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Qui n'a pas trouvé sa première pelle "dégoutante" ?

Qui n'a jamais dit "la fellation" ou "lécher un anus", moi jamais ?

Ou "Avaler, et puis quoi encore !" ... "La sodo...tu n'as qu'à t'enculer tout seul"

Or, au fil du temps, on finit par y passer et même à apprécier tout ça.

Pourquoi cette escalade ? Pourquoi ce qui nous dégoute hier nous excite aujourd'hui et nous semblera timoré demain ?

Oui, pourquoi ?????????????????????

ben, parce que au début, on apprécie tellement le "basique" c'est si bon,qu'on joue toujours la même partition
et puis vient le moment où on a fait le tour et on passe à plus pimenté, surtout si on change de partenaires, on change d'habitudes et c'est rafraichissant .

Je pense que ça ne répond pas à ma question, mais peut-être t'ennuie t-elle auquel cas tu n'as qu'à le dire !

Je parle de préjugés qui s'effondrent et de sensations qui changent.

clint a écrit : Je pense que ça ne répond pas à ma question, mais peut-être t'ennuie t-elle auquel cas tu n'as qu'à le dire !

Je parle de préjugés qui s'effondrent et de sensations qui changent.

attends les préjugés s'estompent avec la pratique, c'est normal, au début, c'est normal d'être inhibé, et puis on découvre son corps, petit à petit et on apprend à en jouer comme d'un instrument de musique, chaque sensation en appelle d'autres, on découvre l'autre aussi et on s'ouvre.

et puis si on n'a pas gouter d'un plat c'est dur de porter un jugement.

et puis je crois que c'est une question de confiance, certaines personnes te mettent à l'aise.

et surement qu'il y a une progression normale dans nos actes aussi.

Oui.

clint a écrit : Oui.

saleté, étouffe toi

tisiphoné a écrit : saleté, étouffe toi

Ben quoi. Je bois tes paroles. Enfin, tes écrits plutôt.

Question d'habitude, de perception, de préjugés, etc.
En réalité l'être humain peut accepter beaucoup de choses, du moment qu'il y trouve son compte. Avaler, quand on y pense, ce n'est pas si horrible que ça. La sodomie, avec du lubrifiant, ce n'est pas si terrible non plus. Ce qui empêche une femme d'avaler c'est quoi ? De croire que c'est sale, que ça la rabaisse ? Regardez dans la tribu des Baruyas, les femmes avalent volontiers parce qu'elles pensent que c'est nutritif.

En réalité on mangerait le corps de l'autre si on pouvait. On croquerait dans la chaire, on avalerait ses lèvres.

Il faut comprendre que faire ces choses, ce n'est pas sale ni dégradant, c'est la fusion, la symbiose des corps, on transcende, ça passe par tous les trous, ça avale tout (évitons le caca car c'est mauvais pour l'organisme, mais le pipi allez-y.) Il ne faut pas avoir peur d'être bestial. On peut être doux et bestial un autre jour, selon les envies...

Qui n'a pas trouvé sa première pelle "dégoutante" ? Non

Qui n'a jamais dit "la fellation" ou "lécher un anus", moi jamais ? Oui :oops:

Ou "Avaler, et puis quoi encore !" ... "La sodo...tu n'as qu'à t'enculer tout seul" Oui et non

Or, au fil du temps, on finit par y passer et même à apprécier tout ça. Tout à fait d'accord et encore, encore

Pourquoi cette escalade ? Pourquoi ce qui nous dégoute hier nous excite aujourd'hui et nous semblera timoré demain ?
Oui, pourquoi ????????????????????? [/quote]


Dégouté c'est un bien grand mot, la peur de l'inconnu, les préjugés, "les filles qui font ça sont des s...." et puis on s'aperçoit que quand on aime, rien n'est "sale". L'amour, le sexe, sont des échanges, un partage, un jeu.

La notion de saleté a drôlement évoluée : au Moyen-Âge, la saleté corporelle était considéré comme protectrice, etc...
Aujourd'hui, on vit dans un monde aseptisé d'un côté (avoir une voiture propre, un appart' propre, rangé, avoir une hygiène du feu de Dieu, etc), et de l'autre, on est extrêmement "sale" (le sexe se débride, soirées encore plus alcoolisées finissant aux toilettes, les drogues, etc...).

Le sexe évolue selon son expérience, et plus on avance, plus on veut découvrir, et c'est normal, car c'est presque dans la nature de l'Homme de chercher ses limites. Alors, peut-on appeler ça perversion ? Pour certains, oui, pour d'autres non. C'est une question subjective, proportionnellement inverse à notre expérience et nos découvertes : plus on découvre, moins on trouve que c'est de la perversion (en général, avec des exceptions).

Est-ce dans la nature de l'homme de chercher ses limites ou c'est simplement qu'il n'a vraiment rien d'autre à foutre finalement ?

Sov Strochnis a écrit : Est-ce dans la nature de l'homme de chercher ses limites ou c'est simplement qu'il n'a vraiment rien d'autre à foutrefinalement ?

Il y a plein de choses à foutre
Pour autant faut il chercher à se retrouver dans le livre des records?

Barbapoutre a écrit : Il y a plein de choses à foutre
Pour autant faut il chercher à se retrouver dans le livre des records?

Qui parle de livre de record ? On peut parler de ses limites personnelles.