le chef des Tigres tamouls encerclé
Posté : 24 avril 2009 18:35
Selon un porte-parole des Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE), qui s'est rendu mercredi aux troupes gouvernementales, le chef des Tigres s'apprête à livrer une dernière bataille, a annoncé vendredi le général Shavendra Silva à des journalistes.
Le porte-parole des Tigres a assuré "que Prabhakaran vivait à l'intérieur (du périmètre où sont retranchés les Tigres, ndlr) et qu'il y resterait jusqu'au dernier moment", a ajouté le général. "Mais, même à la dernière minute, il tentera de s'échapper", a précisé le général.
Acculé et invisible depuis 18 mois, Tigre numéro un, comme on le surnomme, est depuis plus de 30 ans à la tête d'une guérilla sanglante et jusqu'au-boutiste. Comme leur chef, les principaux cadres des "Tigres", préférant mourir plutôt que se rendre, portent une pastille de cyanure.
Face à la vaste offensive des forces gouvernementales, de nombreux combattants rebelles veulent aujourd'hui se rendre, a ajouté le général Shavendra Silva, qui s'exprimait devant des journalistes transportés en avion, puis en hélicoptère à Kilinochchi, l'ancienne "capitale" politique des Tigres tamouls, dans le nord du pays, à 330 km de la capitale du Sri Lanka, Colombo.
Le porte-parole des Tigres a assuré "que Prabhakaran vivait à l'intérieur (du périmètre où sont retranchés les Tigres, ndlr) et qu'il y resterait jusqu'au dernier moment", a ajouté le général. "Mais, même à la dernière minute, il tentera de s'échapper", a précisé le général.
Acculé et invisible depuis 18 mois, Tigre numéro un, comme on le surnomme, est depuis plus de 30 ans à la tête d'une guérilla sanglante et jusqu'au-boutiste. Comme leur chef, les principaux cadres des "Tigres", préférant mourir plutôt que se rendre, portent une pastille de cyanure.
Face à la vaste offensive des forces gouvernementales, de nombreux combattants rebelles veulent aujourd'hui se rendre, a ajouté le général Shavendra Silva, qui s'exprimait devant des journalistes transportés en avion, puis en hélicoptère à Kilinochchi, l'ancienne "capitale" politique des Tigres tamouls, dans le nord du pays, à 330 km de la capitale du Sri Lanka, Colombo.