sorry.Jarod1 a écrit : Je parlais à MARSEILLE.![]()
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sinon , tu créches toi-méme dans ce zoo ??
sorry.Jarod1 a écrit : Je parlais à MARSEILLE.![]()
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je viens d'entendre un témoignage à la radio, c'est pas du pipo. le personnel a bien été menacé par cet individu qui se sentait menacé par une autre bande.Rananen a écrit : j ai quand même l impression que cette histoire c est beaucoup de bruit pour rien , aucune arme n a était retrouver , et aucune violence n a était commise .
moi j ai entendu des témoignage contraire !tisiphoné a écrit : je viens d'entendre un témoignage à la radio, c'est pas du pipo. le personnel a bien été menacé par cet individu qui se sentait menacé par une autre bande.

ils ont été touchés d'hallucination collective, ça doit être çaRananen a écrit : moi j ai entendu des témoignage contraire !
les faits sont qu aucunes violences n ont été commise et qu aucune arme n a été retrouver par la police !

La direction des Hôpitaux de Marseille a présenté aujourd'hui aux représentants des salariés un plan destiné à assurer la sécurité des personnels, à la suite d'actes de violence à leur encontre. Ces «30 mesures pour garantir la sécurité des personnels» ont été présentées lors d'un Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM), qui précise dans un communiqué que «des discussions complémentaires avec l'Agence régionale de santé (ARS) sont en cours sur le financement».
Ce plan prévoit notamment :
La fermeture nocturne des points d'entrée à l'hôpital la nuit, et de certains services, accessibles seulement aux personnels
Ceux-ci devraient également être équipés d'appareils permettant d'appeler les services de sécurité
Le développement de la vidéosurveillance
La présence obligatoire d'un membre de la direction en cas d'un dépôt de plainte, pour lequel les personnels seraient également autorisés à ne pas donner leur adresse «pour ne pas avoir peur des représailles»
La création de chambres avec sas de sécurité
La présence de patrouilles diurnes et nocturnes aux urgences, réparties entre police municipale et police nationale.
La CGT et FO expliquent que ces rondes ont été instaurées dès 2006 dans le cadre d'une convention police-justice-hôpital, mais qu'elles ont progressivement disparu. Selon Audrey Jolibois, secrétaire-générale adjointe FO, «une présence policière nuit et jour aux urgences est indispensable, pour qu'il y ait un effet dissuasif».
La CGT considère ces mesures comme «un premier pas, reprenant les revendications des personnels et des organisations syndicales», ce qui l'a conduit à voter pour.
De son côté, FO, premier syndicat à l'AP-HM, a dénoncé des «mesurettes». Le syndicat s'est abstenu lors du vote et n'exclut pas un préavis de grève. «On ne parle pas de financement, ni du calendrier de mise en place, ni de la manière dont cela va se passer. Il n'y a rien de concret garantissant la sécurité des agents!», dénonce Mme Jolibois, «alors qu'il y a des incidents tous les jours».
Le dernier incident grave en date remonte à la nuit du 18 août, quand un infirmier des urgences de la Conception avait été blessé d'un coup de couteau par l'un des meurtriers présumés d'un jeune homme en plein centre-ville. Auparavant, dans la nuit du 12 au 13 août, un homme, blessé par balles dans une tentative de règlements de compte, avait menacé le personnel avec une arme, à l'Hôpital Nord. Après ces deux incidents, la direction avait réclamé un «accompagnement des pouvoirs publics», et le personnel de la Conception avait reçu la visite du premier ministre Jean-Marc Ayrault.
Depuis la fin de la semaine dernière, la police a mis en place un dispositif de patrouilles renforcé des services d'urgence. D'un autre côté, la convention de 2006 entre hôpital et forces de l'ordre est en cours d'actualisation.

Le seul problème serait que les médecins et infirmières devraient également être juges pour savoir qui est crapule ou non. Mais dans l'absolu tu as raison. Je propose même qu'on les achève.Jarod1 a écrit : La meilleure solution serait de laisser crever les crapules (rien à voir avec notre ami Crapulax) blessées par balles dans la rue comme des rats plutôt que de se faire chier à les soigner.