"branleurs de dindons".
Posté : 18 avril 2010 17:41
Les pires métiers du monde : La routine masturbatoire des «branleurs de dindons»
L’élevage industriel génère des effets perturbateurs inattendus sur les espèces qui en sont la proie. Prenez la dinde par exemple. Volatile au mauvais caractère importé d’Amérique, sa viande est très consommée de nos jours. Rien qu’en France, environ 95 millions de spécimens sont abattus chaque année. Dans les usines géantes à viande blanche, les dindes sont parquées dans des hangars par dizaines de milliers. Elles étouffent, développent des pathologies respiratoires, sombrent parfois dans le cannibalisme. La volaille est électrocutée, ébouillantée avant d’être égorgée. Dans cet environnement, les dindons reproducteurs sont sélectionnés depuis des décennies notamment pour leur volume de chair. Leurs cœurs lâchent prématurément, les os ne suffisent plus pour supporter leur masse. Trop énormes, ils s’avèrent même aujourd’hui incapables de se reproduire normalement. C’est là que l’huile de coude de l’humain entre en jeu…
« J’m'en vais branler le dindon cet été » dit-on, parait-il, dans les régions de grand élevage. C’est synonyme de job alimentaire, de travail pénible, répétitif, temporaire et mal payé. L’homme moderne se voit également transformé par l’élevage industriel. Le printemps venu, avec la saison des amours, certains revêtissent une combinaison verte,-la couleur plaît aux dindons-, s’arment d’un tabouret et vont se planter dès l’aube au milieux d’accouvages bondés dont on distingue à peine le sol. Dans les élevages “de pointe” voici à quoi ça ressemble :
…/…
http://blog.slate.fr/chasseur-d-etrange ... ons%c2%bb/
L’homme produit des monstres et après on s’étonnera que la consommation de ce genre d’aliments produit des effets néfastes sur sa santé. Sans parler de la cruauté envers les animaux. :roll:
L’élevage industriel génère des effets perturbateurs inattendus sur les espèces qui en sont la proie. Prenez la dinde par exemple. Volatile au mauvais caractère importé d’Amérique, sa viande est très consommée de nos jours. Rien qu’en France, environ 95 millions de spécimens sont abattus chaque année. Dans les usines géantes à viande blanche, les dindes sont parquées dans des hangars par dizaines de milliers. Elles étouffent, développent des pathologies respiratoires, sombrent parfois dans le cannibalisme. La volaille est électrocutée, ébouillantée avant d’être égorgée. Dans cet environnement, les dindons reproducteurs sont sélectionnés depuis des décennies notamment pour leur volume de chair. Leurs cœurs lâchent prématurément, les os ne suffisent plus pour supporter leur masse. Trop énormes, ils s’avèrent même aujourd’hui incapables de se reproduire normalement. C’est là que l’huile de coude de l’humain entre en jeu…
« J’m'en vais branler le dindon cet été » dit-on, parait-il, dans les régions de grand élevage. C’est synonyme de job alimentaire, de travail pénible, répétitif, temporaire et mal payé. L’homme moderne se voit également transformé par l’élevage industriel. Le printemps venu, avec la saison des amours, certains revêtissent une combinaison verte,-la couleur plaît aux dindons-, s’arment d’un tabouret et vont se planter dès l’aube au milieux d’accouvages bondés dont on distingue à peine le sol. Dans les élevages “de pointe” voici à quoi ça ressemble :
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http://blog.slate.fr/chasseur-d-etrange ... ons%c2%bb/
L’homme produit des monstres et après on s’étonnera que la consommation de ce genre d’aliments produit des effets néfastes sur sa santé. Sans parler de la cruauté envers les animaux. :roll: