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tisiphoné a écrit : pas compris le sujet .

Patrick_NL a écrit : Les liens ne menent a rien .

tisiphoné a écrit : ce ne sont pas des liens

C'est le nouveau cheval de bataille du gouvernement. Il envisage de déployer des radars dits "tronçon", qui contrôlent la vitesse moyenne de circulation des véhicules entre deux points, afin d'améliorer la sécurité routière, affirme le ministère des Transports en réponse à une question écrite d'un député. "Un dispositif a été mis au point avec le Centre d'études techniques de l'équipement (CETE) Méditerranée. Un marché devrait être lancé au deuxième semestre 2010 pour le déploiement de ce type d'équipement", indique le ministère dans sa réponse à une question écrite du député UMP du Val d'Oise, Georges Mothron, publiée mercredi au Journal officiel.

Le ministère des Transports ne précise pas quand ces radars seront installés sur les routes, ni s'ils auront une vocation pédagogique ou répressive. Les réponses à ces questions ne devraient pas tarder. Des radars "tronçon" sont déjà utilisés au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie et en Norvège. En France, un radar expérimental à vocation pédagogique a été installé en 2003 sur l'A10 au nord d'Orléans. Il est composé de trois caméras installées sur deux ponts distants de 12 kilomètres. Il détecte les véhicules et indique sur un panneau lumineux aux automobilistes concernés qu'ils roulent à une vitesse excessive. Pour Georges Mothron, "ce système semble plus pertinent et surtout moins dangereux que celui mis en place actuellement, car il n'incite pas les automobilistes roulant à des vitesses excessives à ralentir de manière brusque à l'approche des radars automatiques".

Passer sous la barre des 3.000 morts

Ce nouveau dispositif doit "inciter à une nouvelle prise de conscience sur l'importance de la vitesse, afin de passer en 2012 sous la barre des 3.000 morts sur les routes par an", espère le ministère des Transports. Quelque 4.262 personnes ont été tuées sur les routes en France en 2009, soit une baisse de la mortalité de 0,3% par rapport à 2008, selon un bilan provisoire de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR).

Le chiffre des morts sur les routes ne baisse plus. Le gouvernement annonce donc tout un train de mesures coercitives. La lutte contre la vitesse, l'alcool et la drogue au volant amorce un virage serré.

Les chiffres. Après sept années de baisse consécutives, le nombre de morts au volant stagne. En 2009, on dénombre 4 262 victimes. L'objectif du gouvernement est de faire tomber ce sinistre chiffre en dessous des 3 000 morts. Il compte s'en donner les moyens.

Les radars. Ils seront plus nombreux, moins bien signalés et d'un genre nouveau. 800 nouveaux radars fixes supplémentaires seront installés d'ici à 2012. Ils ne feront plus l'objet d'une signalisation classique. Un ou deux kilomètres en amont et non 400 m comme aujourd'hui, un panneau annoncera juste « contrôles radars fréquents ». Un autre radar, mobile celui-là, pourra être installé un peu plus loin pour éviter que l'automobiliste ne réaccélère juste après.

À partir de 2011, une centaine de nouveaux modèles va également fleurir sur les bords des routes : les radars tronçons. Ce système permet de contrôler la vitesse moyenne des voitures entre deux points. Ils seront notamment installés dans des zones dites sensibles (virages dangereux, tunnels, abords de chantier).

Lutte contre l'alcool. La conduite sous l'emprise de l'alcool est la première cause d'accident mortel aujourd'hui en France, a rappelé hier le Premier ministre. 5 000 véhicules des forces de l'ordre vont donc être équipés d'éthylomètres embarqués pour multiplier les contrôles. Les débits de boissons devront mettre des éthylotests (gratuits ou payants) à la disposition de leurs clients afin de favoriser l'auto-contrôle.

Dépistage de la drogue. Là aussi, la pression s'accentue. Les forces de l'ordre se voient fixer comme objectif : 100 000 contrôles de stupéfiants par an. Les frais de dépistage médicaux censés confirmer les tests salivaires (environ 300 €) seront désormais à la charge du contrevenant.

Deux roues. Là aussi, pour tenter de réduire le nombre de victimes (28 % des morts en 2009 alors qu'ils représentent moins de 2 % du trafic), les contrôles vont se multiplier, notamment chez les jeunes conducteurs. Les scooters et autres cyclomoteurs seront régulièrement inspectés pour vérifier s'ils ne sont pas débridés, avec une amende de 135 € à la clé.

Sanctions plus sévères. Les conducteurs ayant commis une infraction grave au code de la route, un grand délit routier, verront leur véhicule immédiatement immobilisé et mis à la fourrière pour sept jours maximum, sur simple décision du préfet. Les délits de fuite, qui ont augmenté de 31 % en sept ans, seront également plus gravement sanctionnés. La peine pourra aller jusqu'à trois ans de prison et 75 000 € d'amende.

À partir de 2011, une centaine de nouveaux modèles va également fleurir sur les bords des routes : les radars tronçons. Ce système permet de contrôler la vitesse moyenne des voitures entre deux points. Ils seront notamment installés dans des zones dites sensibles (virages dangereux, tunnels, abords de chantier).

dinosaure a écrit : Normal, il faut se concentrer sur les grandes causes nationales comme la burqa (300 connasses).

dinosaure a écrit : Ca c'est bel et bien un mensonge. Pour utiliser ce système il faut un tronçon de plusieurs kilomètres.
Exit donc les "virages dangereux" et autres "zones de travaux".
On va donc installer sur autoroute de nouvelles pompes à fric.

Quant à ne pas annoncer les radars fixes il est clair que ceux qui ont un peu d'argent se paieront un avertisseur de radar (base de données GPRS) qui leur éviteratout désagrément.