2010, l'année de l'explosion sociale
Posté : 20 décembre 2009 17:52
La crise a commencée par la haute finance à l'intérieur de l'économie virtuelle et s'est prolongée à l'économie réelle. Aujourd'hui, la même où la crise a commencée, il semblerait qu'elle soit bien passée. Pour preuve il en est le retour des bonus pour les traders. Quant à l'économie réelle, elle ne semble pas tirée d'affaire et sa reprise s'annonce longue et fragile.
Il y a donc un double sentiment d'injustice ressentie par les classes sociales moyennes et modestes : le premier, c'est que la haute finance, coupable à leurs yeux de cette crise, a retrouvée une bonne marche de leurs affaires alors que celle de l'économie réelle n' a pas retrouvée la sienne, et le deuxième sentiment d'injustice, c'est qu'aucunes expériences n'a été tiré de cette crise du dégré de folie qu'on atteint la spéculation et l'appat du gain. C'est comme si rien ne s'était produit, alors que la faillite sytémique n'était pas loin.
Aujourd'hui, les banques regorgent d'argent, les particuliers fuyant la bourse et tout placements au moindre risque, font dormir leur argent en épargne et autres produits dérivés. Les investisseurs attendent, obsérvent, d'une certaine façon ils sont entrée en hivernation. Il n'y a rien de pire en économie, que quand l'argent ne bouge plus et c'est exactement ce qu'il se passe aujourd'hui. Faute de confiance et de visions claires, les marchés stagnent.
Loin de toutes ces constatations, les classes moyennes et modestes souffrent. Notre système , à un haut degré de protection sociale, coûte très chére. Sur le seul dos des actifs et de leurs entreprises, reposent le financement de toutes les dépenses de retraites, de santé , des chomeurs et des aides sociales pour les plus démunis. Le problème est que les actifs sont de moins en moins nombreux et que les entreprises souffrent d'une faible activité qui réduit leurs résultats.
La place et le rôle de l'état doivent évolués à l'image du risque d'explosion sociale liés à cette crise. En effets, des retraités aux revenus de plus en plus faibles, des chômeurs aux indémnités de plus en plus faibles, voir inéxistantes, des soins médicaux de moins en moins pris en charge, des minimas sociaux de plus en plus faibles voir inéxistant, des emplois de plus en plus précaires et de moins en moins payés et des entreprises de plus en plus en difficultées, tout celà va contribuer à une explosion sociale, car notre société a besoin d'une classe moyenne forte et d'entreprises performantes pour maintenir notre niveau de vie.
L'état ne doit pas être une charge mais un outil de régulation et de développement pour notre économie. Les banques doivent être nationalisées le temps de traverser cette crise. Les entreprises doivent compter sur l'état pour apporter les garantis fiancières nécésaires à leurs prises de risques. L'argent des particuliers doit pouvoir être utiliser par les entreprises qui investissent avec une garantie d'êtat pour les particuliers de pouvoir récupérer leur argent avec des intérèts. L'argent doit circuler, et pour celà l'état doit apporter son poid financier pour garantir à chaque échelons de gagner de l'argent. C'est le mouvement de l'argent qui fait qu'une économie fonctionne et aujourd'hui pour des raisons psychologiques, l'argent ne circulent pas alors qu'il ne manque pas.
Il y a donc un double sentiment d'injustice ressentie par les classes sociales moyennes et modestes : le premier, c'est que la haute finance, coupable à leurs yeux de cette crise, a retrouvée une bonne marche de leurs affaires alors que celle de l'économie réelle n' a pas retrouvée la sienne, et le deuxième sentiment d'injustice, c'est qu'aucunes expériences n'a été tiré de cette crise du dégré de folie qu'on atteint la spéculation et l'appat du gain. C'est comme si rien ne s'était produit, alors que la faillite sytémique n'était pas loin.
Aujourd'hui, les banques regorgent d'argent, les particuliers fuyant la bourse et tout placements au moindre risque, font dormir leur argent en épargne et autres produits dérivés. Les investisseurs attendent, obsérvent, d'une certaine façon ils sont entrée en hivernation. Il n'y a rien de pire en économie, que quand l'argent ne bouge plus et c'est exactement ce qu'il se passe aujourd'hui. Faute de confiance et de visions claires, les marchés stagnent.
Loin de toutes ces constatations, les classes moyennes et modestes souffrent. Notre système , à un haut degré de protection sociale, coûte très chére. Sur le seul dos des actifs et de leurs entreprises, reposent le financement de toutes les dépenses de retraites, de santé , des chomeurs et des aides sociales pour les plus démunis. Le problème est que les actifs sont de moins en moins nombreux et que les entreprises souffrent d'une faible activité qui réduit leurs résultats.
La place et le rôle de l'état doivent évolués à l'image du risque d'explosion sociale liés à cette crise. En effets, des retraités aux revenus de plus en plus faibles, des chômeurs aux indémnités de plus en plus faibles, voir inéxistantes, des soins médicaux de moins en moins pris en charge, des minimas sociaux de plus en plus faibles voir inéxistant, des emplois de plus en plus précaires et de moins en moins payés et des entreprises de plus en plus en difficultées, tout celà va contribuer à une explosion sociale, car notre société a besoin d'une classe moyenne forte et d'entreprises performantes pour maintenir notre niveau de vie.
L'état ne doit pas être une charge mais un outil de régulation et de développement pour notre économie. Les banques doivent être nationalisées le temps de traverser cette crise. Les entreprises doivent compter sur l'état pour apporter les garantis fiancières nécésaires à leurs prises de risques. L'argent des particuliers doit pouvoir être utiliser par les entreprises qui investissent avec une garantie d'êtat pour les particuliers de pouvoir récupérer leur argent avec des intérèts. L'argent doit circuler, et pour celà l'état doit apporter son poid financier pour garantir à chaque échelons de gagner de l'argent. C'est le mouvement de l'argent qui fait qu'une économie fonctionne et aujourd'hui pour des raisons psychologiques, l'argent ne circulent pas alors qu'il ne manque pas.