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Quelle légitimité pour des syndicats qui représentent moins de 10 % de l'ensemble des salariés d'une entreprise?

Dans l'entreprise, dans laquelle je suis salarié, un syndicat, dont je ne citerai pas le nom mais qui commence par C et finit par T , représente moins de 10 % de l'ensemble des salariés. Je m'interroge sur la légitimité de ce syndicat à nous représenter lors des NAO ( Négociation Annuelle Obligatoire ). Comme par hasard, les seules augmentations de salaires obtenus n'ont concérnées que les " encartés " au syndicat.

D'autre part, lors des dernières éléctions prud'hommales, je suis aller me renseigné à l'inspection du travail pour savoir si je pouvais me présenter et là j'ai appris qu'il me fallait impérativement la bénédiction du syndicat de mon entreprise et là ça été le chantage à la carte : " tu prend ta carte et je suis OK pour que tu te présente au prochaine éléctions prud'hommales " . Sans commentaires.

Encore un sujet "dans l'obligation" de faire des choses.tu as une vision de la société égale à une dictature sanz.

sanz a écrit : Quelle légitimité pour des syndicats qui représentent moins de 10 % de l'ensemble des salariés d'une entreprise?

Dans l'entreprise, dans laquelle je suis salarié, un syndicat, dont je ne citerai pas le nom mais qui commence par C et finit par T , représente moins de 10 % de l'ensemble des salariés. Je m'interroge sur la légitimité de ce syndicat à nous représenter lors des NAO ( Négociation Annuelle Obligatoire ). Comme par hasard, les seules augmentations de salaires obtenus n'ont concérnées que les " encartés " au syndicat.

D'autre part, lors des dernières éléctions prud'hommales, je suis aller me renseigné à l'inspection du travail pour savoir si je pouvais me présenter et là j'ai appris qu'il me fallait impérativement la bénédiction du syndicat de mon entreprise et là ça été le chantage à la carte : " tu prend ta carte et je suis OK pour que tu te présente au prochaine éléctions prud'hommales " . Sans commentaires.

bon , Sanz faut un peu arrêter la victimisation et la contemplation des phénomènes..
- les autres syndicats ils font combien ? plus de 10% non ? donc au moins 90% des représentations syndicales de TA boite, qui peuvent discuter de ta NAO.
- tu peux créer ton syndicat toi qui a plein d'idées virtuelles, passe aux actes, tu n'a besoin que des votants pour le créer
- comment peux tu nous faire croire que les seules augmentations concernent les encartés à 10% du personnel, ce ne sont pas des commissions paritaires..? je pige pas là..
- si tu veux te présenter aux prud'hommales il faut appartenir à un syndicat, je ne vois pas où est le problème, à part vouloir te présenter comme Jean sarkozy
- ton message est flou, si tu en veux à un syndicat c'est ton droit, mais ce n'est pas le tien de critiquer une entité que tu peux remplacer démocratiquement

ras le bol des mecs qui critiquent mais qui savent ou sonner en cas de probleme ,
j'ai connu trop celà pour que ca ne me mette pas en rogne..

SVP... ne m'accusez pas tout de suite de H.S., du moins pas avant d'avoir réflèchi sur mes propos fussent-ils parfois relevant de l'analogie.

Tout semble se passer, en France, comme si nous devrions encore accepter les conditions imposées par les vainqueurs d'alors... c'est-à-dire en 1945 soit plus de 64 ans après... et devrions nous y tenir coûte que coûte... c'est le cas de le dire.

Rassurez-vous il n'y a pas que les institutions françaises pour continuer de défendre âprement des privilèges - alors peut-être historiquement justifiés momentanément - mais ne l'étant plus aujourd'hui.

Mon analogie portera sur les mêmes attitudes, les mêmes comportements et les mêmes résultats institutionnels et sociétaux... sans même parler des effets sociaux... dans le champ d'action de la R.A.D.P. (donc la République Algérienne Démocratique et Populaire) - si vous croyez percevoir des relents idéologiques tant en France qu'en Algérie... ne vous étonnez pas ce n'est sans doute pas un hasard ou une coïncidence - là nous somme 47 ans après... mais qu'est-ce que quelques années de plus ou de moins au regard de certitudes idéologiques et des intérêts devenant permanents ?

Dans les deux cas nous nous retrouvons - du moins pour celles et ceux acceptant d'observer, de constater, de réflèchir et d'en tirer des conclusions - devant des vainqueurs historiques ayant de ce fait accéder à des pouvoirs et des privilèges qu'ils n'entendent plus abandonner... que ce soit au Nord ou au Sud de la Méditerranée.

Quel est le point commun concret ?

A l'occasion d'une réalité historique - à laquelle j'ai plus ou moins participé - je me retrouve dans le camp des vainqueurs et, de ce fait, j'obtiens que me soient accordés alors - mythologiquement et institutionnellement - les avantages liés à une position dominante alors ( un trust relativement hégémonique en quelque sorte...) dont je défends depuis, bec et ongle, les privilèges... MES PRIVILEGES.

Peut-être devriez-vous penser en fonction de deux termes : "Alors" et "Aujourd'hui"...

Je ne voudrais pas vous imposer d'y ajouter un troisième terme : "Demain"... du moins provisoirement.

vous savez,tout cela,c'est vos enfants,et nos enfants qui le payeront un jour,on leur met une enclume sur la tête,c'est c'est pas très rigolo de commencer sa vie avec 50 000 euros de dette,quand on nous coupe d'entrée le cordon.....
aujourd'hui,les pribvilèges des uns et autres devraient etre coupés a la tondeuse,afin de redresser ce pays avant que tout le monde sombre....ou dans des dettes qui deviendront la propriété d'un riche chinois,ou dans une guerre mondiale qui tuera vos enfants comme les miens.
bref.

on a compris, tu nne les aimes pas, mais heu spa la peine de raconter des mensonges aussi étriqués

Je n’augmenterai pas les impôts, mais au contraire ferai tout pour les baisser.Le petit Nicolas. "promesse de campagne"

ouais... mais bon, y'avait pas encore la crise....

metanova a écrit : ouais... mais bon, y'avait pas encore la crise....

c'est bien ca le pire