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No forces sont en Afghanistan pour lutter conre de possibles attentats perpétrés en France..
Faudrait peut être les rapatrier.?.
:roll:

Le FLNC revendique 24 attentats commis en 2009 en Corse

AJACCIO - Le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) a revendiqué 24 attentats perpétrés l'an dernier dans l'île, apprend-on de source policière à la veille d'une visite de Nicolas Sarkozy.

Le président de la République a placé sa visite en Corse, mardi, sous le signe du développement durable, thème qu'il exposera devant les principaux élus de l'île.

Le communiqué du FNLC, authentifié et publié dimanche soir, concerne 24 attentats contre des édifices publics et privés, dit-on de source policière.

Dans ses "actions anti-répression contre l'Etat", l'organisation clandestine revendique notamment les mitraillages des gendarmeries de Porto-Vecchio et Bonifacio (Corse-du-Sud) et le tir de roquette contre celle de Corte (Haute-Corse).

Les autres attentats visaient essentiellement des résidences secondaires appartenant à des continentaux et pour la plupart situées en Corse-du-Sud.

"Le gouvernement français se moque du peuple corse et la venue du président Nicolas Sarkozy, mardi à Ajaccio, sera sans annonce et sans effet, avec pour seul but de soutenir ses amis Ange Santini et Camille de Rocca Serra aux prochaines territoriales", dit le texte.

L'essentiel étant que la région reste à droite ...

Dire qu'ils sont exaspérés est un euphémisme. Les commerçants ajacciens du centre-ville - et dans une moindre mesure les riverains - ne comprennent pas pourquoi mardi prochain, lors de la visite du président de la République, la plupart des rues vont être interdites au stationnement et à la circulation. « C'est du n'importe quoi ! », résume ulcéré l'un d'entre eux. Il faut dire que les Ajacciens, et pas seulement les commerçants, se souviennent encore très bien de ce qui s'était passé lors de la dernière visite de Nicolas Sarkozy, en octobre 2007, lors de la tenue du fameux conseil des ministres décentralisé... Non seulement rues et artères principales avaient été bloquées, mais les contrôles d'identité avaient été systématiques. Même auprès des personnes âgées qui voulaient rentrer chez elles... Bref, la situation avait engendré un vrai mouvement de colère.
Est-ce à dire que le 2 février cette situation ubuesque, voire grotesque, va se reproduire ? Selon certaines informations, le chef de l'État, aurait exigé un service d'ordre « allégé ». Une chose est certaine, l'arrêté municipal stipulant les diverses et nombreuses interdictions ne plaide pas en faveur de ce souhait...

Je ne veux pas de mal au ptit mais si les Corses pouvaient le garder.