuxième Pearl Harbour.
Honte aux investisseurs et aux gestionnaires qui faute de pouvoir réparer les dégats de l'affairisme financier avec des mesures " libérales " et avec leur argent, empruntent des méthodes " collectivistes " dignes des pays communistes du bloc de l'Est.
De fait, ce sont les petits contribuables américains qui viennent au secours des plus gros empires industriels de la planéte, sans qu'ils aient eu à donner leur avis.
La nouvelle entité appartiendra à 72% au gouvernement.
Les défenseurs du libéralisme ne disent pas pour autan merci. Selon, J.Anwyl " Le plus difficile pour l'Etat sera de laisser la gestion au jour-lejour à la direction du groupe " " La tentation sera grande d'influencer le choix des produits par des considérations politiques et non commerciales " " Tout le monde est tétanisé par la perspective d'une direction étatique "
Cet expert réclame l'argent public pour sauver les entreprises du désastre, mais il refuse un quelconque contrôle de l'état sous prétexte que les fonctionnaires fédéraux seraient moins intelligents que les grands stratéges du privé.
Encore une preuve, s'il le fallait, pour démontrer leur totale incompétance.
Le symbole de la réussite pour l'américian moyen a été contraint de déposer le bilan. C'est un véritable tsunami, un deuxième Pearl Harbour.
Honte aux investisseurs et aux gestionnaires qui faute de pouvoir réparer les dégats de l'affairisme financier avec des mesures " libérales " et avec leur argent, empruntent des méthodes " collectivistes " dignes des pays communistes du bloc de l'Est.
De fait, ce sont les petits contribuables américains qui viennent au secours des plus gros empires industriels de la planéte, sans qu'ils aient eu à donner leur avis.
La nouvelle entité appartiendra à 72% au gouvernement.
Les défenseurs du libéralisme ne disent pas pour autan merci. Selon, J.Anwyl " Le plus difficile pour l'Etat sera de laisser la gestion au jour-lejour à la direction du groupe " " La tentation sera grande d'influencer le choix des produits par des considérations politiques et non commerciales " " Tout le monde est tétanisé par la perspective d'une direction étatique "
Cet expert réclame l'argent public pour sauver les entreprises du désastre, mais il refuse un quelconque contrôle de l'état sous prétexte que les fonctionnaires fédéraux seraient moins intelligents que les grands stratéges du privé.
Encore une preuve, s'il le fallait, pour démontrer leur totale incompétance.