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En réponse à la crise économique que traverse son entreprise, Willie Walsh a indiqué aux salariés de British Airways qu'il ne prendrait pas son salaire du mois de juillet prochain, soit 72.000€.
Il a adressé un mail à 30.000 salariés pour leur dire que si nombre d'entre eux étaient disposés à sauver leur compagnie, ils devaient le montrer.
Il leur propose de travailler gratuitement durant un epériode d'une semaine à un mois afin de sauver leur entreprise.

On ne peut être plus hypocrite et démago !
Afin d'obtenir un résultat plus probant, je lui suggére de prolonger cette période de générosité en une année sans solde ! Et plus si affinité.

c'est peut-être ce que l'on nomme "humour anglais"

Il leur a pas encore demandé de payer pour venir travailler. :roll:

Pas bête une 'tite cotisation des salariés pour avoir le droit de faire fonctionner leur entreprise ha ! comme dirait Fonck, quand on veut du boulot on en trouve !

mettons le en taule pour tentative de procédé esclavagiste . surtout que l on sait tres bien que ceux qui refuse ferons partie de la prochaine charrette ...

C'est du cynisme à l'état pur! pour se siniser?

Pour oser faire une telle demande il aurait dû pour sa part renoncer à 10 mois de son propre salaire ce qui lui aurait tout de même permis de vivre correctement, alors que pour ses salariés ça peut être un vrai sacrifice de laisser 1 semaine ou un mois.

:roll: malheureusement je viens de lire que plusieurs des salariés ont accepté la proposition de leur patron...Le chômage est tel que nombres de personnes préférent encorece sacrifice plutôt que de perdre leur emploi.

Et dire , qu'à Calais , des clandestins prennent encore la Grande Bretagne pour un Eldorado

C'est peut-être cela ,le bénévolat version british

Je pense que vous êtes tous comme moi : je n'aurais jamais imaginé un tel culot

Et bien finalement, W.Walsh n'était pas si con que ça car 1/4 des salariés de B.A environ ont répondu présents :
7.000 ont accepté de travailler 1 semaine sans solde et 1.500 ont donné leur accord pour 1 mois.
Comme quoi, il suffisait de démander !

Prochaine étape : réintroduire le servage. Impossible de quitter l'entreprise sans l'accord de l'employeur.

Cela prouve que nous sommes dans un monde décadent qui n'a plus confiance ni dans ses capacités ni dans son avenir, on accepte donc le nivèlement par le bas.