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Pour en venir à cette conclusion, la chercheuse a mené son étude auprès de 1804 Britanniques, de 23 à 83 ans. Particularité : ce ne sont que des jumelles, vraies ou fausses !

Alors que les jumelles partagent les mêmes gênes, certaines ont trouvé leur point G, alors que d'autres non, d'où la conclusion que le fameux, le tant recherché point G est complètement subjectif !
Ce serait donc l'environnement -tel que le partenaire...-, et non pas une influence génétique qui mènerait au "Graal".

Son existence a toujours été au centre des débats entre scientifiques. Cette recherche compte donc plus d'un détracteur, comme Willy Pasini, sexologue genevois : "Comment peut-on prétendre que le point G n'existe pas quand 20% à 30% des femmes l'ont trouvé ?". La sexologue Beverly Whipple, qui a popularisé la notion de point G, affirme que cette étude n'est pas fiable car elle n'a pas pris en compte certaines pratiques sexuelles, ainsi que les lesbiennes.

Bon, tout ça est bien rassurant pour celles qui ne l'avaient pas encore trouvé, mais un peu déstabilisant pour les autres tout de même...

envoutante a écrit : Ben alors, on m'a tjrs dit en haut à gauche. Quelle arnaque !

clint a écrit : Ouais...à propos...la marche arrière ?

Ce serait donc l'environnement -tel que le partenaire...-, et non pas une influence génétique qui mènerait au "Graal".

Olga a écrit : Que pensez vous du point qui appuie sur la vessie ? Après une longue envie de pisser c'est une sensation agréable qui advient. Sinon un autre point mais plus facile d'accès avec un doigt puisqu'il faut faire le crocher au niveau de l'entrée en remontant.

Patrick_NL a écrit : Chercheurs British tout est dit: les British sont a peu pret aussi doues pour le sexe que pour la cuisine .