ouf de soulagement...
Posté : 01 janvier 2009 20:00
... après trois jours de dérive, la famille Bazin enfin secourue
Selon les premières déclarations de Pascal Bazin, le père de la famille et le capitaine du navire naufragé, d'épouvantables conditions météorologiques sont seules à l'origine des avaries ayant envoyé l'embarcation par le fond. Pascal, son épouse, Joëlle, sa fille aînée, Mélanie et son fils cadet, Alexis avaient jeté l'ancre de leur catamaran dans un port de la Martinique depuis le mois d'avril dernier, après que le petit équipage originaire de Nantes (Loire-Atlantique) eut effectué sans encombre une traversée de l'Atlantique. Décidant de faire voile en direction du Venezuela, la famille Bazin a été soudain prise sous un déluge de pluie et par de terribles déferlantes le soir de Noël.
Le 26 décembre au petit matin, une gigantesque vague s'est écrasée sur le catamaran, perçant une première brèche dans la coque. Comme le relate le Trinidad Express, des paquets d'eau se sont ensuite abattus en rafale sur le bateau devenu vulnérable. Finalement, une déferlante peut-être plus forte que les autres a achevé de briser la coque. Lorsque le bateau a commencé à couler, Pascal Bazin a, dans un premier temps, tenté, en vain, de colmater les voies d'eau. La situation, à l'évidence désespérée, a contraint Pascal d'évacuer en catastrophe sa femme et ses enfants sur leur radeau de survie. Par chance, le navire de fortune recelait des bouteilles d'eau potable, plusieurs fusées éclairantes, une trousse médicale, des lampes torches ainsi que des rations alimentaires. Sans cet attirail d'urgence, les naufragés n'auraient pas eu la vie sauve.
Selon les premières déclarations de Pascal Bazin, le père de la famille et le capitaine du navire naufragé, d'épouvantables conditions météorologiques sont seules à l'origine des avaries ayant envoyé l'embarcation par le fond. Pascal, son épouse, Joëlle, sa fille aînée, Mélanie et son fils cadet, Alexis avaient jeté l'ancre de leur catamaran dans un port de la Martinique depuis le mois d'avril dernier, après que le petit équipage originaire de Nantes (Loire-Atlantique) eut effectué sans encombre une traversée de l'Atlantique. Décidant de faire voile en direction du Venezuela, la famille Bazin a été soudain prise sous un déluge de pluie et par de terribles déferlantes le soir de Noël.
Le 26 décembre au petit matin, une gigantesque vague s'est écrasée sur le catamaran, perçant une première brèche dans la coque. Comme le relate le Trinidad Express, des paquets d'eau se sont ensuite abattus en rafale sur le bateau devenu vulnérable. Finalement, une déferlante peut-être plus forte que les autres a achevé de briser la coque. Lorsque le bateau a commencé à couler, Pascal Bazin a, dans un premier temps, tenté, en vain, de colmater les voies d'eau. La situation, à l'évidence désespérée, a contraint Pascal d'évacuer en catastrophe sa femme et ses enfants sur leur radeau de survie. Par chance, le navire de fortune recelait des bouteilles d'eau potable, plusieurs fusées éclairantes, une trousse médicale, des lampes torches ainsi que des rations alimentaires. Sans cet attirail d'urgence, les naufragés n'auraient pas eu la vie sauve.