Les étudiants britanniques descendent en masse dans la rue pour dénoncer le triplement des frais universitaires. Le début d'une contestation de grande ampleur ? - See more at: http://info.arte.tv/fr/royaume-uni-les- ... 6cEWD.dpuf
ça n'est pas comme ça dans toutes les universités....
puis tu mélanges les britanniques et les américaines.
C'est dans 2 tiers des universités je te l'accorde
je lis :
Depuis l'entrée en vigueur de cette réforme en 2012, les frais de scolarité ont tout simplement triplé à l'université, atteignant désormais les 9 000 livres par an (soit 10 500 euros) dans deux tiers des universités britanniques. Voilà qui fait du Royaume-uni, l'un des pays les plus chers d'Europe en matière d'enseignement universitaire. Voilà aussi qui force plus que jamais les étudiants à s'endetter dangereusement durant leur cursus.[
ça n'est pas comme ça dans toutes les universités....
puis tu mélanges les britanniques et les américaines.
Parce qu'il y a un point commun qui peut engendrer exactement les mêmes conséquences puisque la cause est identique
Mais tu l'avais remarqué je suppose, ça saute aux yeux
non,les universités américaines et britanniques n'ont rien à voir,pas le même mode de financement,ect ect....
Fonck1 a écrit :
non,les universités américaines et britanniques n'ont rien à voir,pas le même mode de financement,ect ect....
Mais les mêmes crédits pour les étudiants à cause du triplement des frais universitaires et si on continue de lire l'article on y lit ceci :
« Cette armée de diplômés quittera l'université en croulant sous une dette bien plus lourde qu'aucune autre génération », s'alarmait en août 2013 la journaliste britannique Jeni Russel dans un article du Times, relayé par Courrier international. Nombreux, en effet, sont les étudiants britanniques forcés de contracter des prêts de 40 000 ou 50 000 euros auprès de l'État ou auprès d'organismes de crédit pour espérer poursuivre leur scolarité. Mais comme l'a fait remarquer The Guardian en mars dernier, le taux d'impayés de ces prêts étudiants atteint depuis peu des niveaux particulièrement inquiétants.
Le système américano-anglo-saxon est fondamentalement déguelasse, il exclut de manière très directe et assumé les pauvres des études supérieures. Ca atteint de telles proportions dignes d'un système féodal que ça va forcément leur poser des problèmes à l'avenir. Qu'est-ce qui peut justifier de tels frais totalement délirants ? Rien, bien entendu.
Kelenner a écrit : Le système américano-anglo-saxon est fondamentalement déguelasse, il exclut de manière très directe et assumé les pauvres des études supérieures. Ca atteint de telles proportions dignes d'un système féodal que ça va forcément leur poser des problèmes à l'avenir. Qu'est-ce qui peut justifier de tels frais totalement délirants ? Rien, bien entendu.
Ces universités privées ont de gros appétits , elles se foutent d'autant plus de ces crédits que ce n'est pas elles qui paieront
Elles se contentent de ramasser le fric issu de ces crédits et de s'engraisser sur le dos des étudiants
Ca aussi c'est une bombe à retardement qui va nous revenir en boomerang un jour ou l''autre
Ce jour-là on n' aura pas fini de voir les dirigeants anglais venir chialer auprés de l'UE pour recevoir le fric des contribuables européens afin de remonter leurs banques
Les anglais font leur croissance essentiellement avec leurs banques via la City faut pas l'oublier
Je résiste à tout sauf à la tentation (Oscar Wilde)
saint thomas a écrit :
Les anglais font leur croissance essentiellement avec leurs banques via la City faut pas l'oublier
Surtout après ceci:
La drogue et la prostitution, facteurs de croissance ? Au Royaume-Uni, ces deux éléments ont contribué au produit intérieur brut (PIB) pour quelque 8,5 milliards de livres (10,9 milliards d'euros) sur un total de 1 713 milliards de livres (2 193 milliards d'euros) en 2013, a indiqué mardi 30 septembre de l'Office national des statistiques britannique (ONS).
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."
saint thomas a écrit :
Les anglais font leur croissance essentiellement avec leurs banques via la City faut pas l'oublier
Surtout après ceci:
La drogue et la prostitution, facteurs de croissance ? Au Royaume-Uni, ces deux éléments ont contribué au produit intérieur brut (PIB) pour quelque 8,5 milliards de livres (10,9 milliards d'euros) sur un total de 1 713 milliards de livres (2 193 milliards d'euros) en 2013, a indiqué mardi 30 septembre de l'Office national des statistiques britannique (ONS).
tout cela n'a aucun sens d'ailleurs en France, l'Insee ne le calcule même pas tellement ce serait incertain.
Fonck1 a écrit :
non,les universités américaines et britanniques n'ont rien à voir,pas le même mode de financement,ect ect....
Mais les mêmes crédits pour les étudiants à cause du triplement des frais universitaires et si on continue de lire l'article on y lit ceci :
« Cette armée de diplômés quittera l'université en croulant sous une dette bien plus lourde qu'aucune autre génération », s'alarmait en août 2013 la journaliste britannique Jeni Russel dans un article du Times, relayé par Courrier international. Nombreux, en effet, sont les étudiants britanniques forcés de contracter des prêts de 40 000 ou 50 000 euros auprès de l'État ou auprès d'organismes de crédit pour espérer poursuivre leur scolarité. Mais comme l'a fait remarquer The Guardian en mars dernier, le taux d'impayés de ces prêts étudiants atteint depuis peu des niveaux particulièrement inquiétants.
Surtout après ceci:
La drogue et la prostitution, facteurs de croissance ? Au Royaume-Uni, ces deux éléments ont contribué au produit intérieur brut (PIB) pour quelque 8,5 milliards de livres (10,9 milliards d'euros) sur un total de 1 713 milliards de livres (2 193 milliards d'euros) en 2013, a indiqué mardi 30 septembre de l'Office national des statistiques britannique (ONS).
tout cela n'a aucun sens d'ailleurs en France, l'Insee ne le calcule même pas tellement ce serait incertain.
Oui l'UE a demandé aux états de prendre en compte les revenus du crime organisé dans les PIB pour les gonfler artificiellement je suppose
La France ne s'est pas encore exécutée
Si Al Capone avait su cette mesure de l'UE , il se serait fait naturalisé pour aider les européens !
La croissance du RU c'est avant tout la city via les traders , c'est comme ça c'est tout
Je résiste à tout sauf à la tentation (Oscar Wilde)
Stounk a écrit : Si on laisse faire, on y viendra.
C'est pas pour l'instant ni pour tes petits enfants
L'emprunt là bas est d'une moyenne de 30000€ et je crois bien (sauf erreur de ma part) tous les ans....
La contre partie c'est que ces étudiants bossent a fond pour obtenir le diplôme . Ce qui est loin d’être le cas chez nous..mais ce n'est pas le sujet ici.
Bref bien sur cela semble irréel mais c'est le système américain inégalitaire . Idem pour l'assurance chômage ou maladie.
Le problème ne date pas d'aujourd'hui,il fut évoqué lors du dernier mandat de G.Bush Junior par exemple.Il suffit de voir ce qu'il se passe sur les Campus US lors des rentrées Universitaire ou des organismes de crédits proposent leurs services directement.
J'avais vu que pour la médecine et suivant la spécialité les futurs diplômés pouvaient alors s'endetter 20 ans pour rembourser leurs études.
Il ne faut pas voir d'abord le fait de bosser les examens parce que l'excellence permet à n'importe quelle couche sociale de décrocher des Bourses,qui elles ne sont basées que sur le mérite.
L'exemple par le biais du sport est courant aux USA.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
C’est devenu le cauchemar des familles américaines : financer les études des enfants. Le système des prêts étudiants, pierre angulaire de l’architecture universitaire américaine, est devenu une machine incontrôlable. Avec 1 160 milliards de dollars cumulés (1 069 milliards d’euros) à la fin 2014, la dette étudiante a dépassé celle des cartes de crédit ou des prêts automobile. Les trois quarts des étudiants commencent leur carrière lestés d’une dette de 30 000 à 100 000 dollars envers leur banque et plus de 10 % d’entre eux finissent par se déclarer en faillite.
Jusqu’à la fin des années 1980, le système libéral américain, qui reposait sur des établissements largement financés par les frais de scolarité, auxquels s’ajoutaient des bourses de l’Etat, s’est révélé tellement efficace qu’il a été progressivement copié par la plupart des pays développés avec plus ou moins d’ampleur. Il a permis de financer une recherche au premier niveau mondial et des infrastructures, matérielles et pédagogiques, qui continuent de faire pâlir d’envie les habitués des facs françaises et de leurs équipements hors d’âge.
Un cercle vertueux devenu vicieux
Mais ce cercle vertueux, qui voulait que l’employeur, par la paye qu’il octroie à sa nouvelle recrue, finance l’excellence universitaire américaine, s’est transformé en cercle vicieux. Il piège le jeune diplômé dans une trappe d’endettement parfois insupportable.
La responsable : l’envolée des frais de scolarité depuis plus de vingt ans. Ceux-ci ont augmenté deux fois plus vite que les coûts de santé, dont l’inflation est pourtant constamment pointée du doigt. En cause, le retrait de l’Etat du financement de l’enseignement supérieur et l’explosion des investissements. Mais aussi l’afflux d’étudiants à la recherche de la clé d’entrée dans la classe moyenne. Les déceptions sont légion de jeunes licenciés d’une université sans grande réputation, qui ont pourtant dépensé 60 000 dollars pour un diplôme leur ouvrant les portes… d’un emploi de serveur (...)
Fonck1 a écrit : ben oui mais que veux tu,les enseignants chez eux gagnent deux fois mieux leur vie qu'en france.
en échange,ils n'ont jamais de grèves.....
Cette fixette sur 'la grève' en France reste un fantasme bien à la mode chez les libéraux de tous poils...
Notre cher Sarkozy ayant bien tenté de faire entré dans les têtes de caboche 'Qu'en France, on n'a plus de grève...' certain irrésistible continuent à verser leur larmes de crocodile sur ce pays de faignant en grève ...
Notre république mise sur ses enfants pour que demain soit meilleurs qu'aujourd'hui, et notre vieillerie ruine le pays pour que leurs vieux jours soient le plus idéal possible...
Un jour il faudra bien choisir, nos vieux ou nos jeunes !
« Le monde ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par des insoumis » (André Gide)
Tous le monde unis, contre tous les autres!