La carte de France de Sarko le tricard
Posté : 01 mars 2009 21:29
Le Guilvinec le 6 novembre 2007
500 pêcheurs accueillent le président sous les huées, Sarkozy passe à son tour à l'invective:" Toi si t'as quelque chose à dire t'as qu'a venir ici".. hurle-t-il à un pêcheur.
Depuis le chef de l'état évite les ports par temps de mer (sociale) agitée…
Salon de l'agriculture 23 février 2008
"Casse toi pov'con" à un homme qui refuse de lui serrer la main. Un an plus tard il a fallu que la fédération UMP de Paris mobilise ses militants et que l'état mobilise une cinquantaine de policiers en civil et plusieurs escadrons de gendarmerie mobile et de gardes du corps du SPHP pour que le bref passage de NS se déroule dans le calme..
Antilles mars 2007
Le candidat Sarkozy a effectué une visite éclair pour défendre le thème de l'identité nationale. Le chef de l'état n'y a pas remis les pieds depuis et risquerait d'être fort mal accueilli tant il a traité par le mépris le mouvement social qui paralyse la Guadeloupe depuis plus d'un mois.
St Lo le 12 janvier 2009
Des manifestants parviennent à encercler le président venu présenter ses vœux au personnel de l'éducation. Les CRS ripostent avec des grenades lacrymogènes. Le préfêt est viré dès le lendemain. Un peu partout les enseignants continuent, eux, à mobiliser au passage de "SARKO CIRCUS"
Sandouville le 6 octobre 2008
Le président se rend au chevet du millier d'ouvriers menacés de licenciement par Renault. Un cordon de CRS encercle les syndicalistes en colère voulant rencontrer le chef de l'état qui évite certains ateliers et écourte la visite.
Argenteuil le 25 octobre 2005
Le ministre de l'intérieur promet de passer les banlieues au "karcher" pour les débarrasser des "racailles". S'en suivront deux mois c'émeutes faisant suite à la mort de deux jeunes poursuivis par la police à Clichy sous bois . depuis, devenu président, Nicolas Sarkozy ne peut toujours pas remettre les pieds en banlieue..
Grandrange le 4 février 2008
Le président de la république s'engage à sauver l'usine que le groupe Mittal prévoit de fermer partiellement. Un an plus tard les syndicalistes font le deuil de ses promesses en enterrant une plaque commémorative et attendent Sarkozy de pied ferme.
500 pêcheurs accueillent le président sous les huées, Sarkozy passe à son tour à l'invective:" Toi si t'as quelque chose à dire t'as qu'a venir ici".. hurle-t-il à un pêcheur.
Depuis le chef de l'état évite les ports par temps de mer (sociale) agitée…
Salon de l'agriculture 23 février 2008
"Casse toi pov'con" à un homme qui refuse de lui serrer la main. Un an plus tard il a fallu que la fédération UMP de Paris mobilise ses militants et que l'état mobilise une cinquantaine de policiers en civil et plusieurs escadrons de gendarmerie mobile et de gardes du corps du SPHP pour que le bref passage de NS se déroule dans le calme..
Antilles mars 2007
Le candidat Sarkozy a effectué une visite éclair pour défendre le thème de l'identité nationale. Le chef de l'état n'y a pas remis les pieds depuis et risquerait d'être fort mal accueilli tant il a traité par le mépris le mouvement social qui paralyse la Guadeloupe depuis plus d'un mois.
St Lo le 12 janvier 2009
Des manifestants parviennent à encercler le président venu présenter ses vœux au personnel de l'éducation. Les CRS ripostent avec des grenades lacrymogènes. Le préfêt est viré dès le lendemain. Un peu partout les enseignants continuent, eux, à mobiliser au passage de "SARKO CIRCUS"
Sandouville le 6 octobre 2008
Le président se rend au chevet du millier d'ouvriers menacés de licenciement par Renault. Un cordon de CRS encercle les syndicalistes en colère voulant rencontrer le chef de l'état qui évite certains ateliers et écourte la visite.
Argenteuil le 25 octobre 2005
Le ministre de l'intérieur promet de passer les banlieues au "karcher" pour les débarrasser des "racailles". S'en suivront deux mois c'émeutes faisant suite à la mort de deux jeunes poursuivis par la police à Clichy sous bois . depuis, devenu président, Nicolas Sarkozy ne peut toujours pas remettre les pieds en banlieue..
Grandrange le 4 février 2008
Le président de la république s'engage à sauver l'usine que le groupe Mittal prévoit de fermer partiellement. Un an plus tard les syndicalistes font le deuil de ses promesses en enterrant une plaque commémorative et attendent Sarkozy de pied ferme.