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contes de la violence ordinaires

Posté : 24 janvier 2010 13:11
par gemmill
qui n'a jamais pester contre un camion de livraison qui bouchonne la rue ?? mais de la a en arriver a une extrémité telle que celle-ci:
L'union fait la force ! Un principe appliqué par Habib, 25 ans, qui s'est fait aider de ses copains pour régler ses comptes rue du Gorp, non loin de la Grande rue Saint-Michel lundi à 17 heures. C'est ce qui lui a valu de comparaître mercredi devant le tribunal correctionnel.

Un camion de transport s'est arrêté le temps d'une course dans la petite rue. Juste derrière, dans leur voiture, Habib et un ami veulent passer. Ils s'impatientent, s'énervent. Pas question d'attendre, le conducteur descend de la voiture et insulte le chauffeur du camion et son frère. Les deux hommes de la société de transport, âgés de 24 et 33 ans, essaient de calmer le provocateur, qui se décide finalement à partir en glissant : « Je reviens ! » En effet, deux minutes plus tard, les agresseurs sont de retour, mais… avec une douzaine de copains en plus ! La bande se déchaîne sur les deux victimes à coup de barres de fer, matraques et morceaux de verre brisé. Les blessures sont importantes, difficile pour les victimes de faire face à cet acharnement.

« Pour moi, j'ai été victime d'une tentative de meurtre ! confie le plus jeune. Les coups étaient d'une extrême violence. Je ne comprends pas, on faisait notre travail, on n'allait pas rester longtemps. »

Trois agresseurs présumés ont été arrêtés sur les lieux. Mais les deux victimes n'ont formellement reconnu qu'Habib. À l'audience, l'avocat des parties civiles insiste : « Faire venir douze personnes pour s'en prendre à deux, c'est de la lâcheté ! » Pourtant, le prévenu ne reconnaît pas avoir eu recours à ses amis. « C'est eux, ils m'ont craché dessus ! » a-t-il justifié. L'agresseur, au casier vierge, a écopé d'une peine de six mois ferme.
source: la dépéche.fr

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 24 janvier 2010 13:15
par tisiphoné
gemmill a écrit : qui n'a jamais pester contre un camion de livraison qui bouchonne la rue ?? mais de la a en arriver a une extrémité telle que celle-ci:
L'union fait la force ! Un principe appliqué par Habib, 25 ans, qui s'est fait aider de ses copains pour régler ses comptes rue du Gorp, non loin de la Grande rue Saint-Michel lundi à 17 heures. C'est ce qui lui a valu de comparaître mercredi devant le tribunal correctionnel.

Un camion de transport s'est arrêté le temps d'une course dans la petite rue. Juste derrière, dans leur voiture, Habib et un ami veulent passer. Ils s'impatientent, s'énervent. Pas question d'attendre, le conducteur descend de la voiture et insulte le chauffeur du camion et son frère. Les deux hommes de la société de transport, âgés de 24 et 33 ans, essaient de calmer le provocateur, qui se décide finalement à partir en glissant : « Je reviens ! » En effet, deux minutes plus tard, les agresseurs sont de retour, mais… avec une douzaine de copains en plus ! La bande se déchaîne sur les deux victimes à coup de barres de fer, matraques et morceaux de verre brisé. Les blessures sont importantes, difficile pour les victimes de faire face à cet acharnement.

« Pour moi, j'ai été victime d'une tentative de meurtre ! confie le plus jeune. Les coups étaient d'une extrême violence. Je ne comprends pas, on faisait notre travail, on n'allait pas rester longtemps. »

Trois agresseurs présumés ont été arrêtés sur les lieux. Mais les deux victimes n'ont formellement reconnu qu'Habib. À l'audience, l'avocat des parties civiles insiste : « Faire venir douze personnes pour s'en prendre à deux, c'est de la lâcheté ! » Pourtant, le prévenu ne reconnaît pas avoir eu recours à ses amis. « C'est eux, ils m'ont craché dessus ! » a-t-il justifié. L'agresseur, au casier vierge, a écopé d'une peine de six mois ferme.
source: la dépéche.fr
ben j'espère qu'il atterrira dans une cellule de 12 :content85

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 24 janvier 2010 13:19
par Patrick_NL
tisiphoné a écrit : ben j'espère qu'il atterrira dans une cellule de 12 :content85
Oui 12 homos bien baraques qui s'en servent pour se distraire de la monotonie carcerale.Tss je suis teigneus aujourd'hui

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 24 janvier 2010 19:20
par Fonck1
Bon,la justice a été saisie,et après? les descentes de groupe,ca existe depuis la nuit des temps,villages,copains,quartiers,frangins,etc etc...bref...encore un fait divers dsans intérêts.c'est rigolo,gemmil ne mets jamais les fait divers de bons vieux français.....

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 24 janvier 2010 19:22
par capitaine
En banlieue Corse, il y a eut un mort par balle, en plein marché
c'est aussi la violence ordinaire... :roll:

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 24 janvier 2010 19:29
par Fonck1
Elle tue son bébé en s’endormant dessus

Une femme de 34 ans résidant à Jeumont (Nord) a été mise en examen pour homicide involontaire et écrouée après le décès de sa fille de cinq mois qu’elle aurait accidentellement étouffée en s’endormant, ivre.

Les résultats de l’autopsie n’ont pas encore été confirmés par écrit, mais l’hypothèse privilégiée par le parquet d’Avesnes-sur-Helpe fait froid dans le dos. Une mère de famille de quatre enfants, âgée de 34 ans et sans profession, aurait, la semaine dernière à Jeumont, dans la banlieue lilloise, provoqué la mort d’Alice, son dernier bébé âgé de cinq mois, en « s’allongeant sur le canapé alors qu’elle la tenait dans les bras. Dans son sommeil, elle l’aurait écrasée », avance Bernard Beffi, le procureur. L’enfant serait morte des suites d’un écrasement de la cage thoracique, la compression de sa frêle poitrine provoquant l’asphyxie. Un drame qui serait dû l’alcool : deux heures et demie après l’intervention des secours, les policiers ont mesuré le taux d’alcoolémie de la mère. « Il était important », assure-t-on au parquet.

Le père poursuivi aussi

Depuis, l’enquête a démontré que la trentenaire, mise en examen pour « homicide involontaire » et « non-assistance à personne en danger », n’est pas la seule à être impliquée. Son concubin a également été mis en examen. Ce soir-là, ce charpentier de 45 ans était présent, et ce au mépris de son contrôle judiciaire : poursuivi pour des violences conjugales, il avait interdiction de rencontrer la mère de ses trois enfants. Avant de monter se coucher, il aurait en effet averti sa femme. « Attention, tu vas l’écraser », s’est-il inquiété. Sa concubine l’aurait alors envoyé promener. Une tragique erreur car, dans la nuit de vendredi à samedi dernier, lorsque les services de secours sont arrivés au domicile du couple, vers 4 heures du matin, il était « trop tard pour sauver le bébé, mort depuis longtemps », révèle M. Beffi.

Alice était dans son berceau. Sur son corps, aucune trace de coups. Les enfants du couple n’avaient jamais fait l’objet de signalement pour maltraitance. Ce qui n’avait pas empêché les secours de soupçonner un décès suspect. Placé en garde à vue, le couple avait « fourni des explications confuses et contradictoires », pointe le parquet, qui rappelle que des investigations complémentaires sont toujours en cours. Jeudi soir, le couple a été placé en détention. Depuis, les lumières de leur petite maison se sont éteintes : les deux autres enfants du couple ont été placés en famille d’accueil. Choqués, les voisins ont tenu à rendre hommage à la petite Alice. Un bouquet de fleurs, accroché à la porte, résistait toujours vendredi au vent glacial de l’hiver.

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 24 janvier 2010 19:35
par Fonck1
Meurtre rue du Rival : un second policier au tribunal
Il est poursuivi pour « non-assistance à personne en danger ». Il comparaîtra le 16 mars devant le tribunal correctionnel.


Le 16 mars prochain, un long feuilleton judiciaire, qui a agité la cité comtale durant plusieurs années, prendra fin. Ce jour-là, un policier comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Foix pour « non-assistance à personne en danger », dans le cadre du meurtre de la rue du Rival. Le fonctionnaire de police visé ne travaille plus à Foix.

Le 16 octobre 2005, William Hatchet, 43 ans, était sauvagement assassiné à son domicile, rue du Rival, par un compagnon de beuverie. Ce soir-là, deux appels au secours puis un troisième coup de téléphone, précisant que la porte de la victime est défoncée et couverte de sang, sont donnés à la police. Pourtant, le corps de la victime ne sera retrouvé que le lendemain matin, à son domicile par les policiers. L'autopsie révélera que cette dernière est décédée une heure après les coups.

Devant la gravité des faits, les parents de la victime ont décidé de porter plainte contre les policiers. Après une enquête interne, un premier fonctionnaire a été mis en examen et jugé le 11 octobre 2006. Il a été condamné à douze mois de prison assortis de sursis. Deux autres policiers ont reçu des blâmes.

Le meurtrier est, lui, jugé en juin 2007 et condamné à vingt ans d'emprisonnement.

Oui mais voilà, pour la famille du défunt, les époux Bourson, l'affaire ne s'arrête pas là. Ils demandent un réexamen administratif de l'attitude de la chaîne hiérarchique. Ils veulent faire condamner les policiers pour homicide involontaire. Ils portent plainte en février 2007.

Après une campagne médiatique dans la presse locale et nationale, les époux Bourson obtiennent que la justice s'empare à nouveau de l'affaire. Dans un premier temps, le procureur de la République, du tribunal de Foix, Antoine Leroy avait demandé un non lieu. En effet, la victime avait appelé dix fois la police dans les dix-huit mois qui ont précédé le meurtre. À chaque fois, les policiers se déplaçaient pour la trouver en état d'ébriété. Mais, le juge d'instruction en a décidé autrement et poursuit donc un second policier pour « non-assistance à personne en danger ».

À la grande satisfaction des parents, qui comptent bien médiatiser ce procès.

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 27 janvier 2010 11:52
par Alogos
Représentation de la violence par les medias :
Marseille serait une annexe de Chicago à l'époque des incorruptibles....
alors que les agressions contre les homos à Montpellier sont quasi-quotidiennes, mais on n'en dit rien. sauf quand le chef du club de foot s'exprime sur le sujet en un langage chatié qui l'honore..cf l'interview du Pst Nicollin, une pièce d'anthologie.

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 27 janvier 2010 13:55
par Fonck1
Alogos a écrit : Représentation de la violence par les medias :
Marseille serait une annexe de Chicago à l'époque des incorruptibles....
alors que les agressions contre les homos à Montpellier sont quasi-quotidiennes, mais on n'en dit rien. sauf quand le chef du club de foot s'exprime sur le sujet en un langage chatié qui l'honore..cf l'interview du Pst Nicollin, une pièce d'anthologie.
agression quotidiennes a montpellier? j'y vis,je ne sais pas de quoi tu parles.
quand a nicollin,il est comme tous les gens du sud,ils sortent une vanne avec des mots souvent peu représentatifs de la définition réelle,c'est juste une façon de dire "c'est un enfoiré".curieusement,les français ont le même problème avec "fuck" qui veut dire merde,et pas "encule"....

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 27 janvier 2010 14:39
par Alogos
Bravo fonck - tu as répondu comme il convient -
Un de mes cousins y vit - c'est lui l'informateur. Silence de plomb
Nicollin a le choix entre parler comme un charetier et un honnéte homme : il a choisi...d'être égal à lui-même et représentatif de "là-bas en bas".

Re: contes de la violence ordinaires

Posté : 27 janvier 2010 15:01
par Fonck1
Bravo fonck - tu as répondu comme il convient -
Un de mes cousins y vit - c'est lui l'informateur. Silence de plomb
il y a beaucoup d'homos a montpellier,moi perso,je ne sent pas plus de discrimination pour les homos plus qu'ailleurs.
Alogos a écrit :Nicollin a le choix entre parler comme un charetier et un honnéte homme : il a choisi...d'être égal à lui-même et représentatif de "là-bas en bas".
ben c'est un "escoutaïre" a la base...au moins il est en phase avec lui même.