La présidence de l'université de Perpignan porte plainte...
Posté : 15 mai 2009 12:46
...contre l'UNI
Je suis scandalisé!
Les bloqueurs, on a rien le droit de leur dire ni de leur faire alors qu ils mettent a mal deux droits fondamentaux la liberté d'aller et venir et le droit à l'éducation. De plus, ils n'ont pas le droit de faire grève car ne sont pas salariés. Enfin, ils mettent en péril la scolarité de "vrais étudiants".
Mais lorsque l UNI interpelle, de manière humoristique, les autorités sur les dangereuses conséquences de tels blocages on porte plainte. C' EST SCNDALEUX!
Source AFP Les échosLa direction de l'université de Perpignan va attaquer en diffamation le syndicat étudiant UNI, qui a mis en vente l'université sur le site de vente aux enchères eBay, a-t-elle annoncé jeudi.
Dans un communiqué, l'université de Perpignan a indiqué vouloir porter "cette affaire devant les tribunaux compétents en matière de diffamation", estimant notamment être victime d'une "entreprise idéologique de démolition et de sape de l'image universitaire".
Il s'agit d'"une opération cynique de dévalorisation et de mépris vis-à-vis d'une université française", a ajouté la présidence de l'établissement catalan.
"Il n'y a aucune diffamation, qu'ils attaquent", a rétorqué le délégué national de l'UNI, Rémi Martial, interrogé par l'AFP, pour lequel "cette vente est symbolique et ironique".
Benoît Roux, adhérent du syndicat étudiant qui a mis l'annonce en ligne, a indiqué que l'idée était une "décision collégiale, à l'image de ce qui a déjà été fait à Tours". "eBay a retiré l'annonce jeudi après-midi", a-t-il précisé, car elle allait "à l'encontre du règlement car nous ne sommes pas propriétaires du bien".
Le descriptif ironique de l'annonce vantait la présence de grands parkings "en raison d'une utilisation effective (seulement) le premier semestre universitaire depuis quatre ans" et de bâtiments nécessitant des "investissements importants en raison de multiples dégradations causées par des occupations répétées".
Selon M. Roux, 19 personnes avaient depuis mardi surenchéri le prix de vente initial d'un euro, la dernière proposition dépassant légèrement les 200 euros.
A l'université de Perpignan, "les examens se tiendront comme prévu d'ici à la fin juin. Rien ne peut justifier un tel acharnement à dévaloriser, calomnier et injurier notre établissement", a souligné dans son communiqué la présidence.
Je suis scandalisé!
Les bloqueurs, on a rien le droit de leur dire ni de leur faire alors qu ils mettent a mal deux droits fondamentaux la liberté d'aller et venir et le droit à l'éducation. De plus, ils n'ont pas le droit de faire grève car ne sont pas salariés. Enfin, ils mettent en péril la scolarité de "vrais étudiants".
Mais lorsque l UNI interpelle, de manière humoristique, les autorités sur les dangereuses conséquences de tels blocages on porte plainte. C' EST SCNDALEUX!
Qu'ils sont cons ces jeunes de droite. 
