Quand l'UMP se chie dessus
Posté : 04 octobre 2009 16:51
Les derniers résultats dans une ville aussi à droite que Rambouillet inquiètent les têtes pensantes de l'UMP et n'annoncent rien de très rassurant pour les prochaines échéances. Le parti présientiel et de l'actuelle majorité doit revoir son logiciel.
Sans parler d'un déficit de l'Etat devenu abyssal et après avoir siphoner le FN, destabiliser le PS, fait imploser le modem et absorber le MPF et le CNPT, voilà que les verts leurs marchent sur les pieds. La stratégie de l'ouverture a trouvé ses limites et face à la montée, peut être durable, des verts, l'UMP va devoir ouvrir ses coffres-forts et lâcher des postes.
Les problèmes, et pas des moindres, qui vont se poser pour s'ouvrir aux écolos vont être d'ordre idéologiques et financiers. En effets, sortir du nucléaire, bânir les voitures dans les zones urbaines et les camions des autoroutes, taxer jusqu'à l'osse les entreprises qui font leur beurre et celui de l'Etat sur les énergies fossiles, favoriser le transport fluvial et par le rail au détriment du routier et ses péages très rentables, favoriser les énérgies renouvelables et gratuites au détriment des épuisables et payantes, tout celà semble être plus près d'un doux rêve que de la réalité. L'on voit bien qu'en fin de comptes, passer une simple couche de couleure verte sur la façade de la maison UMP tout en y remplissant le grenier avec le blé de la Total, d'EDF, de GDF , d'Areva, et d'autres maîtres dans l'art de pourrir la planète, s'annonce très acrobatiques.
L'UMP a peut être plus à y perdre qu'à y gagner en répondant aux doux appels des sirènes de l'écolo-attitude. Surtout que les verts, ont déjà connu la griserie des 16 % de l'éléctorat et nous savons tous où tout celà les a amenés. Aujourd'hui, la montée des verts est plus due à une dafaillence des socialistes qu'à un toute autre renouveau des écolos. L'entrée de personnalités civiles en politique n'a rien de très nouveau, Chirac avait donner dans la sorte, non, les verts restent sur un fond de division car devant une unité, qui n'est que de façade, deux tendances se dégagent : celle des " pures" et celle des" dures". Les professionnels de la politique, du cumul des mandats et des médias, acompagnés par des intellectuels, forment le gros des bataillons des "pures" et des gauchistes, des syndicalistes, et des adéptes de la révolution par l'anti-conformisme, l'anti-consumérisme et l'anti-capitalisme, forment les bataillons des "dures".
Personnelment, je considère ce "came-back" des verts comme une éphémère griserie qui ne plonge dans de doux rêves que tous ceux qui veulent bien y croire. La Bruyère disait dans son temps que la mode n'était qu'une affaire de sots.
Sans parler d'un déficit de l'Etat devenu abyssal et après avoir siphoner le FN, destabiliser le PS, fait imploser le modem et absorber le MPF et le CNPT, voilà que les verts leurs marchent sur les pieds. La stratégie de l'ouverture a trouvé ses limites et face à la montée, peut être durable, des verts, l'UMP va devoir ouvrir ses coffres-forts et lâcher des postes.
Les problèmes, et pas des moindres, qui vont se poser pour s'ouvrir aux écolos vont être d'ordre idéologiques et financiers. En effets, sortir du nucléaire, bânir les voitures dans les zones urbaines et les camions des autoroutes, taxer jusqu'à l'osse les entreprises qui font leur beurre et celui de l'Etat sur les énergies fossiles, favoriser le transport fluvial et par le rail au détriment du routier et ses péages très rentables, favoriser les énérgies renouvelables et gratuites au détriment des épuisables et payantes, tout celà semble être plus près d'un doux rêve que de la réalité. L'on voit bien qu'en fin de comptes, passer une simple couche de couleure verte sur la façade de la maison UMP tout en y remplissant le grenier avec le blé de la Total, d'EDF, de GDF , d'Areva, et d'autres maîtres dans l'art de pourrir la planète, s'annonce très acrobatiques.
L'UMP a peut être plus à y perdre qu'à y gagner en répondant aux doux appels des sirènes de l'écolo-attitude. Surtout que les verts, ont déjà connu la griserie des 16 % de l'éléctorat et nous savons tous où tout celà les a amenés. Aujourd'hui, la montée des verts est plus due à une dafaillence des socialistes qu'à un toute autre renouveau des écolos. L'entrée de personnalités civiles en politique n'a rien de très nouveau, Chirac avait donner dans la sorte, non, les verts restent sur un fond de division car devant une unité, qui n'est que de façade, deux tendances se dégagent : celle des " pures" et celle des" dures". Les professionnels de la politique, du cumul des mandats et des médias, acompagnés par des intellectuels, forment le gros des bataillons des "pures" et des gauchistes, des syndicalistes, et des adéptes de la révolution par l'anti-conformisme, l'anti-consumérisme et l'anti-capitalisme, forment les bataillons des "dures".
Personnelment, je considère ce "came-back" des verts comme une éphémère griserie qui ne plonge dans de doux rêves que tous ceux qui veulent bien y croire. La Bruyère disait dans son temps que la mode n'était qu'une affaire de sots.