Pour ou contre l’envoi de troupes supplémentaires?
Posté : 16 décembre 2009 19:09
Pour le député PS Manuel Valls, l'envoi de troupes supplémentaires en Afghanistan est une "nécessité", car il "faut gagner la guerre pour gagner la paix".
A la veille du débat sur l'Afghanistan à l'Assemblée nationale, le député-maire d'Evry, dont la voix est souvent discordante au sein du PS, a affirmé mardi 15 décembre sur son blog : "Ma position est claire : l'envoi de soldats supplémentaires est une nécessité".
Quelle stratégie française pour l’Aghanistan? Ouvrant le débat - sans vote - organisé, ce mercredi, à l’Assemblée nationale, Bernard Kouchner a appelé à plancher sur les «objectifs» avant de s’interroger sur les «effectifs», alors que le président américain, Barack Obama, «nous demande d’envoyer des hommes supplémentaires».
Alors même que son collègue Bernard Kouchner estime qu'«il n’y a pas besoin de renforcer le nombre de nos troupes» en Afghanistan, le ministre de la Défense, Hervé MORIN, évoque plusieurs possibilités pour la France, qui seront tranchées à la conférence de Londres en janvier.
Cette participation, a-t-il précisé, "peut prendre plusieurs formes", un "renforcement de notre aide au développement", une "aide à la formation de la police ou de l'armée" afghanes ou "l'envoi de moyens militaires supplémentaires", comme le réclame Washington.
A la veille du débat sur l'Afghanistan à l'Assemblée nationale, le député-maire d'Evry, dont la voix est souvent discordante au sein du PS, a affirmé mardi 15 décembre sur son blog : "Ma position est claire : l'envoi de soldats supplémentaires est une nécessité".
Quelle stratégie française pour l’Aghanistan? Ouvrant le débat - sans vote - organisé, ce mercredi, à l’Assemblée nationale, Bernard Kouchner a appelé à plancher sur les «objectifs» avant de s’interroger sur les «effectifs», alors que le président américain, Barack Obama, «nous demande d’envoyer des hommes supplémentaires».
Alors même que son collègue Bernard Kouchner estime qu'«il n’y a pas besoin de renforcer le nombre de nos troupes» en Afghanistan, le ministre de la Défense, Hervé MORIN, évoque plusieurs possibilités pour la France, qui seront tranchées à la conférence de Londres en janvier.
Cette participation, a-t-il précisé, "peut prendre plusieurs formes", un "renforcement de notre aide au développement", une "aide à la formation de la police ou de l'armée" afghanes ou "l'envoi de moyens militaires supplémentaires", comme le réclame Washington.