Un élève blessé à coup de cutter, un de plus!
Posté : 15 février 2010 17:10
La loi des voyous règne dans les écoles, qui sont autant de zones de non droit.
Et de propagation de l'antisémitisme, il est devenu impossible d'y parler de la Shoah.
Les enseignants, qui ont longtemps propagé les idées révolutionnaires et progressistes, privilégié le laxisme et l'impunité se retrouvent dans la position de l'arroseur arrosé.
Ils ne voulaient pas de policiers dans les écoles, ni de lois "liberticides"... et si on leur disait de se démerder?
Mais non, c'est la fuite en avant, ils réclament... plus de surveillants, c'est à dire des flics maison, histoire de faire profiter des camarades d'une embauche, avec l'argent public, c'est à dire le NOTRE.
Et leur argument comme chaque fois que des combinards veulent préserver leurs privilèges, c'est "la qualité du service public."
Ils sont tout bonnement en train de scier la branche où ils sont assis. Si l'école devient un territoire perdu, rien n'empêche les parents d'élèves de pratiquer l'enseignement à domicile, par ordinateur. Les tests pratiqués lors de l'alerte à la grippe se sont avérés concluants.
Avec ce système, les profs... et les élèves sont hors d'atteinte des voyous, des racketteurs, des violeurs, les examens même peuvent être sécurisés par l'informatique. Le métier d'enseignant deviendra aussi obsolète que celui des précepteurs d'autrefois.
Et on ne verra plus, à la télé, pérorer de pittoresques barbus aux cheveux en bataille, avec vêtements chiffonnés, keffieh autour du cou, et qui se prétendent des enseignants.
Les bachées pourront se voiler à volonté, devant leur clavier, personne ne les verra.
Et ce sera tous les jours, la journée de la jupe.
Les enseignants, surveillants, recteurs et proviseurs, barbus et ensoutannés, iront pointer au chômage.
Tout l'enseignement de France sera diffusé par une petite équipe dynamique des meilleurs profs, dans chaque spécialité. Sans politique et sans religion.
L'idée n'est pas nouvelle; en 1968, déjà, Michel Debré et André Malraux avaient préconisé l'enseignement par télévision (à l'époque) pour calmer la politisation abusive.
Et dans les écoles désaffectées, on pourrait loger confortablement tous les SDF de France.
Et de propagation de l'antisémitisme, il est devenu impossible d'y parler de la Shoah.
Les enseignants, qui ont longtemps propagé les idées révolutionnaires et progressistes, privilégié le laxisme et l'impunité se retrouvent dans la position de l'arroseur arrosé.
Ils ne voulaient pas de policiers dans les écoles, ni de lois "liberticides"... et si on leur disait de se démerder?
Mais non, c'est la fuite en avant, ils réclament... plus de surveillants, c'est à dire des flics maison, histoire de faire profiter des camarades d'une embauche, avec l'argent public, c'est à dire le NOTRE.
Et leur argument comme chaque fois que des combinards veulent préserver leurs privilèges, c'est "la qualité du service public."
Ils sont tout bonnement en train de scier la branche où ils sont assis. Si l'école devient un territoire perdu, rien n'empêche les parents d'élèves de pratiquer l'enseignement à domicile, par ordinateur. Les tests pratiqués lors de l'alerte à la grippe se sont avérés concluants.
Avec ce système, les profs... et les élèves sont hors d'atteinte des voyous, des racketteurs, des violeurs, les examens même peuvent être sécurisés par l'informatique. Le métier d'enseignant deviendra aussi obsolète que celui des précepteurs d'autrefois.
Et on ne verra plus, à la télé, pérorer de pittoresques barbus aux cheveux en bataille, avec vêtements chiffonnés, keffieh autour du cou, et qui se prétendent des enseignants.
Les bachées pourront se voiler à volonté, devant leur clavier, personne ne les verra.
Et ce sera tous les jours, la journée de la jupe.
Les enseignants, surveillants, recteurs et proviseurs, barbus et ensoutannés, iront pointer au chômage.
Tout l'enseignement de France sera diffusé par une petite équipe dynamique des meilleurs profs, dans chaque spécialité. Sans politique et sans religion.
L'idée n'est pas nouvelle; en 1968, déjà, Michel Debré et André Malraux avaient préconisé l'enseignement par télévision (à l'époque) pour calmer la politisation abusive.
Et dans les écoles désaffectées, on pourrait loger confortablement tous les SDF de France.