Un petit coup de 2012
Posté : 18 avril 2010 21:24
Le pouvoir rendant fou, tout en vous usant, la droite depuis 1995 semble perdre, plus que son souffle, toute espoir de victoire pour 2012. La gauche a du mal avec ses alliés écologistes, de plus en plus exigeant, et des jeunes aux dents et ambitions de plus en plus affutées. Le centre s'est perdu dans un équilibre de plus en plus précaire, entre les appels du pied de la droite, comme ceux de la gauche, pour finalement ne plus compter pour aucun des deux camps. Les communistes, qui n'osent plus revendiquer leur appartenance au centralisme démocratique de l'ancienne URSS, ceux sont fondus dans la gauche de la gauche. Bref, les communistes ont finis par rallié les socialistes, comme quoi tout ceux qui ne juraient que par le communisme contre le socialisme et le socialisme contre le communisme, ont finis par tomber d'accord comme quoi les deux sont la même chose. L'extrème droite reste à sa place et attend la fin du monde pour prendre le pouvoir et quant à l'extrème gauche, elle a ratée sa fusion avec elle même et ne decolle pas des 5% qu'elle représente sur l'échiquier politiique, c'est à dire : rien ou pas grand chose.
Les médias n'ont pas encore choisis leurs clients, faute de bons produits. Le patronat a toujours du mal avec la gauche. Les artisans et commerçant ne comprènnent plus la droite et ne trouvent plus de libéraux à qui se confier. Les cadres supérieurs attendent de savoir d'où vient le vent pour choisir leur camps et celui surtout de la meilleure défense de leurs intérèts. les cadres carrièristes, arrivistes et opportunistes se moquent bien des urnes car trops occupés par leurs égos. Les employes cherchent toujours à qui les fera sortir de leur routine et les fera rêver à moindres frais. Les ouvriers, ne savent lus à quels saints se voués, après avoir voté à droite, pui à gauche, puis a droite, ils risquent de revoter à gauhce tout en sachant que plus les choses changent plus elle sont pareils. Les chômeurs votent aux extrèmes sans trops savoir pourquoi. Les cas sociaux votent à la geule du client sachant que si les riches existent c'est grâce aux pauvre et vis versa. Les retraités s'accrochent à leurs pensions et se foutent bien du reste, tout en faisant croire que celà les intérrèssent.
Les jeux sont ouverts mais c'est un éternel recomencement que ces présidenteilles, entre les ambitions personelles, celles du peuple et celles des appareils qui verrouillent la partie des partis.
Les médias n'ont pas encore choisis leurs clients, faute de bons produits. Le patronat a toujours du mal avec la gauche. Les artisans et commerçant ne comprènnent plus la droite et ne trouvent plus de libéraux à qui se confier. Les cadres supérieurs attendent de savoir d'où vient le vent pour choisir leur camps et celui surtout de la meilleure défense de leurs intérèts. les cadres carrièristes, arrivistes et opportunistes se moquent bien des urnes car trops occupés par leurs égos. Les employes cherchent toujours à qui les fera sortir de leur routine et les fera rêver à moindres frais. Les ouvriers, ne savent lus à quels saints se voués, après avoir voté à droite, pui à gauche, puis a droite, ils risquent de revoter à gauhce tout en sachant que plus les choses changent plus elle sont pareils. Les chômeurs votent aux extrèmes sans trops savoir pourquoi. Les cas sociaux votent à la geule du client sachant que si les riches existent c'est grâce aux pauvre et vis versa. Les retraités s'accrochent à leurs pensions et se foutent bien du reste, tout en faisant croire que celà les intérrèssent.
Les jeux sont ouverts mais c'est un éternel recomencement que ces présidenteilles, entre les ambitions personelles, celles du peuple et celles des appareils qui verrouillent la partie des partis.