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Les voitures électriques sont elles l’avenir de l’automobile ? Elles sont en tout cas les stars du salon automobile de Francfort, qui s’ouvre aujourd’hui à la presse et jeudi au grand public. Renault présente 4 prototypes. Peugeot va dévoiler un modèle dont la sortie est prévue fin 2010. On en parle depuis longtemps, cette fois, c’est vraiment le démarrage…


Oui le courant est lancé. Mais avant qu’elle ne devienne la voiture de M. Tout-le-monde, il y a d’énormes d’obstacles. Le principal, ce sont les batteries. Encore très chères : 12 000 euros par véhicule. Le temps d’autonomie reste faible et celui de rechargement long. Et puis il va falloir couvrir la France de bornes, de prises. Tout cela peut s’arranger avec le temps. Mais il y a plus délicat : les batteries sont fabriquées avec des métaux rares très difficiles à exploiter en grande quantité, comme le lithium. La prévision de Renault - 10% des voitures vendus dans le monde dans 10 ans seront électriques - est donc largement gonflée.

Mais au moment où on créé une taxe carbone, est-ce que la voiture électrique n’offre pas aussi un formidable avantage écologique ?

C’est discutable. C’est vrai, il n’y a pas de pot d’échappement. La voiture sans pétrole, c’est zéro émission de gaz à effet de serre. Mais, en amont de la chaîne, l’électricité, il faut la produire. Si elle provient, comme dans beaucoup de pays, de centrales à charbon, le gain sur la pollution est quasiment nul. En France, nous avons le nucléaire, mais en période de pointe, il ne suffit déjà plus à couvrir à lui seul les besoins de consommation électrique. Quant aux batteries, elles posent un gros problème de recyclage. Tout n’est pas rose au pays de la voiture verte.

Mais alors pourquoi les constructeurs la mettent-ils tellement en avant ?

Pour une bonne et une mauvaise raison. La bonne, c’est qu’on est à un tournant historique. C’en est fini de la civilisation de l’automobile au sens d’une technologie unique. La voiture électrique va se développer pour certains usages : le véhicule urbain par exemple, des flottes d’entreprises. La raison moins noble, c’est qu’il s’agit d’un excellent coup de pub pour les constructeurs. Ils exploitent avec cette vitrine un effet d’image. Pour produire des voitures traditionnelles qui vont, pour longtemps encore, représenter plus de 95% de leurs ventes.

cyrus a écrit : ouaip, ben l'écologie a des contres parties. Prenons l'exemple du colza très gourmand en eau, les maison en bois (traitées un max),... :roll:

Rananen a écrit :
c'est pas l écologie qui est en cause . c'est notre façon de l appréhendez . c'est pas seulement l'utilisation de la voiture thermique qui n'est pas durable , c'est un mode de vie qui continuerais a faire place a des mode de déplacement individuel massif .

ou nous changeons de mode de vie ou nous disparaitrons .

Fonck1 a écrit : tout le monde ne prends pas la bus,tout le monde ne prends pas le train,tout le monde n'a pas le bus qui passe a coté de sa maison,tout le monde n'a pas un travail a moins d'une demi heure de véhicule,tout le monde ne vis pas dans une petite bulle comme toi.

Rananen a écrit : et ben dans l avenir il faudra que tout le monde si mette .
c'est pas plus compliquez que ça .

Rananen a écrit :et ben dans l avenir il faudra que tout le monde si mette .
c'est pas plus compliquez que ça .

Fonck1 a écrit : il faudra que tu comprennes un jour que l'uniformisation du monde n'existe pas,et encore moins a la mode coco! c'est la pire de toute! ma copine bulgare me disait qu'ils avaient des centrales au gaz par quartier,que c'etait tellement le bordel,qu'ils ouvraient les fenêtres en plein hiver parce qu'il faisait trop chaud dan,s les apparts.tu parles d'une gestion.
le monde du futur,c'est des voitures propres,e plus de l'écologie,c'est du travail,c'est du développement,c'est des emplois!

Rananen a écrit : aucun rapport .
les voiture propre ca n existe pas et ca n existera jamais . l individualisation du transport est par définition nuisible a l écologie est donc a la survie de l etre humain .