Vraie-fausse relocalisation refusée
Le préfet de la Vienne a refusé à l’entreprise Autoliv-Isodelta, groupe suédois qui produit des volants et qui a licencié une centaine d’employés, de faire venir dans la Vienne des ouvriers tunisiens, a-t-on appris hier auprès de la préfecture.
Autoliv souhaitait faire venir sur son site de Chiré-en-Montreuil une trentaine d’ouvriers de l’usine tunisienne d’El Nadhour, dont la production est arrêtée après un incendie qui a ravagé les bâtiments, au lendemain de Noël.
« Qu’ils assument »
Je sens que certains vont nous expliquer qu'il faut accepter ça au nom de "la compétitivité".
Et on ose critiquer les "Conti" pour avoir casser quelques chaises !