Bouclier fiscal, pour ou contre ?

[Fonck1]

tu imagine même pas les proposition que j ai ...

tapin au bord de la route?

[tisiphoné]

tapin au bord de la route?

mais c'est un métier honorable, tu oublies?

[Fonck1]

mais c'est un métier honorable, tu oublies?

il faut des "petites mains"

[tisiphoné]

il faut des "petites mains"

[dinosaure]

Aux riches.

Pas tout à fait.
Aux très riches.

Voir ma démonstration ci-avant.

[Rananen]

Ne vous en faites pas trop pour les riches... Si on supprime le bouclier fiscal, la Belgique les attend à bras ouverts !!!

et j espère bine que l exil dans ce cas la sera définitif ! c est gens la sont des traitre il doivent être traitez comme tel !

[Fonck1]

comme ca t'auras plus de boulot. :roll: au lieu de le créer en France,il le créeront en Belgique.

[Rananen]

comme ca t'auras plus de boulot. :roll: au lieu de le créer en France,il le créeront en Belgique.

y en aura d autre qui créeront personne n est irremplaçable !

[Fonck1]

y en aura d autre qui créeront personne n est irremplaçable !

tu parles !

[Rananen]

tu parles !

ouah quel argument !

[dinosaure]

comme ca t'auras plus de boulot. :roll: au lieu de le créer en France,il le créeront en Belgique.

Ah oui les "super-entrepreneurs" du CAC40 qui ferment les usines françaises pour ouvrir en Roumanie ou au Vietnam...
Ou les "super-génies" façon Messier qui coulent leur boite et partent avec quelques millions pour les consoler de leur incompétence...

Ce serait vraiment dommage qu'ils se tirent en Belgique.


Pauvres Belges !

[Fonck1]

pour ton info,la France est un des pays ou l'on investi le plus pour la qualité de la main d'œuvre.mais les belges sont pas plus con ni mauvais que nous,il peuvent tout a fait faire le travail a notre place, je sais qu'a travail équivalent,la bas on gagne plus qu'ici,cause de fiscalité,probablement... :roll:

[dinosaure]

pour ton info,la France est un des pays ou l'on investi le plus pour la qualité de la main d'œuvre.mais les belges sont pas plus con ni mauvais que nous,il peuvent tout a fait faire le travail a notre place, je sais qu'a travail équivalent,la bas on gagne plus qu'ici,cause de fiscalité,probablement... :roll:

Pour ton info les ceusses qui partent en Belgique ne créent aucun emploi ni en France, ni en Belgique.

[Fonck1]

Pour ton info les ceusses qui partent en Belgique ne créent aucun emploi ni en France, ni en Belgique.

sources? Ils y dépensent peut être de l'argent,si ca t'es pas venu a l'idée,qui crée emploi et croissance,par la consommation.

[Patrick_NL]

Fiscalité douce, proximité géographique et communauté linguistique ... La Belgique et la Suisse demeurent les deux points de chute préférés des Français qui s'arrachent à la mère patrie pour fuir le fisc. A une heure de Paris en Thalys, la Wallonie est un havre particulièrement accueillant pour les créateurs d'entreprise enrichis: on n'y taxe pas les plus-values! Imaginons, explique Manoël Dekeyser, avocat fiscaliste à Bruxelles et conseil de nombreux candidats, un entrepreneur qui réaliserait 10 millions d'euros de plus-value avec la vente de sa société. En France, il paierait 3 millions d'impôts.
En Belgique: nada. Pas d'ISF non plus. Et sur l'héri­tage, bel avantage, aucun impôt successo­ral si les biens ont été donnés au moins trois ans avant le décès. Même l'immobilier est peu taxé. Les prix y sont d'ailleurs beaucoup plus légers qu'en France.
Enfin, et cela compte beaucoup pour les plus jeunes des exilés, le traitement fiscal privi­légié n'est pas incompatible avec l'exercice d'une activité professionnelle. Bien au contraire, dit Manoël Dekeyser, de nombreux entrepreneurs français utilisent la Belgique comme nouvelle base de développement.
En Suisse, en revanche, pas question de jouir du climat fiscal privilégié tout en montant une nouvelle entreprise. Il faut choisir. Mais cela ne dérange pas vraiment les artistes et autres sportifs de haut ni­veau, dont la carrière se joue hors des frontières helvétiques.
Cela n'empêche pas non plus un industriel « résident» de conti­nuer à gérer des activités hors de Suisse. Mais attention: l'expatriation en Suisse ne vaut la chandelle qu'à partir d'un certain niveau de fortune.
Car il y a tout de même un minimum fiscal à acquitter: l'impôt est basé sur le niveau de dépenses: la valeur locative annuelle du lieu de résidence multipliée par cinq constitue la base d'im­position.
Avec un seuil minimum variable selon les cantons, mais qui tourne autour de 300000 euros à Genève. Le taux de cet impôt forfaitaire est ensuite de 35 %. Facile. En Suisse, on aime vraiment les riches!