L'Iran place sur orbite son premier satellite
Posté : 04 février 2009 07:54
"C'est un événement historique qui doit renforcer la foi, la justice et la paix." C'est en ces termes que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a salué lundi soir le placement en orbite d'un premier satellite à l'aide de sa fusée Safir-2. Pour se féliciter du lancement du satellite baptisé Omid ("Espoir") et de fabrication 100 % iranienne, le président a adressé à la nation un "message d'amitié et de paix" par téléphone et a entonné un refrain proclamant la grandeur de Dieu. "Dieu est grand, Dieu est grand, Dieu est grand", a-t-il chanté avec la poignée d'hommes qui l'entouraient, selon des images diffusées en Iran.
La télévision iranienne a montré un lancement réussi, qui a aussi marqué le 30e anniversaire de la Révolution islamique de 1979. Si la mise en orbite d'Omid est confirmée, l'Iran serait le deuxième pays de la région, après Israël, à disposer d'une capacité de lancement de satellites. De son côté, le Pakistan, qui dispose aussi de ses propres satellites en orbite, a eu recours à la Chine.
"C'est un événement historique qui doit renforcer la foi, la justice et la paix." C'est en ces termes que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a salué lundi soir le placement en orbite d'un premier satellite à l'aide de sa fusée Safir-2. Pour se féliciter du lancement du satellite baptisé Omid ("Espoir") et de fabrication 100 % iranienne, le président a adressé à la nation un "message d'amitié et de paix" par téléphone et a entonné un refrain proclamant la grandeur de Dieu. "Dieu est grand, Dieu est grand, Dieu est grand", a-t-il chanté avec la poignée d'hommes qui l'entouraient, selon des images diffusées en Iran.
La télévision iranienne a montré un lancement réussi, qui a aussi marqué le 30e anniversaire de la Révolution islamique de 1979. Si la mise en orbite d'Omid est confirmée, l'Iran serait le deuxième pays de la région, après Israël, à disposer d'une capacité de lancement de satellites. De son côté, le Pakistan, qui dispose aussi de ses propres satellites en orbite, a eu recours à la Chine.
Le chef de la diplomatie iranienne Manouchehr Mottaki a assuré mardi, en marge d'un sommet de l'Union africaine, que "les activités satellitaires de l'Iran (étaient) uniquement destinées à la paix". "Nos capacités militaires ont des visées défensives", a-t-il noté. Mais les inquiétudes de la communauté internationale sur les capacités balistiques de la République islamique sont vives. La France a déjà fait remarquer mardi que la technologie employée pour le lancement d'Omid était "très similaire" à celle des missiles balistiques et qu'"on ne peut pas ne pas relier cela aux inquiétudes très fortes sur le développement d'une capacité nucléaire militaire".
La République islamique n'en est pas à son coup d'essai dans sa conquête de l'espace. Elle avait annoncé fin novembre avoir procédé avec succès au lancement de sa deuxième fusée spatiale, Kavoshgar-2, et à la récupération d'une sonde qu'elle transportait. Le 17 août dernier, elle avait assuré avoir procédé au lancement avec succès de sa fusée Safir ("Ambassadeur"), capable selon elle de placer un satellite léger en orbite basse à une distance minimale de 250 km de la Terre et maximale de 500 km.
La télévision iranienne a montré un lancement réussi, qui a aussi marqué le 30e anniversaire de la Révolution islamique de 1979. Si la mise en orbite d'Omid est confirmée, l'Iran serait le deuxième pays de la région, après Israël, à disposer d'une capacité de lancement de satellites. De son côté, le Pakistan, qui dispose aussi de ses propres satellites en orbite, a eu recours à la Chine.
"C'est un événement historique qui doit renforcer la foi, la justice et la paix." C'est en ces termes que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a salué lundi soir le placement en orbite d'un premier satellite à l'aide de sa fusée Safir-2. Pour se féliciter du lancement du satellite baptisé Omid ("Espoir") et de fabrication 100 % iranienne, le président a adressé à la nation un "message d'amitié et de paix" par téléphone et a entonné un refrain proclamant la grandeur de Dieu. "Dieu est grand, Dieu est grand, Dieu est grand", a-t-il chanté avec la poignée d'hommes qui l'entouraient, selon des images diffusées en Iran.
La télévision iranienne a montré un lancement réussi, qui a aussi marqué le 30e anniversaire de la Révolution islamique de 1979. Si la mise en orbite d'Omid est confirmée, l'Iran serait le deuxième pays de la région, après Israël, à disposer d'une capacité de lancement de satellites. De son côté, le Pakistan, qui dispose aussi de ses propres satellites en orbite, a eu recours à la Chine.
Le chef de la diplomatie iranienne Manouchehr Mottaki a assuré mardi, en marge d'un sommet de l'Union africaine, que "les activités satellitaires de l'Iran (étaient) uniquement destinées à la paix". "Nos capacités militaires ont des visées défensives", a-t-il noté. Mais les inquiétudes de la communauté internationale sur les capacités balistiques de la République islamique sont vives. La France a déjà fait remarquer mardi que la technologie employée pour le lancement d'Omid était "très similaire" à celle des missiles balistiques et qu'"on ne peut pas ne pas relier cela aux inquiétudes très fortes sur le développement d'une capacité nucléaire militaire".
La République islamique n'en est pas à son coup d'essai dans sa conquête de l'espace. Elle avait annoncé fin novembre avoir procédé avec succès au lancement de sa deuxième fusée spatiale, Kavoshgar-2, et à la récupération d'une sonde qu'elle transportait. Le 17 août dernier, elle avait assuré avoir procédé au lancement avec succès de sa fusée Safir ("Ambassadeur"), capable selon elle de placer un satellite léger en orbite basse à une distance minimale de 250 km de la Terre et maximale de 500 km.