L'enfer ou les lectures interdites ...
Posté : 25 novembre 2008 12:52
"L'Enfer" C'est aussi comme cela que l'on nomme la partie de la bibliothèque où sont enfermés les livres que l'on ne peut pas mettre entre toutes les mains.
Il y a encore 40 ans, il était très difficile de se procurer des ouvrages dits licencieux, il fallait des accointances avec un libraire pour se les procurer, et souvent ce faisant vous risquiez de vous retrouver sous la loupe de la police des moeurs.
J'ai eu l'avantage de me procurer sous le manteau l'histoire d'Ô, Thérése et Isabelle et bien d'autres titres dont je ne me souviens même plus, à une époque où ces livres étaient presque interdits.
Jean jacques Pauvert a beaucoup oeuvré pour éditer ces livres. C'est grâce à lui que le « marquis de Sade » est sorti de l'enfer : il a été le premier à en publier l'intégrale, au prix de mille procès. les bien-pensants ne lui ont rien ménagé.
Nous devons à l'époque Giscard d'Estaing la liberté de projeter des films pornographiques ou avec des actes sexuels non simulés en salle. ...
Qui s'en souvient?
Matthias et Jean jacques Pauvert ont écrit une anthologie du coït parce que dans chacun des ouvrages il fallait passer beaucoup de temps à feuilleter les pages du livre pour enfin tomber sur le passage intéressant car rare, et donc souvent ces scènes étaient plutôt difficiles à dénicher.
Peut-on ici citer quelques passages?
En attendant je vous livre un quatrain de Pierre Louÿs qui pourrait rentrer dans le jeux de j'aime<=>j'aime pas.
Je n'aime pas à voir l'époux à la mairie
Qui dès que son désir reçoit le sceau légal
Flanque sa pine au con de sa femme chérie
pour remplir en public le devoir conjugal.
Il y a encore 40 ans, il était très difficile de se procurer des ouvrages dits licencieux, il fallait des accointances avec un libraire pour se les procurer, et souvent ce faisant vous risquiez de vous retrouver sous la loupe de la police des moeurs.
J'ai eu l'avantage de me procurer sous le manteau l'histoire d'Ô, Thérése et Isabelle et bien d'autres titres dont je ne me souviens même plus, à une époque où ces livres étaient presque interdits.
Jean jacques Pauvert a beaucoup oeuvré pour éditer ces livres. C'est grâce à lui que le « marquis de Sade » est sorti de l'enfer : il a été le premier à en publier l'intégrale, au prix de mille procès. les bien-pensants ne lui ont rien ménagé.
Nous devons à l'époque Giscard d'Estaing la liberté de projeter des films pornographiques ou avec des actes sexuels non simulés en salle. ...
Qui s'en souvient?
Matthias et Jean jacques Pauvert ont écrit une anthologie du coït parce que dans chacun des ouvrages il fallait passer beaucoup de temps à feuilleter les pages du livre pour enfin tomber sur le passage intéressant car rare, et donc souvent ces scènes étaient plutôt difficiles à dénicher.
Peut-on ici citer quelques passages?
En attendant je vous livre un quatrain de Pierre Louÿs qui pourrait rentrer dans le jeux de j'aime<=>j'aime pas.
Je n'aime pas à voir l'époux à la mairie
Qui dès que son désir reçoit le sceau légal
Flanque sa pine au con de sa femme chérie
pour remplir en public le devoir conjugal.