La rigolade ne fait que commencer
Posté : 14 février 2009 18:34
Polémique
Sarkozy et les Tchèques : zizanie sans précédent à la tête de l'UE
La formule, à la une de l'édition internationale du New York Times, fait mouche: les relations entre Nicolas Sarkozy, ex-président de l'Europe, et l'actuelle présidence tournante tchèque de l'Union européenne "sont dignes d'insultes d'ados dans la cour de récré".
La dégradation des relations est bien antérieure à la dernière sortie du président français qui a fâché les déjà peu sarkophiles Tchèques, lors de son intervention télévisée de la semaine dernière, lorsqu'il a critiqué les délocalisations de l'automobile française en République tchèque.
Zizanie, chamailleries et peaux de banane
C'est désormais une longue liste d'incidents et de frustrations qui opposent les deux pays, alors qu'en principe, les présidences successives de l'UE devraient s'épauler (c'est le principe de la troïka, dispositif mis en place par le traité d'Amsterdam), particulièrement en temps de crise économique aussi grave, qui appelle des réponses collectives. A la place, c'est la zizanie, les chamailleries, les peaux de banane.
Sarkozy et les Tchèques : zizanie sans précédent à la tête de l'UE
La formule, à la une de l'édition internationale du New York Times, fait mouche: les relations entre Nicolas Sarkozy, ex-président de l'Europe, et l'actuelle présidence tournante tchèque de l'Union européenne "sont dignes d'insultes d'ados dans la cour de récré".
La dégradation des relations est bien antérieure à la dernière sortie du président français qui a fâché les déjà peu sarkophiles Tchèques, lors de son intervention télévisée de la semaine dernière, lorsqu'il a critiqué les délocalisations de l'automobile française en République tchèque.
Zizanie, chamailleries et peaux de banane
C'est désormais une longue liste d'incidents et de frustrations qui opposent les deux pays, alors qu'en principe, les présidences successives de l'UE devraient s'épauler (c'est le principe de la troïka, dispositif mis en place par le traité d'Amsterdam), particulièrement en temps de crise économique aussi grave, qui appelle des réponses collectives. A la place, c'est la zizanie, les chamailleries, les peaux de banane.