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Bessons ne debat pas avec Lepen.Je ne vois pas sur quoi ils auraient pu s'affronter, ils ont la meme "pensee" a defaut d'appartenir au meme parti.

C'est pas un débat, c'est un entretien d'embauche.

Patrick_NL a écrit : Bessons ne debat pas avec Lepen.Je ne vois pas sur quoi ils auraient pu s'affronter, ils ont la meme "pensee" a defaut d'appartenir au meme parti.

Depuis quand Besson a t-il une pensée ?

clint a écrit : Depuis quand Besson a t-il une pensée ?

besson est une larve...

Ce mec aurait été collabo en 40 et résistant en 46.

gemmill a écrit :

besson est une larve...

il faut bien un appât pour attraper une baleine

Passe d'armes entre Eric Besson et Marine Le PenLe 08/01/2010 à 13h43 GMT
PARIS (Reuters) - Accusé de "débandade" par Marine Le Pen, Eric Besson s'est défendu d'esquiver le débat avec la vice-présidente du Front national et a reproché aux médias de se laisser "intoxiquer" par le parti d'extrême droite.Le cabinet du ministre de l'Immigration a fait savoir jeudi soir qu'il ne pourrait finalement participer le 13 janvier à Liévin (Pas-de-Calais) à un débat sur l'identité nationale avec Marine Le Pen.Le ministère a invoqué la présence d'Eric Besson ce jour-là à la présentation des voeux aux parlementaires par le président Nicolas Sarkozy, en présence des membres du gouvernement, prévue à 18h00 à l'Elysée.Son cabinet soulignait qu'en dépit de ce changement de programme, le ministre aurait l'occasion de débattre avec Marine Le Pen le 14 janvier sur France 2 dans l'émission "A vous de juger".La vice-présidente du FN dénonce vendredi dans un communiqué une "lamentable débandade". Elle affirme que les explications du ministre sont mensongères."Monsieur Besson avait, lundi, exigé de la préfecture que le débat soit décalé de 19h à 20h45, afin de pouvoir justement participer aux voeux du chef de l'Etat et de prendre immédiatement un jet pour se rendre à Liévin. Tout était planifié et parfaitement organisé par les services du préfet", déclare-t-elle."Cette scandaleuse annulation est anti-démocratique et démontre bien la supercherie et la forfaiture de l'opération électoraliste et politicienne de Sarkozy. Elle illustre le fossé entre les élites et le peuple", affirme Marine Le Pen."Cette pantalonnade démontre enfin que le seul et unique véritable opposant au gouvernement de Nicolas Sarkozy est le FN", ajoute-t-elle.Eric Besson a réaffirmé vendredi que Marine Le Pen aurait l'occasion de débattre avec lui le 14 janvier sur France 2."JE M'EN FICHE DE CE QU'ELLE DIT""France 2, ce n'est pas une toute petite chaîne marginale. Si elle veut débattre avec moi, elle va pouvoir le faire devant les caméras et devant les Français", a-t-il dit à des journalistes en marge du colloque "Nouveau monde, nouveau capitalisme" qu'il organisait à Paris."Je n'ai pas dans ma vie esquivé beaucoup de débats, je suis allé partout où on m'a proposé de débattre", a-t-il insisté."Le Front national ne m'intéresse pas et je regrette que par une espèce de lapsus pavlovien, qu'un jour il faudra bien expliquer, que certains, lorsqu'on parle 'identité nationale', parlent 'Front national'", a-t-il poursuivi.Le ministre de l'Immigration a accusé les médias d'accorder "beaucoup trop d'importance" aux déclarations de Marine Le Pen, dont il a dit faire peu de cas."Ce qui me navre, je le répète avec une chance de succès limité, c'est qu'on accorde tant d'importance à ce qu'elle dit. La réalité, c'est que je m'en fiche de ce qu'elle dit, de ce qu'elle pense, de ce qu'elle fait", a-t-il lancé."Arrêter de colporter son message. La thèse, c'est 'le Front national monte, monte, monte, on entend ça depuis six mois'. Quand on regarde les sondages, il est étale, il est plat", a-t-il dit, alors que les sondages placent le Front national à environ 10% d'intentions de vote au niveau national pour les élections régionales de mars."Cessez donc de vous faire intoxiquer et de porter en permanence les micros devant ce que dit Marine Le Pen", a conclu Eric Besson. Avant d'ajouter : les "questions sur Marine Le Pen me gonflent prodigieusement".

"La France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c'est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France du métissage".

Eric B., ministre.

C'est drôle cette analyse d'eric b., déjà on apprends que la France n'est ni un peuple, ni une langue, ni une religion mais le plus drôle c'est la juxtaposition de deux termes vraiment contradictoires: vivre-ensemble et métissage.
Quand on dit "métissage" on comprends tacitement l'assimilation, des personnes qui viennent d'horizons différents mais qui se reconnaissent comme Français. Alors que le "vivre-ensemble" sous-entends le multiculturalisme (conglomérat de peuple) où des personnes revendiquent une spécificité culturelle et forment une communauté.
Décidément, Eric B. n'est pas un homme très sérieux.