Israël: un ministre souhaite la mort de Nasrallah
Posté : 12 avril 2009 14:30
Un ministre israélien a appelé dimanche à l'élimination du chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah
"Nasrallah mérite la mort et j'espère que ceux qui savent quoi faire de lui (en Israël) sauront agir et lui réserver le sort qui lui doit lui revenir", a lancé le ministre des Transports Israël Katz à la radio de l'armée.
C'est la première fois qu'un membre du nouveau cabinet de Benjamin Netanyahu (droite) s'exprime sur le mouvement chiite libanais.
Au cours de l'été 2006, Israël a mené une guerre contre le Hezbollah, à la suite de la capture de deux de ses soldats par la milice chiite près de la frontière libano-israélienne. Ce conflit a fait plus de 1.200 tués au Liban, civils pour la plupart, et 160 tués, côté israélien, en majorité des militaires.
Le ministre Israël Katz s'exprimait à la suite de l'annonce mercredi 8 avril par le procureur général égyptien, Abdel Meguid Mahmoud, de l'arrestation de 49 personnes liées au Hezbollah, soupçonnées de planifier des attaques en Egypte.
De son côté, Hassan Nasrallah a reconnu le vendredi 10 avril qu'un Libanais arrêté en Egypte était bien membre de son mouvement mais qu'il s'y trouvait en "mission logistique" pour aider militairement les Palestiniens de Gaza dans leur lutte contre Israël mais pas pour déstabiliser l'Egypte.
"Nasrallah a admis que des membres de son organisation étaient impliqués dans la contrebande d'armes iraniennes vers la bande de Gaza pour attaquer Israël. Il s'agit d'un acte de guerre au plein sens du terme et Israël doit agir en conséquence et expliquer notamment dans le monde que le Hezbollah est une organisation terroriste qui doit être désarmée", a plaidé Israël Katz. "Aujourd'hui, l'Egypte doit comprendre que l'implication de l'Iran dans la bande de Gaza via le Hamas et le Hezbollah constitue une menace intérieure pour le régime égyptien."
Israël a lancé une offensive de trois semaines en décembre-janvier derniers dans la bande de Gaza qui a fait a fait plus de 1.400 morts palestiniens, dont des centaines de civils, selon des sources palestiniennes. Côté israélien, 13 soldats et civils ont péri.
"Nasrallah mérite la mort et j'espère que ceux qui savent quoi faire de lui (en Israël) sauront agir et lui réserver le sort qui lui doit lui revenir", a lancé le ministre des Transports Israël Katz à la radio de l'armée.
C'est la première fois qu'un membre du nouveau cabinet de Benjamin Netanyahu (droite) s'exprime sur le mouvement chiite libanais.
Au cours de l'été 2006, Israël a mené une guerre contre le Hezbollah, à la suite de la capture de deux de ses soldats par la milice chiite près de la frontière libano-israélienne. Ce conflit a fait plus de 1.200 tués au Liban, civils pour la plupart, et 160 tués, côté israélien, en majorité des militaires.
Le ministre Israël Katz s'exprimait à la suite de l'annonce mercredi 8 avril par le procureur général égyptien, Abdel Meguid Mahmoud, de l'arrestation de 49 personnes liées au Hezbollah, soupçonnées de planifier des attaques en Egypte.
De son côté, Hassan Nasrallah a reconnu le vendredi 10 avril qu'un Libanais arrêté en Egypte était bien membre de son mouvement mais qu'il s'y trouvait en "mission logistique" pour aider militairement les Palestiniens de Gaza dans leur lutte contre Israël mais pas pour déstabiliser l'Egypte.
"Nasrallah a admis que des membres de son organisation étaient impliqués dans la contrebande d'armes iraniennes vers la bande de Gaza pour attaquer Israël. Il s'agit d'un acte de guerre au plein sens du terme et Israël doit agir en conséquence et expliquer notamment dans le monde que le Hezbollah est une organisation terroriste qui doit être désarmée", a plaidé Israël Katz. "Aujourd'hui, l'Egypte doit comprendre que l'implication de l'Iran dans la bande de Gaza via le Hamas et le Hezbollah constitue une menace intérieure pour le régime égyptien."
Israël a lancé une offensive de trois semaines en décembre-janvier derniers dans la bande de Gaza qui a fait a fait plus de 1.400 morts palestiniens, dont des centaines de civils, selon des sources palestiniennes. Côté israélien, 13 soldats et civils ont péri.